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Interview  (La Maroquinerie)  mars 2004


Match au sommet, AS Dragon meet Froggy’s delight au stade de La Maroquinerie
FD : Thierry G.
AS DRAGON : Ils sont tous là , déjà passablement « motivés » par le concert à venir.
Avec Natacha ( N) , Hervé (H), Stéphane (S) , Michaël (M ), David (D)


M :Bon alors qui le fait cet interview ?
C’est toi qui a parlé pendant le précédent ( à Stéphane ) . Moi j’ai juste dit un mot compliqué, un mot de Télérama.

Un mot de Télérama ?

M :Oui, comme c’était Télérama, je me suis dit : "Quel mot pourrait bien plaire à Télérama ?". Alors j’ai trouvé un mot, j’ai trouvé syrinx (*) . C’est pas mal, ça fait bien Télérama.

Euh, tu pourrais me l’épeler ?

M : Oui s-y-r-i-nx !

Bon puisqu’on est dans la sémantique : pourquoi vous appelez –vous AS Dragon et pas FC Gargouille par exemple ?

[léger blanc] M : Pourquoi on s’appelle As dragon et pas FC gargouille ?? Ah oui, FC pour le foot – c’est une tentative d’humour ça?

Oui oui – désolé.

H : Franchement AS Dragon ça sonne bien non ?

Oui très bien, mais ça vient d’où ?

H : Ca vient de nous tous, c’est de la gamberge uniquement . ça sonne bien, c’est rigolo et on aime toujours. En plus on est vraiment une association. Et.. question suivante !

Bon. J’en ai plein. 3 mots pour définir votre musique !

M :Alors moi je dirai ésotérisme !

N : Non non

M: Ah si ! Esotérique, ça veut dire réservé aux initiés.

D : Excusez-moi – je suis en retard – salut tout le monde – on peut commencer.

N : Energie. C’est lié au plaisir. Dans l’effort tu génères des endomorphines. Deuxièmement on va dire émotion. Et troisième, euh , je ne sais pas trop.

M : Ah ben ne me demande pas puisque tu n’es pas d’accord avec moi.

N : On va dire, quand ça part un peu dans toutes les directions. Toi, le mot ?

S : Hétéroclite

N : Non pas hétéroclite , pas qui part dans toutes les directions, mais qui rassemble quelque chose.

H :Multidirectionel ?

M : Centripète ?

Protéiforme ?

N : Non pas centripète

M : Si Centripète c’est toutes les forces qui se rassemblent. C’est un peu ça quand-même.

Bon on va dire que c’est la bonne réponse. Question pour stéphane. Dans le livret du disque, à la rubrique remerciements, j’ai lu que tu remerciais à la fois Sissi impératrice et le prince des ténèbres. Tu peux m’en dire plus ?

S : Je les connais personnellement très bien tous les 2.

Ah. Ils s’entendent bien ?

S : Oh oui. Le pire des 2 n’est pas celui que l’on croit.

D’ailleurs il y a une touche gentiment SM sur votre disque non ?

M : Un coté quoi ?

Sado maso

N : Bien dit. Gentiment SM.

Le titre "Spanked" , l’illustration du livret. C’est délibéré, vous jouez avec ça ?

N : Laissons le loisir aux auditeurs de répondre à cette question.

H : Ca nous a fait marrer, parce qu’il y a une chanson qui s’appelle "Spank on me" et du coup...

N : Hé, à ton avis, 4 garçons et une fille dans une pièce, au bout d’un moment ça donne quoi ?

H : C’est vrai qu’on aime bien le .. comment on dit , on dit plus sexe maintenant, ah oui le cul ! Chacun à sa façon on aime vraiment ça, on en parle beaucoup.
Non franchement ça nous a fait marrer sur le coup, mais on n’est pas franchement SM.

N : faut demander au grand Shaman

D : Et puis , tant que ça reste entre amis…

N : Ouais bon pour résumer le tout on peut dire qu’on est des marrants.

Oui ?

AS : oui !

Vous avez raison, il faut se méfier avec les journalistes.

M : C’est un peu direct et définitif ce que tu as dit quand même. On n’est pas des comiques troupiers.

N : En matière de blague officielle tu te poses là.

M : Oui mais de là dire qu’on est des marrants..

