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Interview de Sabina Sciubba  ( Paris)  17 janvier 2007

Quelques minutes encore avant l'interview on se demande bien quel personnage se cache derrière ces Brazilian Girls dont l'album Talk to la bomb sort enfin en France.

La réponse est Sabina Sciubba, une jolie brune mi-italienne, mi-allemande, vivant aux Etats Unis et parlant couramment au moins 5 langues… une anti rock star atypique qui voit plus loin que le bout de ses talons hauts… entretien…

Sabina, peux-tu nous faire une petite présentation du groupe qui se cache sous ce drôle de nom ?

Sabina Sciubba : Nous avons commencé à jouer ensemble à New York. Même si aucun de nous n'est originaire de cette ville. Il y a un argentin, 2 américains, du Kansas et de Californie et moi je suis italo-allemande. Cela fait 3 ans et demi que l'on est ensemble et on tourne, on joue beaucoup en live. Surtout aux Etats-Unis parce que c'est … comme ça mais on va essayer de venir un peu plus souvent en Europe et essayer de réchauffer un peu les salles.

Il y a eu un premier album relativement peu distribué. Maintenant voici donc ce nouvel album avec comme tu le dis une volonté affirmée de la part du label et du groupe de se faire connaître en Europe. Est-ce que Brazilian Girls va rester un groupe de scène avant tout ?

Sabina Sciubba : Nous sommes un groupe de scène oui bien sûr. Mais le disque permet de toucher plus de monde. Le premier disque était plus calme, plus lounge, plus électronique. Même si le nouveau l'est également mais la batterie est mixée plus fort sur le nouveau disque. Mais ce nouveau disque sonne plus comme nous sommes en live. Il est plus … je ne veux pas dire brutal mais … si, en fait plus brutal. C'est très dansant. Pour nous, la réaction idéale du public, c'est qu'il danse et qu'il chante. On veut faire de la musique populaire dansante. Populaire au sens authentique du terme. C'est-à-dire une musique qui ramène les gens ensemble.

C'est un peu le même esprit que Vive la fête …

Sabina Sciubba : je ne connais pas mais tu n'es pas le premier à m'en parler, il faut vraiment que j'écoute ce que c'est.

Pour revenir à la carrière du groupe, la bio dit que vous jouez beaucoup dans un club très branché de New York …

Sabina Sciubba : En fait, c'est un tout petit club et je crois que c'est nous qui avons fait qu'il est devenu très fréquenté et très branché… On se connaissait tous avant mais c'est effectivement dans ce club que le groupe Brazilian Girls est né.

En général, les groupes qui se forment spontanément pour jouer dans des petits clubs commencent par des reprises. Ce fut également votre cas ?

Sabina Sciubba : Non pas du tout. On avait quelques bases, des bout de morceaux mais en vérité, on a commencé en improvisant, en faisant du jam. Pour être engagés, on a prétendu que l'on avait déjà des morceaux, mais ce n'était pas tout à fait vrai (rires). J'ai prétendu que j'avais des textes aussi. Et comme ce n'était pas le cas, je chantai des trucs nuls totalement improvisés dans plein de langues différentes. Du coup, les gens ne comprenaient rien, trouvaient cela très étrange et drôle. Ensuite, petit à petit on a travaillé les morceaux pour en faire quelque chose de plus fini.

Maintenant que sort le deuxième album, vous travaillez quand même toujours de la même façon.

Sabina Sciubba : Oui ! En fait, on vient tous plus ou moins du jazz, on a tous fait de l'improvisation et c'est un côté très important pour nous. Nous n'aimons pas être liés à des bases que ce soit électro ou autre. Et le gars qui joue des claviers et de l'ordinateur a trouvé une manière très efficace pour pouvoir jouer de son ordinateur comme d'un instrument normal au lieu de lancer des sons et d'attendre que ça se termine. Donc nous sommes totalement flexibles, pour rallonger ou raccourcir les morceaux. Et donc on peut continuer d'improviser même avec des machines.

Puisque Brazilian Girls est un groupe qui aime improviser et se retrouver sur scène, pourquoi avoir fait des disques ?

