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Interview  (Le Fil, Saint-Etienne)  vendredi 7 décembre 2012

C’est un troupeau de grenouilles qui a sauté sur le Fil vendredi 7 décembre pour rencontrer Les Fatals Picards. A plusieurs voix, vieux crapauds et jeunes têtards de Froggy se sont relayés pour échanger avec Yves le bassiste et Paul le chanteur du groupe. L’œil globuleux et la cuisse persillée, nos batraciens culturels ont tenté de mieux cerner le groupe, de l’encercler même, de l’amadouer, de le bousculer, de le comprendre.

Actu, évolutions, avenir ? Un long entretien qui mêle le ton décalé des Fatals Picards à une certaines forme de spontanéité et de questionnement sur le phénomène Fatals Picards. Le groupe évolue, se détache de son héritage historique, braconne sur de nouvelles ères de jeux, joue avec les limites de leur concept. Peu avant le concert, à quelques jours de la relâche en cette fin de tournée, c’est l’occasion d’un échange large et franc, assis dans une loge, détendus, entre nous. Ouvrez les grilles, que les jeux commencent… jetez les grenouilles dans la mare !

Alors bonjour les Fatals Picard, ça va bien ?

Paul Léger : Alors bonjour, salut salut, ouais ça va bien, on a un peu chargé la mule hier, donc là on est un peu… en récupération.

Grosse actu en ce moment ?

Paul Léger : Fin de tournée quoi !

Yves Giraud : Oui, fin de tournée et projet d’émission télé en cours.

"La vie en rock", c’est ça ? Vous pouvez nous toucher deux mots de ce nouveau projet des Fatals ?

Yves Giraud : La vie en Rock, c’est une émission qui vient de la tête de Jean-Marc le batteur, l’idée est de faire venir un people…

Paul Léger : Disons une personne de la grande variété, c’est un peu l’idée, prendre un truc genre Julie Zenatti, Dave…

Yves Giraud : … qui sont des chanteurs, mais ça peut être aussi des gens qui ne sont pas forcément chanteur, et leur faire jouer du rock et de les titiller, les interviewer, leur faire des quizz…Il y aura aussi un plateau découverte, avec des groupes qu’on fait venir, des coups de cœur à découvrir, et puis une séquence avec des artistes qu’on a plus l’habitude de côtoyer sur la route, genre Wampas, les mec de No One (Ndlr : No one is innocent), les mecs d’Archimède qui doivent faire un petit truc, mais eux en acoustique.

Et là c’est lancé ? Vous avez déjà enregistré quelques émissions ?

Yves Giraud : Ouais c’est lancé, on a déjà fait trois émissions.

Elles seront diffusées prochainement ?

Paul Léger : Le 22 décembre, le lendemain de la fin du monde.

Yves Giraud : Pour ceux qui restent, ils pourront la voir.

Paul Léger : Putain si c’est vraiment la fin du monde, on a fait tout ça pour rien !

Mais aujourd’hui, ce n’est pas la fin du monde.

Paul Léger : Loin de là !

Nous sommes au Fil pour votre quatrième concert dans cette salle, vous avez une attirance particulière pour ce lieu ?

Paul Léger : En fait c’est une grosse salle de musique actuelle dans une grosse ville de France, comme on fait une centaine de concerts par an.

Yves Giraud : Elle fait partie du circuit !

Paul Léger : Après, on se sent plutôt bien avec les gens d’ici, on a toujours bien rempli. Dans ces cas-là on revient quand on est bien accueilli, c’est cool. C’est aussi simple que ça !

A ce propos, au niveau dates et remplissage vous continuez aujourd’hui à être un groupe qui tourne bien, même à Saint-Etienne où l’on note de grandes difficultés économiques, sociales, qui portent préjudices au spectacle vivant. Mais pour vous, les tournées fonctionnent toujours bien ?