H : Entre nous on se marre bien

Bon exit le coté SM.. Il y a également pas mal de références "culturelles" dans l’album. Il y Baudelaire bien sûr, qui n’est pas facile à adapter sur ce genre de musique, et puis il y une référence à Georges Bataille aussi, ou bien je n’ai pas compris ?

N : Oui, c’est ça, Dirty fait référence au "Bleu du ciel". Un bouquin très fort.

C’est une veine que vous comptez continuer à exploiter ?

H : Quoi, continuer à copier dans les livres ?

Non non , plutôt reprendre ce qui vous a plu dans un livre et le remettre à votre sauce, le transposer.

D : On ne se pose pas trop de questions, si on trouve un truc qui est génial, et soit on a envie..

N : Si on arrive à la transposer, de manière à ce que ce soit chanté, et non pas littéraire pourquoi pas. Mais ce qui nous intéresse c’est le coté rock, pas le coté littéraire. Moi j’ai besoin d’aller chercher l’inspiration à droite à gauche. Dans la musique aussi, c’est pareil.

Vous collaborez tous pour les textes? En tout cas les auteurs crédités sur la pochette sont assez nombreux.

N : Ca va changer tout ça.

Tu vas t’en occuper plus ?

N : Non, c’est pas que moi je vais m’en occuper plus, c’est que sur le premier album il y a des tas de gens extérieurs au groupe qui ont écrit. Il y a avait 2 problèmes : Un, je n’avais jamais fait ça,, deux je n’avais que quatre mois pour le faire, donc forcement j’ai pioché dans des trucs qu’on m’a proposé. Maintenant s’il doit y avoir des textes différents de ceux que j’écris, ça se fera au sein du groupe. Je suis pour les pousser à écrire, que les tâches soient de plus en plus partagées. C’est mon domaine les textes, mais j’ai besoin qu’ils me les valident sinon jamais je ne pourrais pas m’arrêter. Je ne peux jamais dire "c’est fini" . C’est un travail poétique.

"Pas chez moi" a été écrit par quelqu’un d’extérieur au groupe. Le morceau tranche un peu par rapport au reste de l’album ?

H : Non, nous on trouve pas, on l’a mis en avant.

J’ai pas dit qu’il était pas bien, j’ai trouvé qu’il sonnait différemment du reste de l’album.

D : Oui, il y a deux versions, la version française et l’anglaise. La version française a été remixée, c’était quatre mois après et il n’a pas retrouvé le son du reste de l’album. c’était pas une console numérique avec des mémoires, c’était de l’analogique, donc on repartait de zéro.

M: On nous pose toujours cette question, on nous dit que ce morceau n’est pas représentatif du reste de l’album. Alors moi je demande quel morceau est représentatif de l’album ?

D : C’est vrai que sur le mixage en anglais il y a eu une magie qu’on n'a pas retrouvé sur la version française.

N : Mais certaines personnes nous disent exactement le contraire.

S : Même nous quand on les joue, ce ne sont pas les mêmes chansons, en français et en anglais. Le texte influence le son.

Justement, est ce que vous allez vous orienter plus vers des textes en français, ou garder l’équilibre actuel entre français et anglais.

D : On devrait continuer à travailler sur les deux.

N : Il n’y a que trois chansons en Français sur l’album. Sur le deuxième il y en aura certainement plus, mais je ne ferai pas tout l'album en français , je n’ai pas envie de me priver de l’anglais. Peut être 2/3 1/3, on verra mais ce sera vraiment selon le besoin des chansons, parce que comme on le disait tout à l’heure, tu ne peux pas mixer de la même façon une chanson selon qu’elle est chantée en anglais ou en français. Ni les sons, ni l’interprétation vocale ne sont les mêmes, et donc selon les besoins d’un morceau, quand c’est plus mélodique et calme, ténu en particulier le français peux convenir.

Beaucoup de groupe français tournent à l’étranger avec succès, en Espagne en particulier. Et vous ?

H : Non pas nous. En fait l’Espagne on a juste failli y jouer ! On y était avec Bertrand ( Burgalat ), dans un festival en plein air et on SAVAIT qu’il allait pleuvoir. On arrive là-bas et ils n’avaient pas prévu de bâches. Bien sur il a plu et on est rentré. On a appris plus tard que les mecs qui devaient s’en occuper avaient été payés par la mairie 6 mois avant et ils priaient le ciel pour qu’il pleuve et qu’il n’aient pas besoin de bosser.