Sabina Sciubba : En fait, c'est arrivé très vite après le début des concerts dans le club New Yorkais. Par hasard, alors que les autres musiciens du groupe étaient habituellement toujours en tournée avec d'autres groupes, nous nous sommes tous retrouvé à rester à New York et on a commencé à jouer tous les dimanches dans ce club. Si bien qu’après 2 ou 3 mois, nous avions 3 ou 4 morceaux qui avaient bien évolué et pris une forme quasiment exacte.

Et puis un ami à nous, un talentueux producteur et ingénieur du son Hector Castillo, un vénézuélien nous a invité au Looking Glass Studios, qui sont les studios de Philip Glass. Le studio n'était pas utilisé alors on a enregistré gratuitement 4 morceaux là-bas. Et aussi bien nous que le producteur étions étonnés par le rendu, c'était vraiment bien.

Et à partir de là, le seul truc qui manquait, c'était le nom de groupe finalement ! (rires). On a fait le premier EP 4 titres autoproduit et tout de suite une maison de disques a sauté dessus. Et à ce sujet Verve a été adorable car ils ont pris le disque tel qu'il était et tout s'est passé très vite. L'album est arrivé dans la foulée, le temps que les avocats se mettent d'accord et tout ça, nous l'avions terminé.

Donc, c'était pour le premier album et puis pour le deuxième, on revenait de tournée, on était un peu épuisés mais on a pris un break très court et on a converti cette énergie de la tournée pour en profiter pour écrire le nouvel album. On voulait vraiment garder cette authenticité et spontanéité qui viennent quand tu joues beaucoup. Sans vouloir faire de choses trop réfléchies qui peuvent te faire tomber dans des pièges, la routine etc… Ca devient vite emmerdant de trop travailler sur un morceau en y revenant sans arrêt, tu ne peux pas écouter un morceau plus de 150 fois, après tu en as marre ! (rires).

Les morceaux une fois sur disque restent tout de même soumis à vos caprices sur scène ?

Sabina Sciubba : Oui, on continue de les faire vivre, d'improviser un peu dessus sans pour cela qu'ils deviennent d'autres morceaux. Mais de toute façon, être en studio j'adore ça. Enregistrer, mixer, la post production… c'est super. C'est vraiment très différent du live. J'aime aussi tourner mais à petite dose, alors 1 an et demi de tournée tu imagines, c'est vraiment épuisant. Alors les studios c'est aussi l'occasion de rester à New York, travailler, reprendre des forces, de l'inspiration et être un peu plus zen.

Il y a des grands noms sur l'album, c'est aussi une histoire de rencontre.

Sabina Sciubba : Oui c'est vrai. Mark Plati avait déjà participé au premier album, il fait un peu partie de la famille. C'est un peu notre grand oncle qui … nous dit de nous taire (rires). Rik Ocasek, c'est la maison de disque qui a proposé de travailler avec un autre producteur en proposant plusieurs possibilités et on a choisi Rik car on aimait beaucoup les Cars, on l'aime aussi en temps que personnage de rock n roll. D'ailleurs c'est une vraie rock star.

Je peux citer une anecdote d'ailleurs. Lors des séances d'enregistrement, il y avait toujours une fille de la maison de disque qui était là, mais pas pour s'imposer mais juste pour voir discrètement comment cela se passait etc., et avec qui on s'entend très bien. Et quand Rik a commencé à travailler avec nous, il me prend à part et me dit "c'est la fille de la maison de disque ça ? Tu peux lui dire d'aller voir ailleurs si j'y suis s'il te plait ?" … Bon, la fille ne l'a pas trop mal pris et ensuite cela nous a fait rire mais c'est vrai qu'il faut pas lui la faire, il veut pas être surveillé et ne pas dévoiler son travail avant qu'il y ait quelque chose de présentable.

Tu disais que le premier album était plutôt lounge, celui-ci est plus rock et plus dansant à la fois, c'est pour viser un nouveau public ou c'est venu spontanément ?

Sabina Sciubba : Non ce n'est pas calculé. Comme je dis souvent, ce n'est pas de la préméditation, c'est de la prémédication (rires). Quand nous avons fait le premier album nous n'avions encore aucune idée de ce que serait le prochain et maintenant je n'ai aucune idée de comment sera le troisième. Ca sortira comme ça sortira !