Paul Léger : Ben écoute ça va, plus de 800 tickets déjà vendus ce soir (Ndlr : un millier de spectateurs au final pour une jauge maximum de 1200), ce sera pas plein plein, mais ça va, c’est pas la tôle !

Yves Giraud : On ne se plaint pas.

Paul Léger : Avant les fêtes, ce n’est pas la période où tu fais les meilleurs scores et comme plus personne a de pognon. Une grosse part de notre public nous suit nous, mais aussi d’autres groupes de musiques actuelles comme nous, le public est obligé de choisir les concerts où il va. Comme nous sommes dans un concept un peu humour-rock, on a plus ou moins tiré notre épingle du jeu, puisque c’est marrant.

Yves Giraud : Et comme on n’est pas médiatisé, que l’on ne voit pas nos clips spécialement à la téloche, et que l’on ne nous entend pas à la radio, le seul moyen de nous voir, de nous écouter, c’est de se déplacer… C’est un peu l’explication, je pense.

Au passage, on interroge le rapport public / popularité / ventes d’albums : on note que votre album Pamplemousse Mécanique sorti en 2007 vient d’être sacré Disque d’or en 2012.

Paul Léger : C’est vrai qu’il faut quand même constater qu’on vend moins de disques que Mylène Farmer. Non, nous ne sommes pas des méga gros vendeurs de disques. On a un public assez jeune, du coup on est vraiment dans le système de téléchargement. On est persuadé qu’il y a quand même pas mal de gens qui nous aiment bien et qui n’ont pas de CD. Après les disques sont chers, c’est un débat qui est compliqué. On préfère que les gens viennent nous voir en concert.

Donc Pamplemousse est Disque d’or cinq ans après, c’est vrai que si t’es pas dans le créneau des concerts, que tu ne suis pas l’actualité, et que tu regardes que NRJ 12, c’est clair que tu n'entends jamais parler de nous. C’est difficile de vendre des disques, mais on en a vendu quand même 75 000 de celui-là ! En gros sur tous nos albums, on a vendu 250 000 disques, ce n’est pas rien sur toute une carrière.

Yves Giraud : Disons que c’est la conjoncture du disque, c’est pour tout le monde pareil sauf que nous en vendons pas mal en concert. Les gens peuvent l’acheter, ils nous voient, ils peuvent le faire signer…

Et en même temps, ce Pamplemousse Mécanique qui continue à se vendre et qui devient Disque d’or, cela prouve qu’il a marqué et continue à marquer les esprits. Il est connu, réclamé par le public. De votre point de vue, vous le considérez encore comme emblématique des Fatals Picards ?

Paul Léger : Non pas vraiment, c’est parce qu’il y avait la chanson de l’Eurovision sur celui-là, c’est pour cela qu’il s’est vachement plus vendu que les autres. Il venait de sortir quand on a fait l’Eurovision, donc on a remis la chanson sur le disque, on a eu beaucoup de média à l’époque, de télé et du coup, c’est clair que ça a boosté les ventes. Sur l’album que l’on va sortir, tu nous files les mêmes télés, c’est clair que tu en vends beaucoup plus ! Pour nous, c’est quand même un album emblématique dans le sens où c’est le premier auquel j’ai participé, et Yves aussi, donc c’est notre premier album à nous, où il y a pas mal de chansons qui sont devenues un peu des classiques de notre répertoire. C’est un album important, disons que ce qu’on joue sur scène, c’est vraiment à partir de celui-là. Tout ce qui est avant ça, on joue presque pratiquement plus rien.

Donc ce soir on va redécouvrir sur scène surtout des titres de cet opus ?

Paul Léger : Non, non, non, non. Il y en aura aussi des deux autres derrière. En fait, c’est surtout les trois derniers albums. Il y a pas mal de Coming Out, notre dernier. Il va y avoir vingt/vingt-cinq chansons en tout dont quatre ou cinq de Pamplemousse.

