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Interview  (Paris)  7 février 2008

A l'occasion de la sortie de son nouvel album solo, comprendre sans Kat Onoma, Rodolphe Burger nous a accordé cel bel entretien.

Je souhaiterais faire un tour d'horizon de ta carrière, j'ai appris il n'y à pas longtemps que tes projets solos avaient débutés pendant Kat Onoma, était-ce pour y placer des choses qu’il n'aurait pas été possible de faire avec Kat Onoma ?

Rodolphe Burger : Le premier album solo c'est "Cheval Mouvement" qui date de 1993 c'est à dire juste après Billy The Kid (troisième album de Kat Onoma) Je m'en souviens très bien, c'était juste après que nous ayons été obligés de ré enregistrer un morceau qui s'appelle The Radio, pour un remix par Arthur Baker. Les bandes master avaient été volées, puis saccagées, toute une histoire.

Donc, obligés de ré enregistrer, c'était un morceau ou il y avait quelque chose comme quarante pistes, fastidieux. Après cette séance un peu ingrate, parce que c'est pas drôle de refaire ce qui à déjà été fait, j'avais demandé à l'ingénieur son, de me filer une tranche, un micro et j'ai eu envie de faire juste une chose avec une guitare acoustique, ultra minimal et j'ai enregistré un morceau qui s'appelle Meow Meow, la première composition de cet album. Ce n’était pas du tout pour prendre ma liberté par rapport au groupe, au sens ou il y aurait eu d'autres envies, c'était plus une question de focus à l'intérieur du groupe sur l'aspect le plus minimal.

Et puis surtout j'avais besoin de me retrouver tout seul, pour me poser des questions d'écriture de texte. Quand on est le chanteur d'un groupe, on est dans une situation différente, on est un peu le porte parole du groupe, on est pas tout à fait seul face à la question de ce qu’on doit chanter. On ne peut pas aborder la question de manière complètement solitaire, j'avais besoin de me fabriquer un petit laboratoire à moi. C'est là qu'il y a eu plus de place au français, j'ai commencé à chercher des solutions, à essayer de fabriquer d'autres types de chansons.

Donc il y a eu ça en parallèle à Kat Onoma, il y a eu de plus en plus de choses en collaboration, parce que il y avait ce fait que j'ai été le seul dans le groupe, à décider de ne faire que de la musique. A cette époque, je vis à Paris, les autres à Strasbourg, c'est un fonctionnement très particulier, on est tous très engagés dans le groupe, mais chacun a gardé des activités.

J'ai donc multiplié les projets de production, j'ai composé pour Françoise Hardy, Alain Bashung et d’autres. Le label Dernière Bande à été une manière de développer ça. Ces dernière années j'ai du faire douze albums en collaboration avec Olivier Cadiot, James Blood Ulmer, Alain Bashung, Jeanne Balibar toujours liés à des expériences de rencontres musicales, de confrontations à d'autres domaines, comme l'électronique, la musique modale, beaucoup de choses.

Depuis 1999 je n'ai pas eu l'occasion de prendre du temps, de me reposer les bonnes questions, repartir sur un projet personnel. En 1999, il y avait le disque Meteor Show, co-produit par Doctor L (NDLA qui produit aussi No Sport) avec qui on est allé très loin, une expérience forte où on est allé explorer des régions sonores futuristes. On a revisité mon propre son, une manière très aventureuse de travailler. J'allais chercher autre chose, ça a déclenché plein de choses à divers niveaux.

J'ai appris que les Vieilles Charrues t'avaient demandé de participer une ou deux fois en tant qu'invité, comment s'est arrivé ?

Rodolphe Burger : On à joués avec Kat Onoma aux Vieilles Charrues, et suite à ça, ils m'ont proposé d'être invité permanent. C'est formidable. Je ne suis pas breton, mais j'ai une affinité avec la Bretagne, on avait trouvé, avec Kat Onoma, une sorte de terre d'accueil incroyable là bas. J'étais étonné que les organisateurs me propose d'être invité permanent, c'est à dire que tous les ans j'arrive et je fais ce que je veux.

Et donc tous les ans, j'ai en effet proposé autre chose, étant sur plein de projets différents, une fois j'ai proposé Hôtel Robinson, un projet avec Olivier Cadiot enregistré sur l'île de Batz en Bretagne. Une autre fois, j'ai fait un concert solo mais avec plein d'invités dont Alain Bashung. Un concert avec James Blood Ulmer, un autre avec David Thomas de Pere Ubu, ou avec Serge Teyssot-Gay de Noir Désir. C'est une liberté formidable.

D'autres projets de collaboration à venir ?

Rodolphe Burger : Non, je dois avouer que l'année passée et celle à venir, je me concentre sur cet album. Quoi que, il y a quinze jours, j'ai fait quatre concerts avec des musiciens Ouzbekes que j'avais rencontrés en Ouzbékistan il y a deux ans et demi. On a fait un projet qui s'appelle Planetarium, ce sont quatre musiciens merveilleux. Ca tombait au moment de la sortie de mon album, mais j'avais envie de le faire.

