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Bernhard Schlink  (Editions Gallimard Folio)  février 1999

"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur"

Chantés par le poète Aragon dans "La Diane française", ces quelques vers à la grave beauté semblent comme modeler, esquisser la trame complexe et foisonnante du troublant "Le liseur " de Bernhard Schlink. Bâti sur fond de Seconde Guerre mondiale, le livre, pour traiter d’Histoire et n’éluder rien ni des atrocités de la déportation et de la Solution finale ni de leurs nécessaires répercussions éthiques et judiciaires, évoque en effet tout autant un infini roman d’amour. Amour au sens absolu, éperdu et malheureux du terme, traversé par la sensualité bouleversée et perturbante unissant initialement une femme de 35 ans à un adolescent de 15.

Brassant des thèmes aussi universaux que l’inaccessibilité des purs sentiments, la culpabilité, la compromission et la responsabilité morale, l’ouvrage, paru pour la première fois en Allemagne en 1995, connut un succès mondial quasi-immédiat. Sans doute la polyvalence féconde de l’homme, à la fois juge, professeur de droit et auteur de nouvelles littéraires comme de polars traditionnels ("Amours en fuite", "Brouillard sur Mannheim" ou encore "Un hiver à Mannheim" furent écrits de sa main) ne s’avère-t-elle pas étrangère à telle richesse de thèmes et réflexions déployés. La vie propre de ce dernier, né en 1944 à Heidelberg, y tient peut-être de même pour beaucoup - l’écrivain laissant planer le doute quant aux dimensions autobiographiques effectives de sa fiction. Reste un opus rare, dont la sobriété pleine d’éloquence résonne comme un long cri perdurant...

L’intrigue, ayant inspiré le film éponyme réalisé par Stephen Daldry, est désormais célèbre. Soit l’ex-République fédérale d’Allemagne, dans les années 50. Mickael Berge, un tout jeune homme donc, découvre pour la première fois l’amour et la sexualité dans les bras d’Hanna Schmitz, compagne de vingt ans son aînée au charme intimidant et dominant, fortuitement rencontrée après un sien malaise. Douche - par elle donnée -, lecture - par lui pratiquée à voix haute - et initiation sexuelle instaurent bientôt l’étrange rituel poétique de cet amour peu conventionnel. Las ! Leur liaison ne dure pas, brutalement interrompue par la disparition de la femme. Il devra attendre sept ans pour croiser de nouveau son chemin, au cours d’un procès d’assises auquel il assiste dans le cadre d’un séminaire pendant ses études de droit. Elle est alors assise sur le banc des accusés, jugée avec quatre autres criminelles pour complicité dans les exactions nazies…

Déchirant dans son austérité relative où tout pathos excessif est d’emblée banni, le film a l’intelligence de respecter la pudeur intimiste du livre. Les lieux, l’ambiance, le développement de la trame sont fidèlement retracés, comme le désarroi et le profond sentiment de mal-être qui ne manquent pas d’étreindre, pour le hanter jusqu’à la fin de sa vie, Mickael confronté à l’horreur de son amour passé. Ancienne gardienne des camps successifs d’Auschwitz et de Cracovie, dans quelle mesure est-elle coupable ? Comment n’a-t-il pu rien voir, rien comprendre, aimer celle qui se révèle soudainement avoir été aussi capable de commettre des actes à ce point monstrueux ? Que faire de ses sentiments antérieurs, comment les analyser, quand il a tôt fait de saisir dans son hébétude accablée qu’ils demeurent sans doute un peu malgré tout ? Comment agir désormais, vis-à-vis d’elle, de lui-même, du devoir de mémoire de son pays ?

D’un point de vue aussi bien cinématographique que littéraire, les écueils ne manquaient guère devant tel sujet, propice à l’emphase et aux démonstrations abusives. Mais le film suit le livre, donc, dans sa volonté d’épure, épousant par des images sobres et des dialogues concis le déroulement mesuré du phrasé de l’ouvrage, l’économie d’un verbe sec aux adjectifs et adverbes savamment contrôlés. Rigueur, méticulosité et précision traduisent ici au mieux la violence des émotions et situations rencontrées. Cette pondération du mot, ce choix d’un style presque frugal intervient à contrepoint mais à raison du lyrisme du thème de départ, témoignant d’une efficacité implacable. On pourrait donc donner raison au classicisme appuyé de la réalisation de Daldry, qui relaye le roman en toute subtilité, renonçant sans platitude ni laconisme aucun aux effets de caméras parfois orgueilleux et autres attitudes superfétatoires qu’on eut pu redouter de la part d’une production hollywoodienne.