A ce propos, nous nous étions déjà dit lors de notre dernière rencontre, à l’époque de l’album Le Sens de gravité, que Pamplemousse marquait une étape, et que l’on vous sentait parfois tiraillé entre un "avant" Pamplemousse qui représente l’héritage des anciens albums, la "franchise" du nom Fatals Picards à faire vivre, à assumer et un "après", avec une envie d’aller vers un concept musicalement plus fouillé, plus rock, avec plus de contenu, de messages…  Qu’en est-il aujourd’hui de cette évolution ?

Paul Léger : Ouais, mais on a encore des trucs à la con ! Tu vois, les deux chansons qu’on va jouer ce soir et qui seront sur notre prochain CD, sont des trucs pas forcément politiques, sociaux…

Yves Giraud : Mais plutôt du débile, comme on dit !

Paul Léger : Entre nous, on dit qu'il y a des chansons qui sont plus débiles que d’autres. Les Fatals, c’est un juste milieu entre des chansons à la con genre Punk à Chien, et des trucs qui amènent à plus de réflexion.

Yves Giraud : Mais c’est vrai l’envie dont tu parlais. Il y a une envie musicalement de prendre un peu les rênes et de se faire plaisir dans des arrangements, dans le son, dans une recherche, pour aller plus loin, dans quelques choses de plus dur, de plus rock…

Paul Léger : Plus musical, après on n’est pas Megadeth non plus ! Mais c’est vrai qu’avant, la musique était derrière, quand on était deux chanteurs. Il y avait le texte devant, et la musique derrière. Maintenant, depuis qu’Ivan l’autre chanteur s’est barré, c’est vrai qu’au niveau musical et dans l’écriture, la musique a plus d’importance.

Toujours dans les évolutions notoires, Les Fatals Picards étaient initialement étiquetés rock indé, puis la Warner a produit un certain nombre de vos albums. Vous revoici de retour chez un label indépendant ?

Yves Giraud : Oui on est revenu en indé, on est plus chez Warner, ce qui laisse une liberté totale, tu as pas à lever le doigt pour demander : "Est-ce que celle-ci on peut la mettre ?".

Paul Léger : "Est-ce qu’on doit attendre encore deux semaines avant machin ?", on fait se que l’on veut, on ne pose plus de questions et puis voilà !

Vous êtes de nouveau complètement aux rênes du prochain album, quelle est la date de sortie ?

Yves Giraud : 2013, on va dire fin 2013 je pense.

Paul Léger : Deuxième semestre en fait, je pense. On est sur le projet de l’émission télé et on doit faire neuf émissions d’ici juin. Plus les concerts, ça fait des bonnes semaines et du coup c’est vrai que quand tu as besoin de te concentrer sur un truc genre musique, tu n'es pas dedans quand t’es crevé. Je pense qu’on s’y remettra dans le courant de l’année prochaine, il devrait sortir deuxième semestre. On a déjà mis en boîte cinq-six chansons donc on en a fait un gros tiers. D’autres chansons, quelques conneries aussi, des petites chansons débilos et puis voilà ça fera l’affaire. Mais pour l’instant on n'y est pas. On a fini l’émission, il nous reste deux dates et ce sont les vacances !

Yves Giraud : Là, on est plus ambiance ski…

Et autre ambiance du moment, on est le 7 décembre aujourd’hui. C’est le Téléthon. Vous pouvez nous parler du Défithon des Fatals Picards ?

Paul Léger : Le Défithon n’est pas notre idée, c’est une idée de l’organisme du Téléthon qui sollicite des artistes. Le principe est le suivant : si les gens donnent des sous, je relève ce défi. Alors il y a eu plein de gens qui ont participé, comme Jennifer, et l’année dernière on l’a fait, on avait dit que si on arrivait à récoler cinq mille euros, on irait dans une salle de sport et on ferait une chanson en courant sur les tapis là. C’était un calvaire à chanter là-dessus, c’était fatiguant. Je m’étais mis en jogging, j’étais super !

