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Interview  (Paris, Fnac indétendances)  vendredi 6 août 2010

À l’occasion de leur concert au festival Fnac Indétendances, nous coinçons Eiffel dans l’intimité des salons de l’Hôtel de Ville, après une session acoustique appréciée.

Ma première question est toute simple : ça va non ? Quatrième album, la tournée, les concerts, c’est cool ?

Romain Humeau : Ouais, ça va !

Estelle Humeau : Ouais, c’est super, ce n’est pas vraiment cool, mais c’est super !

Romain : Ce n’est pas reposant mais on a la chance d’avoir un peu plus de succès qu’avant. Du coup tout est plus facile, sans que ce soit – je précise quand même – le carton non plus. Mais c’est vraiment bien quoi.

Ce soir, vous jouez à FNAC Indétendances, c’est particulièrement important pour vous non, l’indépendance ?

Romain : L’indépendance artistique pour nous, c’est important. Après d’être indépendant techniquement, c’est important aussi par rapport aux enregistrements, on l’a assez dit en interview, mais par contre on tient à une sorte de partenariat (pas de dépendance) avec – non pas la FNAC, enfin pourquoi pas – mais avec PIAS, une maison de disques qui sait travailler les disques, qui sait en parler aux gens, qui ont encore un rapport humain avec les médias, etc. Donc dans ce sens là, pas d’indépendance non, on a envie que des gens s’occupent de nous. Mais pour tout ce qui est musique c’est nous, on est musiciens, c’est à nous de la faire. Et faire la musique, c’est aussi l’enregistrer à mon avis.

Et le côté "tendance" d’indétendances ?

Romain : En fait je n’ai pas vu tous les trucs, toute la programmation, mais je peux parler de ce soir. Il y a Gush qu’on adore, avec qui on a joué aux déferlantes et dans d’autres festival, ils sont super sympas. Ce soir aussi, il y a les Plasticines, et puis Coming soon qu’on a vu aux Terres neuves il y a trois ans à Bordeaux. Et j’ai vu qu’il y avait Tricky, Arno, ça ce sont des trucs qu’on adore. Nada Surf, on a joué pas mal de fois avec eux. Alan Stivell aussi, c’est mon grand-père.

Nicolas Courret : Il y a 0800, un groupe de hip hop bordelais qu’on a écouté, c’est pas mal aussi. Et voilà, une bien belle affiche !

Il y a souvent une dimension politique chez Eiffel, en particulier ce soir où vous allez passer un message pour les sans papiers du XVIIIème.

Romain : Peut-être oui, enfin, ce n’est pas nous qui le passerons, mais ça permet une lucarne.

Alors une question politique : pensez-vous qu’à un moment la rue va vraiment dire non ?

Romain : Là c’est vrai que ce n’est pas en train de le prouver. C’est ce qu’on se disait avec Estelle dans le métro, on voyait tout le monde complètement dépité…

Nicolas C. : Et encore c’est l’été !

Romain : Et encore c’est l’été, mais c’est vrai que c’est effrayant, tu te dis ce n’est pas possible, ça ne peut pas bouger. Hum… Mais ouais, je pense ouais ! Historiquement ça s’est passé, dans notre pays particulièrement. L’autre fois je discutais avec notre caviste, une dame super gentille, et on parlait, elle avait entendu le morceau à la radio. Je lui disais : oui je sais c’est pas en train d’être prouvé. Et puis elle me répondait : oui, mais on n’est pas encore tombé assez bas. Bon, je ne sais pas si c’est souhaitable, hein !

Estelle : Non mais c’est exactement ça, ça s’est passé plusieurs fois que la rue dise non, parce que des seuils étaient atteints, et on est bien barré là.

Romain : Oui, le niveau d’alerte, je ne sais pas ce que ça veut dire, ça va toucher qui en premier ? En plus, nous on ne souhaite pas qu’y ait d’emmerdes, on aimerait que tout soit génial. On ne souhaite pas que la rue…

Estelle : Si elle dit non, c’est justement pour avoir moins d’emmerdes.

