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The wolrd is saved  (V2 records)  novembre 2004

Après 13 ans de carrière et avoir, notamment, participé à deux BO (Roméo+Juliette en 97 et The Dancer en 2000), Stina Nordenstam livre le successeur de „This Is“ dans lequel on avait pu la découvrir en duo avec Brett Anderson (chanteur de Suède). Et c’est un vraie bonne nouvelle .

The World is saved, 6ème album de Stina Nordenstam, se déguste comme un road movie hallucinant. Une sorte de "Paris-Texas" en disque ; ou alors Bufallo 66, bien calé(e) à l’ombre de Christina Ricci et du christique Vincent Gallo, sans oublier Ben Gazarra. Ouais, ouais j’en rajoute dirons certains eh bien, vous n’êtes pas bout de vos peines si cette pensée vous effleure ! Je n’aurai, ici, de cesse que vous courriez acquérir cet album. Tenez-le vous pour dit !

En route donc, pour un voyage au pays de Stina. Et pour la première fois c’est littéral : enregistré en Suède, à Stockholm, avec des musiciens du cru, on pourrait croire que la belle Stina fait une pause. Que nenni. Une expérience, plutôt. Voire un paradoxe : le pointillisme au pays où la nuit dure des lustres, quand c’est pas le jour qui refuse de se coucher !

Or donc, chaque étape du voyage (je poursuis la métaphore cinématographique ; comprenez : chaque morceau) c’est moins qu’un instant de vie, c’en serait un lambeau, arraché au quotidien ou bien entêté à s’accrocher à la mémoire. C’est doux, chaud ou triste à mourir et des fois tout en même temps.

Stina Nordenstam a la voix qui berce pour mieux s’installer dans vos oreilles et ne plus vous quitter. Les ambiances électro se parent de cuivres désespérés ou de violons apaisants. Tentez "Parliament Square" pour sentir la pollution et la pluie londonienne, trouées par la chute de bombes sur le Whitehall, puis poursuivez vers les Iles Caïman, "From Caïman Island with love", où vous ne voudrez jamais mettre les pieds et achevez le voyage avec "The end of a love affair", dont, oui, chacun se remettra, encore plus vide qu’avant.

Et la seule envie qui reste, c’est remettre le disque au début, pour repartir. Un tour de force dont la douceur ensorcelle. Voilà c’est comme ça.

Bon, je compte sur vous pour ne pas avoir fini cette crotique et avoir pris vos jambes à votre cou pour courir chez votre disquaire.

 

note : réfléchir au problème Carthage


Delenda         
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