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Interview  (Paris)  lundi 6 juin 2011

Dans la deuxième moitié des années 90, j'ai eu ma grosse phase Rock Français. Je ne jurais que par Lofofora, No One Is Innocent ou Oneyed Jack.

Quinze ans plus tard, la nouvelle scène "gros rock" Made in France ne m'enthousiasmait pas des masses, jusqu'au jour où je suis tombé par hasard sur un clip avec un singe en 3D. Il s'agissait de Goz, le singe virtuel, devenu la marque de fabrique de Shaka Ponk et qui apparait dans les clips du groupe et à chaque concert sur un écran situé sur scène.

J'étais assez content de trouver un groupe qui alliait modernité et fun avec la patate des groupes des 90's, le tout dans un univers riche et très personnel. La sortie du nouvel album de Shaka Ponk était donc l'opportunité de rencontrer le groupe et de faire une petite interview et une Froggy's session...

Si je devais décrire le style de Shaka Punk en une phrase, ce serait : "une Fusion metalo-ethnique avec une grosse louche d'électro". Cela vous convient ?

Frah : Oui ça marche bien ça !

Ion : On est assez ouvert à tout "catalogage" car nous-mêmes, on ne sait pas trop ce qu'on fait...

Frah : On a l'impression de faire du rock.

Ion : Oui, dans la démarche c'est ça. On fonctionne, on compose entre potes comme un groupe de rock.

Si je vous décris comme étant un mélange entre Gorillaz, Mano Negra et Infectious Groove, je me trompe ou pas ?

Frah : Ah ben nickel !

Sam : Exactement.

Si j'ai bien compris, au tout début, Shaka Ponk était très électro, tout était travaillé sur un G4 par Frah.

Frah : Oui c'est ça. Alors en résumé, au départ il y avait un collectif installé à Paris, qui faisait un peu de son et beaucoup d'images. Ce collectif s'est ensuite déplacé à Berlin, en partant à 5 et demie. A l'époque on n'était pas trop en mode compo. On était plutôt en mode image avec des sons derrière. En traversant les années, le collectif s'est transformé en groupe et il se trouve que l'on compose tous un peu tout maintenant. Moi, je n'ai jamais vraiment été le seul compositeur, sauf à l'époque où cela se résumait à... (ndlr : il fait en beatbox un rythme très basique).

Frah, à la base tu étais batteur ?

Frah : Il y a très longtemps oui. Je voulais faire de la batterie, mais j'étais trop nul, alors j'ai commencé à faire des images. Après les images ont merdé, donc j'ai pris le micro (ndlr : Frah fait référence au premier concert du groupe au Glaz'art. Les boucles vidéos qui faisaient office de chanteur ne marchaient pas, Frah a du prendre le micro au dernier moment).

Et en fait on s'est dit que ce serait pas mal qu'il n'y ait pas qu'un personnage virtuel dans le groupe.

D'ailleurs, qui fait la voix de GOZ en studio ?

Frah : Tout le monde... Peu importe, le but est de pitcher la voix.

Comment se passe l'écriture d'un morceau ? Qui balance les idées en premier ? Tout le monde participe ?

Sam : Cela dépend de la chanson.

Frah : On se réunit pas vraiment pour composer. De toute manière, on est toujours ensemble.

Ion : Comme on passe beaucoup de temps dans un bus qui fait 25 m², à 15 dedans. On essaie de s'éviter, mais du coup on entend le guitariste qui est sur son ordi en train de composer un riff de guitare, puis plus loin tu as Frah qui est en train de faire un beat.

Vous composez donc tout directement sur ordinateur ?

Frah : Tout est composé sur ordi.

Ion : Et même pour le définitif, on ne fait pas de maquette.

Frah : On fait le truc et c'est ça.

Ion : On ne va pas en studio derrière pour refaire en mieux avec des bons micros.

Frah : Le moment de création est tellement important que l'on préfère que ce soit ça qui reste !

Ion : Souvent les groupes tournent, ensuite ils font une pause et vont s'isoler pour écrire un peu. Puis ils vont en studio et retournent sur la route. Nous, on fait tout en même temps, on ne s'arrête jamais.

Cela veut dire que vous avez un gros stock de chansons non utilisées ?

Sam : On a un bon stock de déchets.

Ion : Beaucoup d'images aussi.