On appréciera encore la grâce de l’interprétation des acteurs, qui parviennent à exprimer sans afféterie ni maniérisme un tel kaléidoscope de sentiments entrechoqués. Ralph Fiennes incarne avec sincérité Mickael devenu adulte, personnage silencieux, intellectuel et tendre pressé par le sens du devoir et une conscience exacerbée de l’Histoire. Volontairement solitaire, il a pourtant désespérément besoin de chaleur humaine… Celle, peut-être, qu’il avait trouvée avec Hanna aux temps heureux de leur liaison, qu’il s’interdit désormais plus ou moins consciemment de revivre ?

De même Kate Winslet campe-t-elle en un jeu tout en retenue et intériorité une Hanna complexe, froide et charnelle, opiniâtre et mystérieuse à la fois. Sa gestuelle lente et réfléchie est particulièrement bien rendue par la comédienne, qui a su en capter l’essence primaire indéchiffrable. Car Hanna porte un lourd fardeau, l’énigme jalousement gardée de son passé inscrite dans chacun de ses actes, le moindre de ses mouvements. Remplie d’une sensualité rude et simple, elle est, fondamentalement, corporéité. Absente à son présent comme à son histoire révolue et soigneusement dissimulée, incapable de projection dans l’avenir, Hanna vit dans l’instant. Elle existe dans la seule immédiateté de la situation, dans les palpitations d’un corps vibrant compris comme une invitation à oublier le monde, ou plus exactement à s’oublier, se fuir entièrement elle-même…

D’où, aussi, la prépondérance appliquée des activités quotidiennes, préoccupations ménagères ordinaires qui l’absorbent totalement. La première vision d’Hanna que reçoit Mickael revenu une fois guéri la remercier de son intervention salutaire est celle d’une femme concentrée sur sa séance de repassage, exécutée presque gravement, avec pesanteur et solennité.

La propreté, de fait, semble chez elle revêtir une importance primordiale. Sans cesse elle frotte, récure, balaie avec assiduité et vigilance, sans compter les douches continuelles qu’elle s’oblige à prendre et faire prendre à l’enfant, le savonnant souvent elle-même avec une énergie farouche avant l’amour. Hanna ne supporte pas la moindre tâche, traquant la moindre salissure, lavant, lessivant à grandes eaux et lavant encore, s’épuisant à laver. Ce comportement quasi névrotique ne peut que soulever question et étonnement. Pourquoi une telle obsession du nettoyage ? Hanna ne chercherait-elle pas, dans cette quête éreintante du limpide, du diaphane, à masquer une souillure suprême, de celle qu’aucune ablution, aussi vigoureuse soit-elle, ne saurait évacuer ? Au-delà de la netteté concrète ou physique se cache en effet la notion, morale cette fois, de pureté, d’ultime innocence. Pureté, innocence : deux vertus entières et non mitoyennes, qui exigent l’immaculé absolu, la transparence parfaite. On n’est pas innocent un peu, à moitié ou par moments seulement : on est innocent ou on ne l’est pas. Pur ou souillé, c’est selon, sans transaction ni compromis imaginable. Et Hanna est coupable...

La culpabilité, établie comme thème majeur du roman. Évitant le manichéisme simpliste d’une trop abrupte répartition "criminels contre justes", l’auteur, n’épargnant aucun de ses personnages, montre en effet à quel point ce concept, ce sentiment plutôt, inépuisable autant que lancinant, s’infiltre en tous et à tous les niveaux, des sphères privées les plus intimes aux collectives, entendues comme sociétales ou générationnelles. Bien qu’à divers degrés, chacun se sait irrémédiablement impliqué devant le mal absolu qui s’est joué et ne peut honnêtement se soustraire au rôle, à la responsabilité qui lui incombent désormais : il faut faire face, trouver une réponse par essence impossible à cette vipérine compromission commune, qu’elle que soit sa nature.

À commencer par l’évidence, avec le jugement des cinq accusées qui ont directement participé à l’orchestration macabre de la solution finale. Mais cette première certitude elle-même demeure complexe, sinon chargée d’ambiguïté. Comment déterminer, le plus justement possible, ce qu’a réellement exécuté ou décidé chacune ? Simples gardiennes soumises au diktat de la hiérarchie incompressible des camps, dans quelle mesure sont-elles en outre absolument responsables de leurs actes odieux ? Ont-elles vraiment ordonné, prenant l’initiative, ou simplement obéi à plus puissants qu’elles ?