Romain : Bien sûr, mais s’il y avait pas d’emmerdes à la base ce serait encore mieux. Ce n’est pas un truc très gai tout ça. Tu disais qu’on a des chansons avec parfois des dimensions politiques ? Politiques dans le sens où cela parle des autres, des relations des uns avec les autres, oui ! Après dans le sens on est de gauche ou on est de droite, c’est plus compliqué que ça. L’autre jour on me posait une question sur l’affaire…

Nicolas B : L’affaire Louis Trio ?

Romain : Sur l’affaire Bettencourt - Woerth, qu’est-ce qu’on voulait que je dise ? Moi, je suis le chanteur d’Eiffel, ce n’est pas à nous de nous exprimer là-dessus.

On va passer de la politique à la poétique, vous avez dans votre répertoire deux morceaux qui vous tiennent à cœur, "Je voudrais pas crever" et "Mort j’appelle". Vous avez d’autres inspirations poétiques ?

Romain : Ok, j’en parle parce que j’écris les textes dans Eiffel. Je ne suis pas un lettré, je ne suis pas très cultivé. Je lis. Il y a plein de trucs qui me touchent. Vian, c’est un peu le flash de quand t’es gamin, ça te marque, et puis du coup t’as l’occasion de faire une chanson. C’est Estelle qui m’a dit : "tu devrais mettre ce texte". Villon, je ne prétends pas tout connaître, et même je connais très peu de choses, je ne connaissais que la Ballade des pendus. Après, en termes d’écrits, l’inspiration elle vient de… Bien-sûr que tu prends chez les autres, c’est comme ça que tu crées ! Tu parlais des poètes ? Il y a Pablo Neruda en ce moment, je lis la Centaine d’amour que je trouve super beau. J’avais adoré les Fontaines silencieuses et Rag-Time de Calaferte. Mais je ne connais pas tout, c’est génial, il y a plein de choses à découvrir !

Nicolas Bonnière, le nouveau guitariste, nous rejoint.

Ca tombe bien que tu arrives car j’ai une question que je voulais poser en particulier à toi. Il y a à peu près soixante-dix titres au répertoire d’Eiffel. S’il devait n’en rester que quatre, ce sont lesquels ? Une réponse chacun !

Nicolas C. : Qui commence ? Moi je vais dire "Hype", ça y est, ha ha ha, démerdez-vous ! "Hype", une des plus anciennes, qu’on joue en concert depuis toujours, et qu’on va sûrement continuer à jouer. On l’a un petit peu étoffée sur cette dernière tournée, vu qu’il y a certains morceaux qui se jouent avec des séquences en plus, notamment sur "Hype" où il y a une séquence de basse qui permet à Romain de ne pas avoir d’autre instrument que son organe vocal. Donc voilà : "Hype" pour moi !

Nicolas B. : C’est un peu dur comme question. Comme on a fait à peu près quatre-vingts dates… Sur un concert, tu te dis "celle-ci j’aime bien la jouer" et en fait tu as toujours une surprise. Il y en a une que tu n’avais pas mise dans le tiercé gagnant, et tu finis le concert en te disant qu’elle était cool à jouer celle-ci. Souvent, je dirais quand même "Sous ton aile", il y a quand même une sorte de truc qui monte, c’est assez agréable. Mais parfois, ce n’est pas "Sous ton aile".

Romain : Moi, je ne sais pas, je trouve ça compliqué de… Tu veux dire quatre morceaux qui resteraient ?

Oui, la mémoire du monde s’efface, il ne reste que quatre chansons d’Eiffel.

Les Nicolas : Ah, on n’avait pas compris la question ! On croyait que c’était pour nous, pour notre mémoire à nous, pour notre monde à nous.

Romain : Pour moi, il ne resterait rien, je ne sais pas. Je ne sais pas…

Nicolas C. : Canary bay ?

Romain : Hou hou !

Estelle : Moi, je pense à une du dernier album, "Minouche". Voilà.

Les Nicolas : Un bon panel ! Poisson panel !

Tiens, justement Estelle, ça te manque pas trop la guitare sur scène ?

Estelle : Parfois si un peu, mais je suis super contente d’être à la basse et du coup ça me manque que l’espace d’une seconde, quelques fois, mais pas plus. J’ai souvent changé d’instruments, et là, je suis dans la basse. Je suis très contente.