D : On a tourné aux Pays-Bas, en Suisse, en Belgique, en Allemagne.

N : Le disque sort en ce moment, en Angleterre en Allemagne, aux Etats-Unis, au Japon, en Scandinavie.

Vous avez eu quels échos pour l’instant?

D : Il est sorti au Liban, on va aller jouer à Beyrouth, on est la meilleure vente des disquaires.

N : On a été plutôt bien accueillis, justement dans les pays anglo-saxons, bizarrement.

Bizarrement ?

N : C’est plus risqué pour nous, parce qu’on arrive avec des chansons pop en Anglais.

D : Les anglais, si tu y vas à fond ils apprécient.

N : Ils sont beaucoup plus premier degré que nous, ils prennent les choses pour ce qu’elles sont. Ils ont du plaisir sur le moment.

D’un autre coté, ils aiment bien Air et Mellow, qui sont beaucoup plus « pop » que vous, qui jouent moins sur l’énergie.

H : Oui c’est vrai, mais on n’a pas eu de problèmes quand même. Il y a des fois on se fait beaucoup plus mal accueillir en France qu’à l’étranger.

N : Mais là où on a été le mieux reçus, c’était en Bretagne.

Et vraiment mal ?

N : On ne peut pas dire ça comme ça. Il y a des fois où ça ne c’est vraiment pas bien passé, comme en Norvège.

D : On a fait la première partie de Stéréophonics, c’était pas notre public, les mecs ne bougeaient pas, il y avait plein de petites minettes.

N : C’était pas vraiment notre milieu. Stéréophonics, c’est un peu la "starac" du rock.

On leur dira !

H : C’était un problème de programmation.

N : Etre mal accueilli, c’est quand on a donné beaucoup d’énergie et qu’en face on a eu des glaçons. A Paris ça arrive parfois, ils sont tellement blasés.

M : Bon allez, on arrête de parler de ça, on s’en fout !

Des projets ?

N : Deuxième album ! Et puis repartir en tournée.

Quelles sont vos ambitions en terme de musique, vous voulez devenir quoi ?

D : Ben musiciens. Travailler dans de bonnes conditions , rencontrer des gens intéressants.

H : Faire de beaux albums. Et puis si on voulait faire de l’argent , c’est producteur qu’il faut faire, pas musicien.
Tirer un coup de temps en temps.
Avoir du public, de belles petites nanas qui font des sourires. Et puis des beaux mecs pour Natacha. C’est pour ça qu’on est chez TRICATEL, parce qu’on y est libres. Il y a vraiment une équipe qui s’est constituée autour de nous, des mecs qui bossent souvent gratos.

D : Moi je nourris un rêve secret, j’attend que les Beatles se reforment pour essayer de piquer la place de Mac Cartney.

M : Bon on la commence quand cette interview ? ça n’a pas démarré là ?

Hum . Les victoires de la musique, vous en avez pensé quoi vous avez regardé ?

D : C’était chiant

S : Il y avait les Wampas, ça m’a fait plaisir. Ca a un peu secoué tout le monde.

Dyonisos ?

S : Ils font des efforts pour occuper la scène, c’est même très impressionnant, mais au bout de trois minutes on s’aperçoit quand dans leur musique il n’y a pas grand chose pour nous.

H : C’est pas ce qu’on écoute ni ce qu’on aime. Ils sont bien habillés, ils sont même repassés. Ça sent les cours de scène collectifs. Mais ce sont vraiment de super showmen , c’est difficile ce qu’ils font et on respecte vraiment.

Vous écoutez quoi ?

Dyonisos !

Mickey 3D ?

H : Ils sont super gentils, on les connaît, mais c’est pas notre tasse de thé musicalement, ce n’est pas ce qu’on écoute.

Vous écoutez quoi en ce moment?

M : En groupe ; les Stranglers, les Small faces, les Cure. On tombe d’accord dessus.

D : Mais il n’y a pas que ça, on est pas complètement passéistes non plus. Moi j’ai kiffé l’album des White stripes.

N : Comme groupe actuel que je trouve assez dément, il y a les Make-up , je crois qu’ils sont de Détroit, un mélange entre Iiggy Pop et Prince.