Reste, toutefois, que tout le zèle scientifique ou juridique qu’on voudra bien déployer pour démêler les fils de l’effroi demeurera, bien que parfaitement nécessaire, fondamentalement insuffisant sinon inadéquat. Jugeant l’inadmissible, le procès outrepasse très largement les frontières du seul cadre légal. Au-delà de la loi juridique, il y a la norme morale, qui ne tolère, on l’a dit, on le sait, aucune nuance et aucun compromis. Au regard de cette dernière, aucune des co-accusées ne peut minimiser son méfait, diluer sa responsabilité propre en ne considérant que l’aspect éventuellement subalterne ou partiel de son rôle respectif. Toutes ont agi, et agissant elles ont fauté, accomplissant des meurtres infâmes.

Et c’est, sans doute, cette trahison morale qui rejaillit irrémédiablement sur l’ensemble de leurs congénères, tache d’huile rougie de sang qui souillera l’intégralité de la communauté allemande sur plusieurs générations. Bien que ce ne soit cette fois-ci plus l’action mais la non-action qui soit davantage visée, ne relevant plus du domaine du justiciable ou du pénal, mais du probe, du juste, de l’éthique. Avec, d’abord, les contemporains de la guerre, témoins et civils ayant assisté aux abjections nazies sans oser réagir, sans intervenir, quand c’eut été possible parfois, nécessaire toujours. Pas responsables, sans doute, mais coupables… Avec, ensuite, les enfants de ceux-là, qui doivent porter sur leurs jeunes épaules le poids de ce drame. Enfants de criminels actifs pour certains, enfants du silence complice pour les autres, tous, quoi qu’il en soit, se savent concernés par l’opprobre, et cherchent, de toutes leurs forces, des solutions et des formes possibles de réponse. Mais par où commencer ? Où s’arrêter ? À considérer l’intention et non plus la seule réalisation des actes, la possibilité du faire, de l’agir, et non sa simple concrétion matérielle ou physique, c’est le pays tout entier que l’on condamne, les parents, les proches, les amis, les actifs, les passifs, ceux qui ont commis, ceux qui n’ont rien fait et qui ne faisant rien ont fait aussi, et presque autant… Il n’y a plus d’innocents ; la vie elle-même devient impossible.

Ce que saisissent bientôt les jeunes étudiants du séminaire, "missionnaires investis" au cœur généreux pétri de rage et de révolte, bientôt dépassés malgré leur activisme érudit par l’ampleur insubmersible de la tâche. Mickaël n’échappe pas non plus au terrible dilemme qui s’ouvre à lui. Chercher à comprendre, pour juger équitablement, soit, mais n’est-ce pas là, déjà, minimiser l’irréductible, tendre à pardonner un peu déjà l’intolérable ? Est-ce pour cette raison qu’il refusera, ultimement, de porter secours et assistance à Hanna pendant le procès, reniant un amour dont il sent bien, avec frayeur et là encore culpabilité, qu’il perdure encore malgré ses dénégations successives ? Comme si toute tentative d’explication, de clarification des faits devenait à son tour suspicieuse, volonté cachée de disculper sinon absoudre…

Au fond, Hanna ne dit peut-être pas autre chose, lorsqu’elle murmure à la fin du livre que seuls les morts savent, qu’eux seuls jugeront. On lui reprochera beaucoup - on aura beaucoup reproché à Schlink, plus précisément - le fait de n’être pas rentrée, même à la fin de sa vie, dans une démarche de contrition ouverte. Hanna, lorsqu’elle évoque cette époque maudite et ses agissements assassins, ne montre pas de signes tangibles de regrets ; en-dehors de ses ultimes lectures, basées sur des analyses et des témoignages de la Shoah, rien n’assure qu’elle éprouve véritablement des remords. Pourtant, en un sens, c’est peut-être là la marque d’une réflexion plus honnête. Évitant les trop claires démonstrations d’une volonté expiatoire toujours soupçonnable d’être spécieuse et intéressée, Hanna n’est pas dans le repentir, parce qu’elle ne cherche pas le pardon. Selon nous déjà située au-delà d’une dimension légale ou normée qui, en la châtiant, l’absoudrait aussi en un sens, elle est, dans la prise de conscience tardive de ses crimes, prisonnière désormais d’une tâche morale indélébile, qu’elle porte comme une croix sans vouloir qu’on la lui ôte. Peut-être…