Il faut revendre les titres non utilisés à des groupes moins bien...

Frah : On a du mal à en trouver !

Sam : C'est dur à trouver des groupes moins bien.

Ou alors il faut revendre les stocks de titres non utilisés à Fanta (en référence à "Hell'O", titre utilisé par Fanta dans un pub).

Frah : Fanta, c'est ce qui nous a valu la chance d'être ici, c'est-à-dire que la boîte de prod, dans laquelle on fait l'interview, nous avait demandé juste avant Berlin de faire une musique. Nous leur avons dit que l'on ne savait pas faire ça mais que l'on avait un morceau qui s'appelait "Hell'O". Ensuite on s'est barré à Berlin. Quand on est revenu à Paris, on est revenu les voir en leur disant qu'on avait besoin d'un endroit car on ne savait pas où aller avec tout notre bordel. Du coup, ils nous ont prêté cette pièce, et on a colonisé le reste du grenier.

C'est assez cool comme endroit. Vous avez aménagé un petit stuido d'enregistrement et un petit local de répétition...

Sam : On a vraiment de la chance.

Sam, tu as rejoint le groupe sur scène en 2010 et tu es très présente sur le nouvel album, voire assez mise en avant au niveau des voix par rapport à Frah ou Goz.

Frah : Elle faisait partie de l'aventure et nous aidait à bosser sur les morceaux depuis longtemps.

Ion : En off.

Sam : Cela faisait pas mal de temps qu'on bossait ensemble. J'étais à Berlin avec eux aussi, mais j'avais mes projets en France ou en Angleterre et je n'avais pas trop envie de monter sur scène avec eux.

Ion : On l'a suppliée pour qu'elle vienne poser des voix.

Frah : Du coup quand elle bossait avec nous avant, on n'utilisait pas les morceaux vu qu'elle n'était pas avec nous sur scène. Maintenant qu'elle est là et qu'on sait qu'elle est là, on se permet d'aller jusqu'au bout des compos avec elle. Avec grand plaisir, puis moi cela m'arrange... (rires)

Comment s'est passée la collaboration avec Beat Assailant et celle avec Bertrand Cantat ?

Ion : Comme je te le disais, on a enregistré l'album sur la route et les rencontres se sont faites comme ça. On a croisé Beat Assailant maintes et maintes fois sur le route ou dans des festivals. Dès la première rencontre, on a vachement accroché avec Adam le chanteur et tous les zicos sont vraiment cool ! On avait déjà un peu bossé avec lui mais sans le connaître vraiment. Pour Bertand, même chose.

Sam : Il venait voir des potes en concert à Bordeaux, les Guaka, qui jouaient avant nous.

Ion : Il nous avait semblé le reconnaître dans le public, mais on se disait que ce n'était pas possible.

Sam : Je l'avais vu au moment où je faisais mes vocalises dans le couloir. La porte s'est ouverte et Bertrand Cantat était là, mais je l'ai pas dit à Frah pour ne pas le choquer.

Frah : Depuis le début de Shaka Ponk, on se disait que si on écrivait des trucs en français, ce serait avec Cantat. On pensait qu'on était incapable de pouvoir le faire.

D'ailleurs le morceau est assez différent du reste de l'album.

Ion : Un côté punk, un côté plus rapide.

Sam : L'intervention de Bertrand a forcément joué aussi !

Frah : Comme d'habitude, on suit notre truc sans trop se poser de questions. Lui était réceptif à l'univers de Shaka – on en était même assez étonnés –, nous nous sommes bien entendus et bien marrés. Le morceau est né comme ça !

Vous n'avez pas trop peur de vous faire tomber dessus par la presse bien pensante pour cette collaboration avec Cantat ?

Frah : Non pas peur...

Ion : On s'attend à avoir des confrontations et des débats.

Sam : Musicalement, il n'a pas perdu le respect des gens. C'était vraiment une rencontre artistique, nous nous sommes rencontrés par la musique.

Ion : C'était un peu un rêve de gosses...

Ados, vous avez tous pogoté sur Tostaky ?

Sam : Exactement !

Ion : Quand on l'entendait poser sa voix sur Shaka, je me revoyais ado quand j'écoutais Noir Désir.

Sam : C'était très naturel de se retrouver en studio avec lui, c'était quand même magique. Il l'a fait très humblement, aucun égo, de façon très intinctive.