Et Verve n'a pas son mot à dire ?

Sabina Sciubba : Non, ils sont vraiment très bien et respectent notre façon de travailler et nous traitent très bien.

On peut comparer Brazilian Girls et TV On The Radio dans la façon de déconstruire les morceaux et d'innover en matière de mélanges sonores, tu connais ce groupe ?

Sabina Sciubba : Bien sûr nous étions voisins pendant longtemps. Ca marche très bien pour eux. C'est aussi de très bons musiciens, et il ne rentre pas facilement dans une catégorie. Mais eux aussi sans se poser de question, de façon spontanée en se laissant guider par leurs envies. Je partage assez bien leur point de vue sur la musique et je suis contente que ça bouge pour eux aussi en Europe. En tout cas aux Etats-Unis, ils marchent vraiment bien et font beaucoup de couvertures de grands magazines.

Tu considères que tu fais partie d'une scène underground New Yorkaise ou bien est-ce un mythe d'européen ?

Sabina Sciubba : Non, il y a une scène underground très dynamique là-bas mais nous, nous sommes je pense sortis de cette scène sur le plan musical, on arrive à vendre pas mal de disques, à faire des concerts en dehors de New York. En revanche, notre attitude reste underground. Je pense que nous ne sommes pas faits pour les radios publiques et surtout pas aux USA (rires). Mais on ne sait jamais car maintenant il commence à y avoir des publicités qui utilisent notre musique et nous en sommes ravis ! Si on arrive à faire de l'argent avec ce qu'on aime c'est génial !

Concernant les textes chantés en plusieurs langues, cela pose des problèmes aux USA ?

Sabina Sciubba : Et bien en fait on se demandait effectivement comment ce serait perçu et la maison de disques également avait un peu peur des réactions. Mais grâce à monsieur George W. Bush et son administration les gens ont une telle envie de s'ouvrir vers les autres pays et de montrer qu'ils ne sont pas totalement isolés du reste du monde, qu'il y a un contre mouvement en ce sens pour lequel on est devenu un peu les mascottes.

C'est très mignon d'ailleurs de voir le public qui est constitué de jeunes, de vieux, et de tas de nationalités, qui chantent les textes et qui ne savent même pas ce qu’ils chantent. C'est très amusant. C'est la globalisation dans le bon sens du terme.

Toi en l'occurrence tu sais ce que tu chantes … pourtant les textes de prime abord semblent un peu décousus. Qu'en est-il vraiment ?

Sabina Sciubba : En fait toutes les chansons ont et racontent une histoire. La première est assez dada par exemple mais le thème de fond c'est la dépendance. C'est l'idée d'une piqûre de moustique, il faut qu'on gratte ! Et "plus tu grattes, plus ça pique". Et si on a inventé un mot pour en parler (ndlr : le titre de la chanson "Jique") c'est parce qu'on ne veut pas être spécifique, on parle de la dépendance en général, cela peut être de la drogue, du sexe, de la télévision… quelque chose qui t'enchaîne …

"Le territoire" raconte en revanche une histoire assez linéaire sur l'intolérance …

Sabina Sciubba : En vérité c'est une histoire très personnelle. C'est l'histoire de ma chienne que j'ai amenée au Mexique, sur une plage. On se baladait et 5 chiens sauvages sont sortis des arbustes et ont attaqué ma chienne, ce qui lui a laissé des séquelles et entrainé sa mort quelques mois plus tard. Et le même jour nous avons écrit les paroles de la chanson, sous le choc et nous avons traduit cette histoire sur le côté humain.

Cet album est plus profond qu'il n'y parait en fait alors …

Sabina Sciubba : En tout cas l'album est totalement politique. La vie est indissociable de la politique. La politique est partout, tu peux l'appeler le business, l'amour, le pouvoir etc … Tout est politique. Mais j'aime les paroles ambigues que les gens peuvent interpréter. S'ils veulent interpréter "Le territoire" dans le domaine de l'amour, ils peuvent. Il y a du territorialisme dans l'amour, il y a de la brutalité aussi.

"Nicotine" est quand même un peu à part …

Sabina Sciubba : Ce titre parle de mon enfance, le titre est un peu à l'arrache mais l'idée c'est de parler de l'innocence de l'enfance et la nicotine c'est un peu la corruption de cette innocence.

