Fiona Monbet, violoniste franco-irlandaise est née à Paris à la fin des années 80. Diplômée du CNSM de Paris et du centre des musiques de Didier Lockwood, elle mène aujourd’hui une double carrière jazz et classique.
Son univers est multiple, varié et novateur. Travailleuse acharnée et passionnée, elle vise l’excellence sur tous les fronts en étudiant auprès des plus grands musiciens de jazz francais et internationaux, tout en poursuivant sa formation classique.
En 2007, elle se retrouve sélectionnée pour représenter l’école de Didier Lockwood à New York lors du congrès mondial sur l’éducation du jazz. Elle va ensuite participer à de nombreux festivals de jazz, révélée par Didier Lockwood et rencontrer de nombreux artistes avec lesquels elle travaillera.
Dernièrement, elle a sorti un deuxième album, Contrebande, qui rend hommage à Didier Lockwood, composé de dix titres qui nous dévoilent un répertoire où flirte jazz et musique classique, dans lequel elle est accompagnée de trois musiciens qui jouent à ses côtés de l’accordéon, de la guitare classique et de la contrebasse.
C’est un voyage que nous propose l’artiste au fil des dix titres, nous baladant vers le Brésil, l’Argentine, la Pologne et l’Irlande. Elle nous dévoile délicatement ses talents de violoniste sur un album apaisant que l’on prend plaisir à écouter.
Cette semaine Daniel Johnston nous a quitté, mais aussi Philippe Pascal de Marquis de Sade. Merci à eux pour tout ce qu'ils ont apporté à la musique mondiale pour l'un et hexagonale pour l'autre.
Pour ce qui est du reste de l'actualité culturelle de la semaine, c'est parti pour le sommaire :