Frah : Voir que le mec était comme ça nous a donné encore plus envie de le faire. Du coup nous sommes assez fiers et contents d'avoir dit il y a 8 ans que si on écrivait en français, ce serait avec Cantat et surtout de l'avoir fait !

Sam : En même temps, on avait dit ça pour esquiver l'écriture en français.

Frah : J'avais aussi dit que j'accepterai de danser sur scène si c'était avec Mickael Jackson, mais maintenant c'est rapé...

The Geeks And The Jerkin Socks est une référence à Amercian Pie ou je rêve ?

Ion : Nous n'y avons pas pensé sur le coup mais effectivement.

Frah : C'est un film que l'on aime bien. Nous étions partis sur un autre titre mais nous étions mal compris. On voulait l'appeler The Galactics and the surfing jerks. On était dans un trip espace, vachement comics (il me montre des affiches du Surfer d'argent dans le studio).

Sam : D'où la pochette de l'album, très Carpenter avec les yeux blancs.

Frah : Je leur raconte ça et avec le téléphone arabe, il y en a un qui a finalement dit : "mais c'est quoi Geeks And The Jerkin Socks ?". Je me suis dit que c'était encore mieux !

Ion : Il y a beaucoup de choses que l'on fait qui arrivent par accident. On a souvent un truc en tête et quand on va pour le réaliser, tout change.

Frah : On est un vrai nid à accidents.

Sam : Cela nous ressemble car on est vraiment des geeks toujours devant nos ordi, et The Jerking Socks, c'était surtout moi ! (rires)

Cet album, je le trouve plus pop, voire festif par rapport aux précédents.

Ion : Festif oui !

Frah : Tu as dit quoi tout à l'heure ? Bubble ?

Ion :  Oui Bubble, c'est un album Bubble !

C'est une nouvelle direction ou juste l'état d'esprit au moment de l'enregistrement ?

Sam : On l'a composé quand on était en pleine tournée. On était en pleins dans l'ambiance de concert tous les soirs, du coup il ressemble à cette ambiance de tournée.

Frah :  On n'avait évidemment pas envie de faire comme le précédent. On aime bien l'idée qu'un mec qui connait Shaka Ponk se dise, en écoutant un nouveau morceau : "ouah c'est quoi ça ?". On veut aller dans des trucs inatendus.

Il y a une différence entre le live et les enregistrements studio. C'est très découpé/haché/structuré, très électro en CD et vachement plus groove en live. Pourquoi ? C'est voulu ?

Frah : En live ça part en couille !

Ion : Il y a un côté aseptisé sur album, mais forcément en live c'est plus vivant.

Sam : Nous sommes peut-être un peu plus rock sur scène.

Ion : Au départ, c'était peut-être parce que nous n'avions pas le choix. En studio, on peut faire 4 guitares en une, on se fout que ce soit une vraie batterie jouée, on fait ça pour que ça sonne bien ! Sur scène, nous sommes que tous les 6 et il faut pourtant rendre la même énergie...

Il y a des grosses phases de répétitions pour adapter les titres au live ?

Sam : Beaucoup de répétitions.

Frah : Oui, puis la frustration de ne jamais être entrés en studio pour enregistrer...

Ion : Car souvent on n'a jamais joué tous ensemble, on crée des trucs chacun de notre côté dans le bus et réunit le tout plus tard.

Frah : Parfois, je pose des paroles sur un morceau et 10 mois plus tard, au moment de le répéter, je ne m'en souviens plus.

Ion : C'est intéressant car on repart de zéro sur chaque titre !

Sam : C'est un énorme travail, comme les interactions avec les images diffusées sur écran sur scène.

D'ailleurs, qui balance les vidéos ?

Ion : C'est moi.

Sur scène, il y a donc très peu de place à l'improvisation si beaucoup de choses reposent sur les vidéos.

Ion : Il y a forcément des trucs que l'on ne peut pas trop bouger. Il y a des fins de titres où ce sont juste des boucles vidéos : c'est à ce moment là que l'on peut délirer.

Frah : On se permet parfois de mettre un vulgaire logo pour pouvoir se lâcher un peu.

Frah est graphiste/webdesigner de formation, l'image dans le groupe est super importante. Est-ce que l'image est à part égale avec le son ?

Sam : Je pense que oui.

