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Interview  (Paris)  22 juin 2003


Anne-Laure P. (basse), Arnaud G. (batterie) et J.P. Montal (guitare et chant), stéphanois ayant élus domicile à Paris, constituent, depuis 1997, le groupe français Temper qui émerge littéralement avec son nouvel album "New Place New Face" enregistré sous le label Talitres.

Quelques minutes avant leur concert à la Guinguette Pirate, en première partie de The National, le trio nous a accordé une interview impromptue en se prêtant avec bonne humeur et humour au jeu des questions que nous n'avions pas préparées!

Qui est Temper ?

J.P. Montal : Géographiquement, nous venons de Saint Etienne. On se connaît depuis quinze ans, nous étions à l’école ensemble et nous avons fait des groupes ensemble. Un d’entre eux était Boredom qui était un groupe pop dans la mouvance des Pastels, TV Personalities. Puis nous nous sommes retrouvés à Paris pour des raisons de boulot et nous avons monté Temper en 1997.

Musicalement nous voulions abandonner la ligne mélodique pop pour faire du rock brut assez pur, enregistré live si possible, avec peu d’instruments d’où l’idée du trio pour limiter les arrangements.

Nous avons enregistré un premier album autoproduit "Snow talking people" qui a eu quelques critiques sympathiques, puis un second album également autoproduit "Megaphone chien rouge" qui a eu de bonnes chroniques dans les fanzines et qui, surtout, a attiré l’attention de Sean du label Talitres qui nous a contactés. Il a longuement écouté nos morceaux puis les démos que nous lui avons envoyées. Ça lui plaisait et il voulait signer un groupe français qui chantait en anglais pour l’insérer dans son catalogue. D’où l’album "New face New place".

Cet album a été enregistré pendant 15 jours dans une grange près de Moulins où nous avions fait venir un ingénieur du son qui a apporté son matériel d’enregistrement pour enregistrer toutes les prises en live. Nous ne voulions pas enregistrer dans un studio. C’est donc un son brut., du live maîtrisé avec droit à l’erreur. Ce que nous voulions faire, et je ne dis pas que nous y sommes parvenus, c'était jouer "Exile on mainstreet" des Rolling Stones comme si c'était Steve Albini qui le produisait.

Donc chez Temper il n’a pas le son album et le son live ?

J.P. Montal : Non c’est globalement assez proche sauf ce soir puisqu’on utilise la batterie du groupe The National qui n’a pas le même son que la nôtre. Nous ne sommes pas des bêtes de tournées. Nous faisons peu de concerts et nous aimons qu’ils soient changeants avec des parties improvisées. Certaines chansons sont parfois modifiées dans leur construction mais pas dans le son.

Ces improvisations concernent des chansons qui sont les vôtres et qui ne figurent pas dans vos albums ?

J.P. Montal : Certains, comme un morceau du premier album "Serpico". Nous avons rajouté des parties différentes. Nous jouons aussi des popsongs cadrées qu'on ne modifie pas. Nous sommes tous fans de groupes comme Television ou le Velvet Underground et on aime bien que parfois le morceau parte dans des directions différentes.

D’être maintenant sous un label présente-il des avantages par rapport à votre période d’autoproduction mais aussi des inconvénients en termes de calendrier de productions ? Avez-vous gardé vos droits sur votre musique ?

J.P. Montal : Sur ce point tout est très clair avec Talitres. Nous sommes en coproduction au niveau financier et cela nous a permis de régler le problème des droits.

Etre chez Talitres est une chance parce que le catalogue est très bon. Sean connaît parfaitement cette musique et il sait très bien que nous ne pourront pas lui proposer un mini 4 titres dans deux jours.

Pour le moment il n’y a pas d’inconvénient. Quant aux avantages, ils sont évidents. Talitres gère tous les problèmes de logistique, a organisé ce concert et nous a trouvé plusieurs dates ainsi qu’une session radio sur Radio Aligre dans l'émission Planète claire. Par ailleurs, nous avons une distribution d’album que nous n’avons jamais eu ! L’album est facilement trouvable. De plus, le business rock c’est pas notre rayon et c’est pas à notre niveau que ça se joue.

Pour le moment vous ne vivez pas encore de votre musique, vous avez tous un job à côté ?

J.P. Montal : Non, nous travaillons tous…et ça vaut mieux.

Et comment conciliez vous les deux notamment pour les concerts ?

J.P. Montal : Nous nous sommes organisés avec le label pour lui indiquer des plages pendant lesquelles nous pouvions être disponibles.

Arnaud G. : D’ailleurs je ne pense pas que si nous prenions le risque de ne pas bosser pendant six mois ou un an que cela nous permettrait de vivre de notre musique sans en changer le cadre actuel. Nos jobs permettent d’assurer notre part de financement et de préserver la coproduction à laquelle nous sommes attachés.Cela nous permet aussi de ne pas tergiverser ni de faire de compromis, par exemple en acceptant de faire quelques titres en français, si on fait ou non un autre album. C’est binaire : c’est oui ou non.

J.P. Montal : Cela est très clair avec Sean.

Pourquoi l’anglais ?