Là j'ai répété avec mon nouveau groupe, formé autour de cet album, un trio, format qui laisse une grande souplesse pour inviter d'autres musiciens. Je reste toujours tenté par toutes les aventures possibles. Mais cet album j'ai envie de le défendre, il à une importance particulière, j'ai passé beaucoup de temps dessus.

Justement, ça se sent qu'il y a eu du temps passé à le concevoir cet album. Ce qui m'a frappé c'est le travail du son, il y a une enveloppe très travaillée, cela à du demander une attention particulière.

Rodolphe Burger : Oui, tout a fait. L'option c'est le rebours à Meteor Show, c'est à dire, pas du tout recours aux artifices de production, pas de machines. Ca veut dire, soigner à mort les prises à partir d'éléments qui sont tous joués, ce sont des batteries souvent aux balais, des guitares et pianos acoustiques, des contrebasses sans avoir un truc qui sonne unplugged, ni quelque chose comme "le vieux son qu'on à aimé dans les années 70".

L'enjeu était de procéder comme ça, de rechercher un maximum de présence, on à utilisé des micros à ruban sur les voix, pour capter leur transparence, avec l'objectif d'avoir un son contemporain, pas du tout un son daté et ça, ça demande du temps, de ciseler tout, de faire un travail très détaillé, clair.

Ca à du prendre du temps à faire tout ça ?

Rodolphe Burger : Pas tant que ça, ça s'est étalé sur une période de six mois, mais très entrecoupé. J'avais des concerts, il y à ce festival que j'organise en Alsace (NDLA : le festival c’est dans la vallée, à Sainte Marie aux Mines, sa ville natale) un voyage à Sarajevo, à Moscou ... Bon, en temps réel, ça à du prendre trois mois, pour moi c'est énorme par rapport à mes habitudes. Je travaille dans une certaine urgence, qui est liée à des détails du type James Blood Ulmer arrive de New York pour quatre jours, donc il faut enregistrer le disque dans ce laps de temps.

Et puis il y à la raison économique, parce que le label n'a pas des moyens de production illimité. C'est pour cette raison que No Sport, je l'ai fait chez Capitol, j'avais besoin de temps. J'étais décidé à faire un disque plus "communicant" aussi, il est en français, ce qui n'a pas toujours été le cas. J'ai fait un boulot d'écriture à la première personne, en tout cas plus avancé que d'habitude. On a bossé comme des malades, mais le temps d'enregistrement reste raisonnable.

Il y a deux chansons dont les textes parlent de femmes "guerrières" Elle est pas Belle ma Chérie avec l’ombre de Calamity Jane en filigrane et Vicky.

Rodolphe Burger : Bon Vicky ce n’est pas vraiment une guerrière.

Tu essayes de la détourner justement.

Rodolphe Burger : Oui, j'essaye de la séduire et de la faire arrêter. Vicky c'est complètement une fiction, une espèce de film. Le point de départ est une anecdote que m'a racontée Olivier Cadiot, mon ami écrivain avec qui je travaille. Il à une maison en Charente avec une rivière dans laquelle ils ont trouvé une hache du IXe siècle, ce qui veut dire que les vikings sont passés dans cette rivière Avec leurs drakkars à fond plat ils passaient partout, ils remontaient les rivières.

L'image de ce coin de campagne, ou sont passés ces drakkars à suscité une sorte de rêverie. Elle est pas Belle ma Chérie, c'est une proposition de Fred Poulet. Ca indique une libido qui est moins portée vers les lolitas ou les bimbos que sur les vraies femmes.

Une chanson m'a surprise, Ensemble, au début je pensais que ça s'adressait à un mafieux, et finalement non, mais un peu tout de même. Pourquoi avoir voulu aborder ce sujet ?

Rodolphe Burger : C'est ce que tu dis, c'est une réaction épidermique, au delà même de ce choix politique. Cette espèce de truc complètement gluant, de tripotage généralisé, il n’arrête pas de toucher tout le monde, on est tous potes. Une chose qui deviens totalement informe et qui renvoi à la famille, c'est la mafia. C'est la dissolution du lien politique, de la tenue et de la distance.

A coté, quelqu'un comme Churchill, parce que No Sport c'est une citation de Churchill, qui était pourtant un grand réactionnaire, apparaît comme un type merveilleux. A cause justement de cette espèce de tenue, de distance. Là on à affaire à un truc, c'était l'expression de ça, plus qu'un pamphlet. C'est plus un sentiment ... quelque chose comme "me touche pas, on à pas gardés les cochons ensemble"

La rencontre avec Rachid Taha, avec qui tu fais un duo sur Arabécédaire, elle s'est faite quand ?

Rodolphe Burger : Dans les années 80, on s'est rencontrés à travers un de nos très grands amis, qui à été notre manager commun, il avait découvert Carte de Séjour et Kat Onoma, il à créé le label Attitudes. On a découverts qu'on avait vécu dans le même bled. Rachid a débarqué d'Algérie à Sainte Marie aux Mines, là ou j'ai grandi et on ne le savait pas.