Frah : On s'éclate autant à faire de l'image que du son. Parfois, on ne fait pas de son et on ne travaille que l'image.

Sam : Et on ne trouve le son qu'après !

Que pensez-vous d'un groupe comme Justice qui avait tout son univers visuel développé avant d'avoir produit la moindre note ?

Ion : Nous n'en étions pas là, mais pas loin quand même au début : le singe était là et on l'habillait de son. Aujourd'hui encore, il nous arrive de nous retrouver avec des images et on se dit qu'il faut coller de la musique dessus !

A l'écoute, vos influences musicales paraissent évidentes. L'image étant très importante pour vous, quelles sont vos influences en graphisme, BD, cinéma, jeux vidéo ?

Frah : J'adore Chris Cunnigham, mais jamis on arrivera à faire un truc qui arrive au petit doigt de pied de ce qu'il fait. Parfois, on voit des trucs et visuellement on se dit : "ouah putain... La folie du mec !". Sinon on se mattait des séries comme Breaking bad, et Walking Dead.

Vous avez un style très 90...

Ion : 80 même !

Je parlais du style de fusion qui marchait dans les 90's, l'époque après le grunge et avant l'invasion néo métal, quand il était encore possible de voir du rock sur M6 le matin à 9h. Que pensez-vous des groupes français de l'époque qui ont ouvert la voie ? Je pense à FFF pour le funk et le groove, mais aussi à Lofofora et No one is innocent pour les grosses guitares ou encore Mass Hysteria pour l'apport de l'électro au rock.

Frah : On a tous beaucoup écouter ces groupes.

Ion : On les a tous vu, gamins. On a peut-être été influencé par le premier clip de Silmarils.

Frah : Ah oui ça défonçait...

Ion : Avec les Red Hot.

Vous vous sentez proches de la scène rock française plus récente comme Enhancer, Pleymo ou Watcha ?

Ion : Je me sens plus proche des groupes comme No One is innocent que l'on a croisé plusieurs fois. Pleymo a des bons trucs.

Frah : Ouais... Cette vague sentait un peu le Dick Rivers qui veut faire Elvis Presley.

Même dans la manière de vous comporter sur scène, quand on vous voit torse nu en train de sauter partout, cela fait plus 90's que les postures pseudo rock des groupes français actuels.

Ion : D'ailleurs, cela ne nous a peut-être pas aidés, mais on s'en branle complètement !

Frah : On fait tout ce qu'il faut pour pas que ça marche, entre les styles musicaux et l'attitude sur scène. Le fait est que cela fonctionne bien quand même !

Sam : Les groupes qui sont dans la hype nous prennent un peu pour des sauvages.

C'est votre côté tribu...

Sam : Oui, avec le singe en plus !

D'ailleurs, Goz en coulisses, ce n'est pas lui qui ramasse toutes les groupies ? Il n'y a pas de problèmes de bananes qui traînent partout dans le tour-bus ?

Sam : Il nous éclate tous pour les groupies...

Ion : Dans le bus, c'est surtout l'odeur le problème !

Sam : Oui il manque un peu d'hygiène.

Frah : Il a une bonne cote, le singe ! Dès le début... Je me souviens même qu'à Berlin, on avait collé des affiches partout avec le singe et quand les gens venaient nous voir et qu'ils voyaient le singe, ils nous disaient qu'on avait piquer le singe placardé partout en ville... Ils ne savaient pas qu'il y avait un groupe derrière le visuel.

Vous êtes donc bon en graphisme mais nul en communication et marketing !

Sam : Complètement ! C'est pour ça qu'on est content d'avoir un label...

Pour finir, quel est le dernier truc que vous ayez écouté avant l'interview ?

Frah : Comme on commence à être programmé, j'ai regardé un peu les clips qui passait sur W9.

Sam : Ahahah pas de bol !

Frah : Et je me suis dit qu'on était vraiment mal barré ! Du coup, j'ai rien retenu.

Ion : Them crooked vulututrs et sinon j'ai envie d'écouter le nouveau Prodigy.

Sam : J'ai envie de parler d'un groupe que j'ai découvert en festival dernièrement, TriggerFinger. J'ai adoré.

Frah : Ah sinon Kim Wilde, pour faire une reprise dans Taratata. Je n'avais jamais vu le clip et je me dis qu'en 81, il y avait quand même des trucs incroyables !