J.P. Montal : C’est un choix parce tous les trois nous écoutons 99% de chansons en anglais. Mais il y a une chose qui est apparue plus récemment il y a deux ou trois ans. en ce qui concerne mon écriture.

Au début, je soignais moyennement les textes parce je misais sur une certaine liberté d’écriture dans les textes parce que les gens ne sont pas forcément bilingues. Or, les passionnés de musique écoutent les textes et déchiffrent bien l’anglais, surtout si l’album est diffusé à l’étranger. Donc depuis trois ans, je peaufine vraiment les textes et Anne Laure les relit pour traquer les erreurs. Sincèrement, je pense avoir travailler autant sur les textes que sur la musique pour le nouvel album.

Justement comment se passe l’écriture et la composition d’un morceau ?

J.P. Montal : Toujours la musique en premier. J’écris une base musicale que nous jouons ensemble et qui donc évolue. Anne Laure écrit la ligne de basse et les arrangements. Nous jouons et modifions au fur et à mesure la structure du morceau. Simultanément, deux ou trois phrases de refrain émergent et je construits le texte, qui lui aussi évolue tout le temps. Par exemple ce soir nous allons jouer un morceau dont le texte n'est pas encore définitif, même si c'est sans doute pas loin du compte.

Et l’écriture du texte se fait directement en anglais ?

J.P. Montal : Oui.

L’anglais est très fédérateur parce qu’il est facilement exportable mais n’est-ce pas un handicap pour la diffusion sur les ondes françaises en raison des quotas ?

Arnaud G. : Nous on s’en fout on bosse ! (rires)

J.P. Montal : C’est vrai mais nous n’avons pas d’état d’âme parce que l’écriture en anglais s’est imposée comme une évidence pour nous.

Anne Laure P. :Oui nous avons toujours chanté en anglais, d’abord en yaourt puis en anglais. Avec nos premiers groupes, nous ne faisions pas des reprises de Téléphone par exemple.

Arnaud G. : Ce qui n’empêche pas J.P. d’avoir des idées de chansons en français sur autre chose, mais il est vrai que nous ne les jouerons pas avec Temper. De toute façon ça ne collerait pas avec le son de Temper.

J.P. Montal : J’aime les textes de Gainsbourg et j’ai toujours été impressionné par ceux de Trust notamment.

En parlant de Saint Etienne, Mickey 3 D ça vous dit quelque chose ?

Anne Laure P. : Non pas tellement.

J.P. Montal : Moi, je n’aime pas ce qu’ils font mais en revanche ….

Anne Laure P. : …chapeau bas (rires).

J.P. Montal : De toute façon le pop rock pour le faire dans la tradition newyorkaise s’accommoderait mal du français. Il y avait un groupe français que j’adorais, de Lyon justement, les Ramblers, qui disait : on fait du rock on chante en anglais, on aurait fait du flamenco on aurait chanté en espagnol.

Vous disiez que vous écoutiez beaucoup de musique anglo-saxonne. Quels sont vos groupes cultes qu’il s’agisse de groupes que vous aimez ou de groupes qui peuvent vous influencer ?

J.P. Montal : Nous avons tous les trois une base commune constituée d’une part du rock’n roll des sixties et début seventies. Nous sommes des fans assez inconditionnels des Who, des Kinks, des Birds aussi sous certains aspects et bien sur le Velvet Underground. D’autre part, le rock indépendant américain des années 90 après le grunge. C’est Pavement,...

Anne Laure P : ..Silkworm, Shellac (groupe de Albini), Frank Black en solo

J.P. Montal : Les Pixies après chacun a sa petite obsession. Pour moi celle qui ne me lâche pas c’est les Rolling Stones même les Rolling Stones d’aujourd’hui un peu…décrépis

Anne Laure P. :Moi c’est la période Motown J’adore la musique noire américaine des années 60-70 même si mon jeu en est très éloigné.

A cause de la basse peut être ?

Anne Laure P. : Non, non c’est bien antérieur à cela.

Arnaud G : J’aime bien le groupe Crazy Horse qui joue derrière Neil Young ou le batteur de Led Zeppelin parce que je n’ai pas trop de facilités en musique et quand je les écoute ça me cale et me motive ou me démotive selon les jours…(rires)

Vous avez une formation musicale ?

J.P. Montal : Non. Nous jouons à l’oreille.

Arnaud G. : Je sais lire la rythmique et je pourrais même l’écrire… si je n’avais que cela à faire et si c’était utile…

Et cela ne pose pas de difficulté pour écrire les morceaux ?

J.P. Montal : Non, on enregistre et je garde les accords et avec Anne Laure on se cale là dessus mais nous n’écrivons rien.

Arnaud G : Pour ce qui concerne la batterie ça prend le temps que ça me prends, même au milieu des répétitions, pour arriver à sortir la ligne de basse et à comprendre le morceau. C’est totalement empirique, c'est à force de passages. Mais en général les lignes du début reviennent et se dégagent facilement.

