Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Cass McCombs
Wit's end  (Domino / Pias)  avril 2011

Tout d'abord, il semble utile de préciser que même si j'ai au compteur un certain nombre de chroniques en rapport avec la discographie de Cass McCombs, ce n'est pas par fanatisme absolu du garçon. Je n'ai jamais arraché le disque des mains de quiconque.

Simplement, il semble que ce songwriter américain talentueux soit trop discret pour arriver jusqu'aux oreilles pourtant curieuses de nos chroniqueurs. Si l'on combine cela avec le fait que, quand même, j'ai toujours apprécié, avec ses hauts et ses bas, son travail, c'est donc naturellement moi qui me colle à la chronique de ce Wit's end. Mon anglais étant ce qu'il est, je n'ai rien décelé de drôle dans ce titre... Pourtant, j'avais apprécié le joli Catacombs précédent, digne d'un Very Dick, Authendick de notre Dick Rivers national.

C'est que derrière ses airs renfrognés de songwriter maudit, le p'tit gars McCombs ne se prive pas de cynisme et humour ravageur. Ceci dit, Wit's end n'est pas franchement à la rigolade et c'est dans une relative noirceur mais surtout une douce mélancolie qu'il nous plonge.

Comme d'habitude, on retrouve des mélodies douces-amères, des arrangements épurés, comme le slow "comme on n'en fait plus" qui ouvre l'album ("County line") ou la douce berceuse "The lonely doll". La voix est toujours aussi charmeuse, suave et caressante, au risque de me répéter de chronique en chronique, elle évoque un mélange entre Peter Milton Walsh et Marc Kozelek.

Ce qui est bien chez McCombs, c'est que tout tombe juste, sans jamais déborder dans un trop plein de naïveté ou de psychothérapie de bas étage. C'est tout à la fois pro et rigoureux et touchant comme seuls savent le faire les artisans et passionnés. Preuve en est "Buried Alive", petit bijou pop aux réminiscences beatlesiennes.

C'est juste très beau, très simple, et Wit's end ressemble fichtrement au meilleur album de McCombs, détrônant presque A dans mon palmarès personnel. Inutile d'en rajouter, foncez simplement écouter ce disque et laissez-vous aller.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Dropping the Writ de Cass McCombs
La chronique de l'album Catacombs de Cass McCombs
La chronique de l'album Humor Risk de Cass McCombs

En savoir plus :
Le site officiel de Cass McCombs
Le Myspace de Cass McCombs


David         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco

Abonnez vous à la Newsletter pour recevoir, outre les mises à jour en avant première, des infos de première importance et peut être des choses dont vous n'avez même pas encore imaginé l'existence et l'impact sur votre vie... et nous non plus.

se désabonner, changer son mail ... c'est ici!


» Contacter un membre ou toute
   l'équipe (cliquez ici)


Afficher les chroniques d'un membre :

Liste des chroniques... Cécile B.B.
Liste des chroniques... Cyco Lys
Liste des chroniques... David
Liste des chroniques... Didier Richard
Liste des chroniques... Fred
Liste des chroniques... Jean-Louis Zuccolini
Liste des chroniques... Julien P.
Liste des chroniques... LaBat’
Liste des chroniques... Laurent Coudol
Liste des chroniques... Le Noise (Jérôme Gillet)
Liste des chroniques... Margotte
Liste des chroniques... MM
Liste des chroniques... Monsieur Var
Liste des chroniques... Nathalie Bachelerie
Liste des chroniques... Nicolas Arnstam
Liste des chroniques... Paola Simeone
Liste des chroniques... Philippe Person
Liste des chroniques... Rickeu
Liste des chroniques... Séb.T

 

Les articles de ce site sont la propriété de froggydelight.com et de leurs auteurs.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=