Et là on a dit que si on récoltait cinq mille euros, on tirait au sort un des généreux donateurs et on irait faire un mini concert acoustique de 20 minutes, une demi-heure chez lui. On a déjà dépassé les cinq mille, on est presque à sept mille, je crois, sur le défi.

Yves Giraud : Donc on va partager le reste…

Paul Léger : Voilà, exactement… Non, non, mais dès que ce sera validé, on tirera quelqu’un au sort en espérant qu’il n'habite pas non plus à l’autre bout de la France, qu’on n’aille pas dans la vieille cité de Grenoble tu vois…

Yves Giraud : S'il habitait en région parisienne, ce serait pas mal !

Paul Léger : Oui et très riche tu vois, avoir du champagne et tout, ce serait cool aussi !

Yves Giraud : Oui et un grand salon…

Paul Léger : On ne va pas aller demander de faire des trucs caritatifs, on nous demande on le fait, c’est assez normal quand tu es une personnalité publique, à un moment donné tu prends un peu de ton temps pour faire un truc. On a tous des gosses, tu ne peux pas être non plus insensible !

Petit silence.

On laisse un petit moment là.

Paul Léger : Oui un petit moment sensible, mets un petit coup de piano…

Vous avez écrit "L’histoire d’une meuf", où vous balancez, avec humour, sur les artistes qui vont se produire au show des Enfoirés parfois juste pour exister ou continuer à exister. On vous voit maintenant dans le clip "Des Ricochets".

Yves Giraud : Oui c’est discutable.

Paul Léger : C’est vrai que c’est une vraie discussion. Quand Jean-Marc nous a proposé de faire le clip Unicef, on a dit oui. On n'y va pas pour faire les fanfarons ou récupérer quoi que ce soit. Quand l’Unicef nous dit que cela ferait plaisir que nous venions chanter, on ne peut pas dire : "vas-y salut, j’men branle des gosses", c’est toujours un peu difficile... C’est vrai qu’on a été dans le clip.

Et puis je ne suis pas sûr que vous fassiez partie des artistes qui ont effectivement besoin de cet éclairage là.

Paul Léger : Non, mais ça nous dessert presque plus qu’autre chose, en fait.

C’est intéressant en tout cas à relever par rapport au message que cela renvoie. De la même manière, la dernière fois qu’on s’est vu, tu avais un peu smatché Julie Zenatti - cible récurrente du groupe - dans l’interview et dernièrement, nous découvrons que vous avez partagé une scène au Bataclan pour un duo, très sympa au demeurant.

Paul Léger : Oui, mais Julie fait partie de ces personnes que je vanne, même quand elle est à côté de moi, je ne me gène pas…

Yves Giraud : D’ailleurs on l’a rencontrée pendant "Les ricochets", dans les couloirs, il y avait plein d’autres artistes et la première rencontre, elle a dit : "C’est vous les Fatals Picards ?"

Paul Léger : Elle a fait : "Ah ouais, c’est vous !". On décontracte un peu l’ambiance, elle n'est pas con non plus, elle a pigé aussi. Ou alors elle est con, elle n'a rien compris. Je pense qu’elle est con…

Finalement, ça illustre un peu la formule Fatals Picards ? Une forme d’humour provoquant, mais pleinement assumé, on peut se moquer pour se marrer, mais sans haine et sans s’interdire de chanter avec la personne visée à un moment.

Paul Léger : Comme on est dans cette forme d’humour, on peut se permettre de faire ce genre de trucs, ça fait marrer les gens quand Julie vient chanter "Call me" avec moi, et quand à la fin je lui dis "allez vas-y dégage !", c’est fun. C’est la blague ! Puis, elle chante bien Julie quand même !

Mais ça reste une bonne blague...