Hanna, qui en révélant au tribunal le secret brûlé de honte qu’elle porte depuis toujours au fond d’elle-même, eût toutefois peut-être pu, plus qu’une autre, sinon se sauver, au moins se défendre. Hanna, en effet, est analphabète, avec ce que cela suppose de faiblesse et de difficulté à prendre du recul, conserver une vue et des opinions propres.
Est-ce à dire alors que son histoire se réduit in fine au seul récit d’une pauvre femme sans défense, disculpée au final par son manque de savoir, et que le livre de Schlink, procès à charge contre l’illettrisme, plaidoyer vibrant en faveur de la culture et de l’éducation, la disculperait ultimement ? Certains, parmi lesquels l’écrivain Cynthia Ozick notamment, semble adhérer à cette thèse, parlant, à propos de l’ignorance d’Hanna, d’une "excuse métaphorique tendancieuse" visant à décharger les Allemands de toute responsabilité dans l’avènement du drame de la Shoah.

Cependant, il ne nous semble pas que cette accusation grave corresponde vraiment aux propos de l’œuvre de Schlink.

Car rien n’est dit de ce qu’aurait fait Hanna, si par malheur engagée tout-de-même dans ce rôle abject de gardienne, elle avait été cultivée davantage, maîtrisant la lecture et l’écriture par elle-même. Rien ne nous assure qu’elle eût alors fait d’autres choix, agi autrement, s’interposant, protégeant, sauvant enfin les déportées de la mort certaine qui, d’avance, les attendait. Expliquer le comment n’est pas résoudre le pourquoi : l’aveu de son handicap ne fait que dépeindre le déroulement de la tragédie, l’enchâssement maléfique des événements successifs qui l’ont amenée là, à ce poste maudit. Cela n’excuse en revanche nullement ni ne peut éluder la cruauté, l’implacable brutalité qui s’avéreront siennes pendant ses années au service du Reich. Analphabète, Hanna apparaît certes plus primaire et fragile, mieux sujette à se laisser convaincre et dominer par la propagande nazie et l’embrigadement moral qui avait cours dans les camps. Mais la souffrance, qu’on veut bien croire immense et incessante, induite par son état d’ignorance sonne creux face à celle qu’elle aura infligée à son tour, criminelle à plein par l’indifférence bornée et sans scrupules dont elle aura fait montre comme sentinelle.

La lecture eut pu véritablement s’avérer salvatrice pour Hanna au seul moment du procès, lui permettant de prendre formellement connaissance des accusations rédigées à son encontre pour préparer sa défense. Elle sert, aussi, à l’aider à réaliser a posteriori l’ampleur de l’infamie qui s’est jouée. Mais elle ne peut pas tout : ses collègues de la mort la maîtrisaient, et l’on sait, hélas, que les hauts dignitaires à l’origine du processus d’extermination étaient des êtres cultivés et raffinés, aimant l’art et dotés de solides connaissances, scientifiques ou techniques notamment.

Hanna n’est pas innocentée : son parcours sordide et mortifère n’est jamais justifié, éclairé seulement par la découverte de son secret le plus intime. Son entêtement à le taire, jusqu’au bout et coûte que coûte, n’est pas qu’aveu touchant de faiblesse : il est aussi indice d’une dureté inextinguible, forme d’orgueil définitive qui peut finir par revêtir les atours de la perversité la plus foncière, épouser les contours de la barbarie absolue. Le livre de Schlink ne souhaite ainsi ni pardon ni rédemption ultime pour son personnage principal et tous ceux qu’à travers elle il représente. Il apparaît bien davantage signal, cri éperdu lancé terrifié face à la présence permanente du mal inscrit en tout un chacun, et qui peut, chaque fois que l’occasion se présente, se réveiller et déchaîner sans limite. L’irréparable, l’intolérable peut prendre la forme d’un corps aussi doux, harmonieux que ne le fut celui d’Hanna : monstrueux, il a en définitive visage humain, trop humain…

Saluons le tour de force de livres qui suggèrent les limites de l’écrit, en même temps qu’ils en redisent l’absolue nécessité… Il faut lire, et relire, et méditer avec ces mots couchés d’encre et de sang, qui préviennent, évoquent, invoquent instamment. Redécouvrir et intégrer ces phrases impérieuses et achevées :