J'ai toujours trouvé que Rachid était très mal identifié en France, on se rend pas compte à quel point c'est LE rockeur français, les anglais eux on mieux compris qui il est. On s'est beaucoup rapprochés ces derniers temps, on a fait des tas de choses ensemble, il a participé au festival c’est dans la vallée, je l'ai invité à Sarajevo, il m'a invité au Bataclan etc ... on a développé une amitié fraternelle. J'avais vraiment envie de faire quelque chose avec lui, et je voulais pas faire de duo juste pour en faire un.

L'idée de ce duo est de Rachid. Au début, il voulait que je chante en arabe, très bonne idée, mais faut que j'apprenne. J'ai donc créé cette musique, que je ne voulais pas trop arabisante, ni non plus occidentale, j'ai fabriqué une musique extra territoriale, avec une rythmique en sept temps. L'idée était qu'il vienne m'apprendre l'alphabet arabe et que je répète les lettres.

Il est arrivé en studio avec un manuel d'apprentissage de l'arabe, "l'arabe essentiel", parce qu'il y à beaucoup de différences entre la langue parlée et écrite, il voulait vérifier les règles. Et je suis tombé des nues devant la beauté de ces règles. On a inversé la chose, c'est moi qui fais le professeur, qui énonce les règles et lui s'est mis à improviser en arabe. Il s'est emparé d'un exemple de grammaire "les enfant étaient dans la rue" qui est devenu le refrain en arabe (NDLA je serais bien incapable de le retranscrire en phonétique) et ça c'est mis à prendre un poids symbolique très fort et politique aussi je dirais, sans qu'il y ai un message. C'est un moment important de studio avec Rachid.

Sur ce titre, je trouve qu'il y à un traitement de la voix, qui fait qu'elles ressortent toutes les deux, comme si elles avaient été doublées.

Rodolphe Burger : En effet, il n'y en à qu'une, mais elle a été splittée, c'est une chose qu'on a faite à plusieurs reprises sur l'album. Et Rachid est doublé à certains moments.

Le morceau Je tourne, c'est quoi cette suite de Fibonacci de la pensée et des nombres ?

Rodolphe Burger : Ca c'est vraiment Olivier Cadiot, l'un des deux écrivains avec qui je travaille depuis longtemps. Il m'a présenté le texte, mais tu ne fais pas un texte de chanson avec ça. En fait c'est avec lui que j'ai l'impression casser le plus le cadre de la chanson, sans qu'il y ai une absence totale de repères. J'aime bien cette chanson, parce qu'elle fonctionne, et en concert en particulier. Je l'ai jouée à Lille, tout à fait différemment. Il y à une sorte de matériau dans ce texte, dans la division des voix mentales, le mec qui se parle à lui même.

James Blood Ulmer, ça fait longtemps que tu le connais ?

Rodolphe Burger : Pour résumer, Blood pour moi c'est le musicien qui m'a le plus frappé et touché. Je l'ai découvert en 1977 au festival d'Antibes avec Ornette Coleman, et j'ai eu un choc. Ce mec, dans un contexte post free, le voir avec une liberté totale, une virtuosité désinvolte, pas du tout démonstrative. Il avait tout, en un seul son, une rugosité et une hargne, quelque chose de très vif.

Chez lui il y a l'Afrique. Il est fils de pasteur baptiste, et il chantait le Gospel quand il était petit. Il a accompagné des chanteuses de Rythm and Blues, enfin bref, tout ce que j'aime. Mon plus grand bonheur dans ma vie de musicien, c'est quand même d'avoir joué avec lui, qu'il soit venu jouer sur mes morceaux. On est devenus des frères, on joue ensemble, je le fais venir dés que je peux.

Là, je lui présente un blues, en français ce qui pour moi est interdit. Il écoute et me dit "This is deep, i’ll put my voice on that" c'était magnifique. J'ai fait un disque avec lui, que je te recommande (NDLA : Guitar Music) bon faut aimer la guitare électrique quand même, mais James Blood Ulmer, faut absolument écouter.

J'avais une question sur le titre de l'album, d'où viens t'il ?

Rodolphe Burger : Et bien, j'ai répondu, c'est une citation de Churchill lors d'une interview, on lui demandait quel était le secret de sa longévité, il à répondu "No sport, ever".

 

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Rodolphe Burger en concert à Théâtre National de l'Odéon (mercredi 16 novembre 2011)

En savoir plus :
Le site officiel de Rodolphe Burger
Le Soundcloud de Rodolphe Burger
Le Facebook de Rodolphe Burger


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# 2 août 2020 : Une petite pause s'impose

Le mois d'août arrive. Sans les festivals, l'actualité culturelle sera plus calme mais nous serons toujours là pour vous tenir compagnie chaque semaine notamment sur Twitch. Commençons par le replay de la Mare Aux Grenouilles #8 (la prochaine sera le 29 août) et bien entendu le sommaire habituel.

Du côté de la musique :

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"Waiting room" de We Hate You Please Die
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