Paul Léger : C’est une bonne blague, on fait une grosse scène, puis on va inviter les Wampas, c’est sympa mais ça reste dans le concept. Là on fait un truc, on invite Julie Zenatti ! Comme elle fait cinq concerts par an, elle a déjà mis what plombes à se coiffer, se fringuer… Elle arrive, c’est la sortie du week-end ! Tu fais la chanson sur les Enfoirés où tu mets du Julie Zenatti… et bam elle arrive ! Voilà, la blague est faite…

Yves Giraud : Après 80% de notre public n'y voit pas…

Paul Léger : … Oui, ils s’en branlent ! Mais ils ont quand même applaudi Julie Zenatti, et ça s’est fort ! La blague fonctionne.

On ne va parler de Julie Zenatti plus longtemps, d’autant que vous croisez un paquet d’autres artistes, plus alternatifs, sur la route, alors, au-delà des frérots des Wampas que vous citez souvent, s’il y avait quelques petits frères à présenter aux lecteurs de Froggy aujourd’hui, qui ce serait ?

Yves Giraud : On a croisé Archimède.

Paul Léger : Mais ils sont déjà supra connus ! Non, on en croise un paquet ! On aime bien les 3 Fromages, c’est un petit groupe de punk à la con, qui chante des trucs à la con comme quand on était jeune. Ils ne vont pas changer l’histoire de la musique, mais c’est frais, c’est sincère, c’est du rock n roll, c’est cool !

C’est vrai qu’en fait on croise des groupes en France, mais on les voit jamais. Pendant qu’ils jouent, on se change en fait. Une fois qu’ils ont terminé de jouer, on a un quart d’heure et on joue, donc on voit un-deux morceaux. On ne voit pas beaucoup de groupes… On est très exigent et puis moi je trouve qu’on est vraiment le meilleur groupe du monde ! Du coup les autres, ça ne m’intéresse pas ! C’est toujours vulgaire ou nul…

Yves Giraud : Moi j’aime bien faire l’effort d’aller creuser, d’aller écouter…

Paul Léger : Pas moi !

Yves Giraud : Pas lui…

Paul Léger : Je n’aime pas trop la musique, moi !

Paul Léger (à Yves Giraud) : C’est bien d’avoir des personnes avec une certaine ouverture d’esprit dans les Fatals…  (sourire)

Yves Giraud : C’est ce qui fait l’équipe… (re-sourire)

Paul Léger : Tu es vraiment un gros con ! Non mais plus sérieusement, c’est moins ma passion, ce n’est pas méchant ce que je dis mais Yves, lui, aime bien faire de la zique, il écoute beaucoup la musique, moi mon rapport est plus…

Le spectacle, le show ?

Paul Léger : Oui voilà ! Et le pognon surtout !

Evidemment…

Paul Léger : Je ne fais pas ça pour la gloire non plus !

En tant que meilleur groupe du monde, quels peuvent être les nouveaux défis pour les Fatals, musicaux ou autres ?

Yves Giraud : Un gros break de six mois !

Paul Léger : Oui des vacances… l’Asie ! On en parlait en début d’interview, on a du bol de bien tourner, d’avoir autant de dates, même plus que l’année d’avant. Maintenant ce qu’on peut nous souhaiter, les nouveaux gros défis…

Yves Giraud : C’est monter l’émission, boucler l’album…

Paul Léger : L’émission, on n’est pas en terrain connu, c’est vrai que c’est un boulot plus difficile pour nous et le gros défi, c’est de continuer à tourner autant qu’on tourne !

Donc on conclut en annonçant une grosse tournée avec l’album en 2013 ?

Paul Léger : Oui grosse tournée en 2013 et après sûrement une sorte de break en 2014…

 

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En savoir plus :
Le site officiel des Fatals Picards
Le Myspace des Fatals Picards
Le Facebook des Fatals Picards

Crédit photos : Cyril Hortala

Avec la participation de Clémence Meallier, Morgane de Monterno et Eléonore Grange


Cyril Hortala         
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