Arnaud G : Par exemple pour un morceau ancien "Life style" , J.P. a trouvé une nouvelle façon de la mettre en place et on n’a de nouveau du plaisir à le jouer comme s’il s’agissait d’un nouveau morceau bien que les mélodies et les paroles sont identiques.

J.P. Montal : De même les morceaux sont enregistrés de la manière où ils se présentent à ce moment là. Ils peuvent ensuite évoluer. Il est vrai que pour notre denier album New Place New Face on voulait les caler. Pour les anciens morceaux, c’est un peu différent.

L’influence de Lou Reed est d’ailleurs très prégnante dans cet album notamment dans le morceau qui a le même titre. C’est volontaire ou une simple coïncidence ?

Anne Laure P. : Il est tombé dedans quand il était petit…

J.P. Montal : C’est clair car Lou Reed est un de mes plus grands chocs musicaux quand ma grande sœur qui est de dix ans mon aînée m’a offert le coffret des Velvet et l’album Berlin. J’ avais onze ans je crois et ça ma mis sur le cul. Mais je n’y pense pas quand je joue et il y a peut être une influence inconsciente mais j’assume.

Anne Laure P. : C’est un peu injuste de dire cela parce que c’est vrai que la voix fait un peu penser à Lou Reed mais les morceaux sont très différents.

J.P. Montal : Cela étant il y a pire comme influence.

Question banale : pourquoi avoir choisi Temper ? Le choix d’un nom n’est jamais neutre et il va vous suivre, longtemps nous l’espérons. Et puis il a été également choisi par un groupe de dub électro.

J.P. Montal : Trouver un nom c’est la croix et la bannière. Ce qui me plait dans le nom c’est ce qu’il véhicule deux choses. D’une part, l’expression "loose my temper" perdre son sang froid et temper veut également dire caractère, force de caractère.

Ce qui m’intéresse c’est que ce groupe ait du caractère et que les gens qui viennent nous voir, même s’ils ne sont pas emballés par notre musique, reconnaissent néanmoins que ce groupe avait du caractère.

C’était un nom provisoire au début et puis il a perduré. D’ailleurs les noms de groupes…quand je pense qu’un de mes groupes préférés Pavement signifie trottoir…Cela étant je ne suis pas très intéressé par les noms incroyablement drôles.

Anne Laure P. : Comme electric merguez

Arnaud G. : ou les blaireaux de ravel

Vous disiez que vous ne tourniez pas beaucoup. Avez vous déjà donné des concerts à l’étranger ?

J.P. Montal : Non mais il y a quelques perspectives pour une tournée en Allemagne.

Vos albums sont distribués à l’étranger ?

J.P. Montal : Oui par le biais de Talitres on peut trouver notre album en Allemagne (Zomba), en Italie, au Portugal et en Espagne. Nous avons eu de bonnes critiques en Allemagne.

Anne Laure P. : Nous serons d’ailleurs sur une compil avec d’autres groupes français comme Noir Désir .

J.P. Montal : Il s’agit d’une compil qui sortira dans un magazine allemand consacré au rock français Music express qui est l’équivalent de rolk and folk. Il y aura également Benjamin Biolay, Dyonisos peut être et Temper avec la chanson "September".

September a un rapport avec les événement du 11 septembre ?

J.P. Montal : Non pas du tout c’est plus personnel et saisonnier parce que je retrouve toujours la pêche en septembre. surement un truc d'enfance (rires).

Avez vous des chansons en stock pour un prochain album ?

J.P. Montal : On a 7- 8 chansons en stock qui mûrissent plus d’autres plus anciennes qui n’ont jamais été enregistrées mais pas de date. Nous avons de quoi faire un album mais pas de timing. Notre dernier album est sorti en mai 2003 et il faut voir comment il va évoluer.

Avez vous des projets solo ou jouez-vous dans d’autres groupes ?

Anne Laure P. : Je chante dans un groupe qui s’appelle Left et qui a sorti un album autoproduit, guitare basse batterie. Nous faisons de petits concerts guitare/voix sans grande prétention pour le moment .

J.P. Montal : J’ai écouté l’album c’est de la pop hyper mélodique qui fait penser à Elliot Smith.

Où peut-on trouver l’album ?

Anne Laure P : On peut le trouver dans mon salon sinon... sinon utilisez le mail lefttheband@hotmail.com.

Arnaud G. : Non moi rien, mais 2 groupes en 3 personnes c'est dejà pas mal, faut un peu laisser souffler la population. (rires)

Ce soir c 'est votre premier véritable concert parisien ?

J.P. Montal : Oui le premier de l'époque Talitres, dans de bonnes conditions, mais on a joué beaucoup dans les bars etc..

Arnaud G. : Oui ce soir c'est une des premières ou on sera pas emmerdé par la police !

Si vous deviez résumer votre musique en trois mots, lesquels choisiriez-vous ?

Arnaud G : On a droit à 1 mot chacun ou 9 mots ?

Anne Laure P. : Tripal ...qui vient des tripes donc

J.P. Montal : Rock ... à une epoque ou les groupes se disent rock indé, punk fusion ou je ne sais quoi, nous c'est du rock.

Arnaud G. : Déséquilibre… dans le bon sens du terme.

 

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