Tu caches beaucoup de choses derrière un album qui a priori est un album plutôt dansant.

Sabina Sciubba : Oui, il faut que les gens prennent le temps d'écouter en plus de prendre du plaisir à danser !

Mélanger les langues c'est une marque de fabrique maintenant ?

Sabina Sciubba : Oui mais c'est aussi parce que nous avons beaucoup d'amis qui viennent de différents pays et c'est aussi une façon de parler presque habituelle avec eux. Parfois on mélange les langues car dans une langue un mot précis n'existe pas alors on le dit dans une autre langue. Prends par exemple en français le mot "glander". Ca n'existe pas ailleurs ce terme précis. Donc souvent tu peux t'exprimer plus spécifiquement avec plusieurs langues que dans une seule.

Par rapport à la scène, tu sembles avoir un personnage qui se cache un peu, il y a une raison ?

Sabina Sciubba : Oui, je veux garder l'anonymat pour d'autres projets révolutionnaires et politiques ! (rires) Non, ce n'est pas vraiment ça mais j'ai envie d'entretenir un peu le mystère. Et puis ce n'est pas nouveau mais de plus en plus il y a cette volonté de tout montrer, tout dévoiler avec pour seule ambition de vendre. Les femmes notamment qui se déshabillent et se retrouvent tout le temps à poil.

Ceci dit je ne suis pas du tout pudique et je me mets bien à poil sur la plage mais pas avec l'ambition de vendre des disques. Je vends ma voix, une personnalité, mais pas mes nichons et le masque sur les yeux c'est un peu comme ça pour le mystère pour que les gens utilisent leur imagination un peu. Il n'y a plus d'espace pour l'imagination si on dévoile tout. Alors j'aime bien l'idée que les gens imaginent que j'ai les yeux de toutes les couleurs, de toutes les formes !

Le nom du groupe est quand même assez trompeur, on s'attend à un disque de bossa et ce n'en est pas du tout …

Sabina Sciubba : En fait on a choisi un nom en déconnant et en jetant des noms comme cela à la volée, c'est celui-ci qui nous à fait le plus marrer. C'est vrai que l'on a des idées un peu politiques mais ce n'est pas pour cela qu'il faut trop se prendre au sérieux, on ne veut pas être des prêcheurs. Tout le monde pense ce qu'il veut. Si on peut inspirer quelques personnes à penser d'une certaine façon tant mieux mais c'est tout. De toute façon quand on voit une photo du groupe et que l'on voit le nom, c'est facile de voir que l'on ne se prend pas trop au sérieux (rires).

Le titre de l'album est assez marrant aussi d'ailleurs "Talk to la bomb" ?

Sabina Sciubba : Oui c'est à double sens, puisque en anglais comme en français, une bombe c'est aussi une belle femme. Mais pour moi, cela veut dire surtout une conversation impossible parce que si la bombe se met à parler, on n'a plus rien à dire ! C'est un peu un moyen de dire aux gens de pouvoir que si leur moyen de conversation c'est la bombe alors il n'y aura plus grand-chose à dire après … c'est une des interprétations que l'on peut en faire en tout cas.

C'est donc un album à messages multiples …

Sabina Sciubba : Oui exactement. Sur l'album précédent il y avait un titre qui s'appelait "Pussy Marijuana" et les gens croyaient que c'était un truc super léger qui voulait dire qu'on aime baiser et prendre de la drogue … Ce qui est vrai, je ne le nie pas non plus (rires) et par rapport à la censure aux Etats-Unis, ce morceau ne pouvait pas sortir. Et la maison de disques l'a quand même sorti et c'était un geste important de sortir cette chanson pour lutter contre la censure. Cela permet de dénoncer un peu l'hypocrisie du système dans lequel nous vivons…

Pour finir, si tu avais 3 mots pour définir ta musique ?

Sabina Sciubba : Humour, Honnêteté et Musique.

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Talk to la bomb de Brazilian Girls

En savoir plus :

Le site officiel de Brazilian Girls

Crédits photos : Thomy Keat (Plus de photos sur Taste of Indie)


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