"Car il savait ce […] qu'on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais, qu'il peut rester pendant des dizaines d'années endormi dans les meubles et le linge, qu'il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l'enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse." Albert Camus, La Peste

"Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine
Réfléchir sans livre ni maître est dangereux"
. Confucius

 

Myriam Aze         
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# 21 avril 2024 : Des beaux disques, des beaux spectacles, une belle semaine

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Du côté de la musique :

"Génération (tome 1)" de Ambre
"Out" de Fishtalk
"Take a look at the sea" de Fontanarosa
"Venus rising" de Trio SR9 & Kyrie Kristmanson
"Perpétuel" de Vesperine
"Liminal status" de Watertank
"The great calm" de Whispering Sons
"Keep it simple" de Yann Jankielewicz , Josh Dion & Jason Lindner
Quelques nouveautés en clips avec Isolation, Resto Basket, Greyborn, Bad Juice, Last Temptation, One Rusty Band, We Hate You Please Die
nouvel épisode du Morceau Caché, consacré à Portishead
et toujours :
"Kit de survie en milieu hostile" de Betrand Betsch

"Let the monster fall" de Thomas de Pourquery
"Etat sauvage" de Chaton Laveur
"Embers of protest" de Burning Heads
"Sin miedo" de Chu Chi Cha
"Louis Beydts : Mélodies & songs" de Cyrille Dubois & Tristan Raës
"Arnold Schönberg : Pierrot lunaire" de Jessica Martin Maresco, Ensemble Op.Cit & Guillaume Bourgogne
"C'est pas Blanche-neige ni Cendrillon" de Madame Robert
"Brothers and sisters" de Michelle David & True Tones
"Prokofiev" de Nikita Mndoyants
"Alas" de Patrick Langot, Alexis Cardenas, Orchestre de Lutetia & Alejandro Sandler
"Symptom of decline" de The Black Enderkid
"Tigers blood" de Waxahatchee
"Not good enough" de Wizard

Au théâtre :

les nouveautés :

"Sonate d'automne" au Théâtre Studio Hébertot
"Frida" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses

"Preuve d'amour" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Après les ruines" au théâtre La Comète de Chalons En Champagne
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme ?" au Théâtre du Guichet Montparnasse
"Royan, la professeure de français" au Théâtre de Paris
Notes de départs" au Théâtre Poche Montparnasse
"Les chatouilles" au Théâtre de l'Atelier
"Tant que nos coeurs flamboient" au Théâtre Essaïon
et toujours :
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Enfance" au Théâtre Poche Montparnasse
"Lîle des esclaves" au Théâtre Le Lucernaire
"La forme des choses" au Théâtre La Flèche
"Partie" au Théâtre Silvia Monfort
"Punk.e.s" Au Théâtre La Scala
"Hedwig and the angry inch" au théâtre La Scala
"Je voudrais pas crever avant d'avoir connu" au Théâtre Essaïon
"Les crabes" au Théâtre La Scala
"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
des reprises :
"Macbeth" au Théâtre Essaion
"Le chef d'oeuvre inconnu" au Théâtre Essaion
"Darius" au Théâtre Le Lucernaire
"Rimbaud cavalcades" au Théâtre Essaion
"La peur" au Théâtre La Scala

Une exposition à la Halle Saint Pierre : "L'esprit Singulier"

Du cinéma avec :

"Le déserteur" de Dani Rosenberg
"Marilu" de Sandrine Dumas
"Que notre joie demeure" de Cheyenne-Marie Carron
zt toujours :
"Amal" de Jawad Rhalib
"L'île" de Damien Manivel
"Le naméssime" de Xavier Bélony Mussel
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"Le squelette de Madame Morales" de Rogelio A. Gonzalez

Lecture avec :

"Hervé le Corre, mélancolie révolutionnaire" de Yvan Robin
"Dans le battant des lames"' de Vincent Constantin
"L'heure du retour" de Christopher M. Wood
"Prendre son souffle" de Geneviève Jannelle
et toujours :
"L'origine des larmes" de Jean-Paul Dubois
"Mort d'un libraire" de Alice Slater
"Mykonos" de Olga Duhamel-Noyer
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"L'empire britanique en guerre" de Benoît Rondeau
"La république des imposteurs" de Eric Branca
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