Retrouvez Shaka Ponk
en Froggy's Session
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En savoir plus :
Le site officiel de Shaka Ponk
Le Myspace de Shaka Ponk


Didier Richard         
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# 30 août 2020 : La Culture avance Masquée

L'avenir des spectacles vivants reste encore flou. Des budgets débloqués, des cafouillages quant à la capacité ou non des salles à recevoir des spectacteurs dans le respect des "gestes barrières". Rien n'est joué, rien n'est gagné. Voici en tout cas le programme de la semaine et bien entendu le replay de la MAG #9 du 29 août mais aussi de la MAG #4 au rayon des archives.

Du côté de la musique :

"A thousand doors, just one key" de FELDUP
"Sex, death & the infinite void" de Creeper
"Inicial" de Vladimir Torres
"Providence" de All We Are
"La flor" de Ana Carla Maza
"A celebration of endings" de Biffy Clyro
"Have you lost your mind ?" de Fantastic Negrito
"Oh Orwell" de Plumes
"Simone" de Rue de Tanger

Au théâtre :

les reprises de la semaine :
"Adieu Monsieur Haffmann" au Théâtre de l'Oeuvre
"Cabaret Louise" au Théâtre Le Lucernaire
les reprises déjà à l'affiche :
"Les Faux British" au Théâtre Saint Georges
"La Cagnotte" au Théâtre Le Lucernaire
"Intra Muros" à La Pépinière Théâtre
"Le Cercle des Illusionnistes au Théâtre Le Splendid
"Porteur d'histoire" au Théâtre des Béliers parisiens
"Cyrano" au Théâtre Le Funambule-Montmartre
"Dîner de famille" au Café de la Gare
"Et pendant ce temps Simone veille" à la Comédie Bastille
"Les Carnets d'Albert Camus" au Théâtre Le Lucernaire
"La petite fille de Monsieur Linh" au Théâtre Le Lucernaire
"Florian Lex - Pas de pitié" au Théâtre du Marais

Expositions :

"Le Monde selon Roger Ballen" à La Halle Saint Pierre
"Otto Freundlich - La révélation de l’abstraction" au Musée de Montmartre
"Turner, peintures et aquarelles - Collection de la Tate" au Musée Jacquemart-André
"Harper's Bazaar, premier magazine de mode" au Musée des Arts Décoratifs
"Christan Louboutin - L'Exhibition[niste]" au Palais de la Porte Dorée
"Cézanne et les maîtres - Rêve d'Italie" au Musée Marmottan-Monet
"Coeurs - Du romantisme dans l'art contemporain" au Musée de la Vie romantique
les Collections permanentes du Musée Cernushi
"Helena Rubinstein - La collection de Madame" et "Frapper le fer" au Musée du Quai Branly
"Monet, Renoir... Chagall - Voyages en Méditerranée" à l'Atelier des Lumières
"Enfers et Fantômes d’Asie" au Musée des Arts Asiatiques de Nice

Cinéma :

en salle :
"Ema" de Pablo Larrain
at home :
"Henri" de Yolande Moreau
"Au bout du conte" de Agnès Jaoui
"Un beau soleil intérieur" de Claire Denis
"La fille Rosemarie" de Rolf Thiele
"La Fuite" de Kenan Kavut
"Vers un destin insolite sur les flots bleus de l'été" de Lina Wertmüller
"Les beaux jours" de Marion Vernoux
"Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz

Lecture avec :

"Cinq doigts sous la neige" de Jacques Saussey
"Jazz à l'ame" de William Melvin Kelley
"La chambre des dupes" de Camille Pascal
"La révolution, la danse et moi" de Alma Guillermopietro
"Les nuits d'été", de Thomas Flahaut
"Rumeurs d'Amérique" de Alain Mabanckou
"Soleil de cendres" de Astrid Monet
"Walker" de Robin Robertson
et toujours :
"Carnaval" de Hector Mathis
"Ceci n'est pas une chanson d'amour" de Alessandro Robecchi
"Gangrène, une histoire d'amour" de L.J. Wagner
"L'autre moitié de soi" de Brit Bennett
"Les lettres d'Esther" de Cécile Pivot
"Les mythes de la seconde guerre mondiale" de Jean Lopez & Olivier Wieviorka
"Patagonie route 203" de Eduardo Fernando Varela
"Une bête aux aguets" de Florence Syvos

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