Vous pensez que le "retour du rock" auquel on assiste depuis quelque temps a vocation à durer, ou c’est juste une question de cycle ?

D : C’est juste des cycles , de la tchatche. Les Strokes ils ont vendu quoi , 5000 albums ?

N : 50 000 !

D : Oui bon, n’importe ils ont pas vendu grand chose par rapport au battage médiatique dont ils ont fait l’objet. En France, on les attend les groupes de rock.

Vous seriez les seuls ?

D : Non bien sûr, on sait très bien qu’il a beaucoup de bons, mais ils ne sont absolument pas dans les médias et c’est ça le problème.

H : Le retour du rock, c’est vraiment un truc de maisons de disque et de journalistes. Après la techno, qu’est ce qu’on fait ? Le rock est revenu par les DJ, par en haut, par des mecs très branchés qui en ont eu marre un jour de passe r de la techno ou de l’électro depuis 15 ans. C’est revenu par en haut, par les défilés de mode.

N : Il a toujours été là, en bas , le rock.

H : Par en bas, c’est la "starac", c’est les Victoires de la musique, le r’n’b. Le r’n’b c’est encore ce qu’il y a de plus créatif.

N : On observe quand même que les mecs qui faisaient de l’électro, aujourd’hui ils insèrent du rock dans leur musique, ou ils essayent de jouer de la guitare pour pas être largués.

H: Mais concrètement il n’y pas encore grand chose à se mettre sous la dent, c’est pour ça qu’il y a beaucoup de nostalgie. C’est pour ça que reviennent en force des monstres comme Iiggy Pop, tous les grands. Il a y une envie de rock, mais pas grand chose à se mettre sous la dent.
Où sont les punks aujourd’hui ?. Pas dans la musique je crois, ils sont dans d’autres délires. La musique rock actuelle est beaucoup sur l’apparence , très cloisonnée en scènes. Dès qu’un groupe commence à être un peu connu, il rejoint une scène, où il est sûr de tourner un minimum, de faire au moins 1 an d’intermittent du spectacle.

Qu’est ce que vous pensez du débat actuel à propos de l’utilisation d’Internet et de la gestion des droits d’auteurs ?

H : Question difficile..

N : Par rapports aux droits ? Au piratage tu veux dire ? Je crois que nous sommes tous ici un peu des deux cotés de la barrière, à la fois on préférerait que les gens achètent nos disques, sauf que je trouve que 15 euros c’est un peu cher payé pour un skeud, surtout que nous on touche un franc dessus. Ca c’est un problème de business et de maison de disque, c’est eux qui payent le pris de leur connerie. Moi, à titre personnel, à part pour des trucs cultes où je vais quand même acheter l’album, si je peux pirater je vais pirater.

H : Internet c’est quelque chose de libertaire qui est intervenu dans un monde qui ne l’est pas du tout. Il est clair que si on vient télécharger gratuitement un travail que j’ai fait, à ce moment là moi je vais demain matin chercher mon pain chez mon boulanger sans payer. Pourquoi pas ? On serait prêts à jouer le jeu d’une société libertaire, avec disparition de la propriété privée et intellectuelle. Mais là c’est une attitude très libertaire qui intervient dans un cadre où tout est très commercial. C’est vrai qu’il y des gens qui kiffent parce que ils obtiennent gratuitement plein de choses, qui croient qu’il sont les rois du monde parce qu’ils ont une collection de 250 DVD qui ne sont pas encore sortis en France, mais…

On parle de cas pathologiques là.

H : Oui mais tu vois je veux bien jouer le jeu mais sur le principe j’ai du mal à ce qu’on prenne mon travail sans contrepartie. La musique c’est du travail, c’est dur à faire la musique. Il se trouve que c’est justement chez les artistes qu’il y a le plus de gens qui sont prêts à partager, et c’est très bien. En revanche si des mecs qui ne savent pas faire trois accords ou de chanter juste se mettent à télécharger comme des fous en s’imaginant que c’est bien, que c’est moderne, à ce moment là demain je vais aller prendre le petit déjeuner chez eux !

Bien compris Hervé. Je vous prépare des croissants ou des tartines ?
...C’est pour ça qu’il faut détruire Carthage.

 

(*) Le syrinx est, chez les oiseaux, l’organe du chant situé à la bifurcation des bronches.

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