Sur scène, vous faites pas mal de reprises, assez éclectiques, ça va de Cindy Lauper à Brel en passant par les Stooges. On va bientôt en entendre une nouvelle ?

Romain : Faudrait ! On n’a jamais rien foutu là-dessus. C’est un regret.

Estelle : On a toujours plein d’idées de reprise, on en a fait pas mal malgré tout, mais à chaque fois on en a une qui tourne pendant une période donnée. On n’a jamais trois ou quatre reprises en même temps. On n’a pas non plus le temps d’en jouer beaucoup sur les concerts. Sur un set comme ce soir, c’est sûr qu’il n’y aura pas de reprises.

Les Nicolas : Gotainer ce serait pas mal. "Primitif", ça fait quinze ans qu’on en parle.

Romain : Moi je rêve de me faire une playlist avec mes chansons phare, les chansons qui chaque fois me foutent les poils. Il y en a quand même un paquet – je ne sais pas à la fin ça doit faire dans les quarante – que ça vienne de n’importe quel style, les trucs vraiment essentiels et en faire, pas un disque, mais juste un répertoire parallèle qu’on joue quand on est ensemble. C’est mon grand regret de ne pas avoir un truc comme ça dans les pognes. Faudrait qu’on prenne le temps, deux semaines pour monter quarante chansons, juste pour pouvoir les jouer quand on veut. Ce serait génial. Un groupe de bal, mais de bon bal, moi j’aimerais bien. Arielle bon bal. [sourire]

Un intouchable que vous vous sentiriez incapable de reprendre ?

Romain : Je n’aime pas trop sacraliser moi. Faut quand même faire gaffe quand on reprend, je ne sais pas, Lennon. Ou quand on avait fait Brel, heu…

Romain et Estelle : "Le plat pays" !

Romain : C’est vachement de l’interprétation, ancré dans le corps et la voix de la personne, mais il ne faut pas sacraliser, tout le monde a le droit de jouer tout quand il veut, merde !

Estelle : J’ai l’impression que Brassens ce serait difficile…

Romain : Je pense qu’on a le droit de reprendre ce qu’on veut, à partir du moment où on le fait sérieusement.

Nicolas C. : Voilà, et puis à partir du moment où tu essaies de le refaire par rapport à ton truc, sans essayer de copier. Pareil reprendre les Pixies [Eiffel leur doivent leur nom] ça peut faire peur, et en même temps pourquoi pas ?

Estelle : Jonas, on ne reprendra jamais ! Ça c’est sûr.

Romain : Par rapport à ce que disait Nico, il y a certains artistes, ça ne me dérange pas de faire une reprise, et j’adore la refaire texto, sans forcément qu’il y ait une interprétation.

Nicolas C. : Oui, mais ce que je veux dire, dans le cas de Brel, Lennon ou même les Pixies, par rapport au chant, à l’intention, je trouve ça un peu compliqué d’essayer de le refaire texto.

Romain : Ouais, mais ça ne me dérange pas qu’instrumentalement ce soit la même chose. On a tellement vu des trucs réussis là-dedans !

Nicolas C. : On ne te demande pas de le refaire en biguine.

Romain : M qui reprend Brel par exemple, c’est tout un truc. "Au suivant" par M, à voir quoi ! C’est quand même compliqué de se dire : "on va tout retransformer". Parfois, c’est bien de dire : "on le fait comme eux", ça sonne comme ça sonne. J’aime bien aussi cette idée là.

Dernière question : vous êtes prêts pour le Zénith et le cinquième album ?

Romain [sur un ton publicitaire] : Le Zénith, le 15 octobre 2010, Eiffel joue au Zénith de Paris… Tu sais, ça fait le mec qui l’a répété quinze fois dans la journée… Non mais c’est important, on le dit ! 15 octobre 2010, 15 octobre 2010 au Zénith de Paris, premières parties Stuck in the Sound, et avant Julien Pras, chanteur de Calc qui vient de sortir un super album solo.

Nicolas C. : Viens avec tes cousines ! On va s’en occuper ! Être prêts ? Oui et non. Oui parce qu’on est en pleine tournée, on pourrait peut-être le faire demain, sauf qu’on est fatigué, on a fait beaucoup de concerts cet été, on va prendre un peu des vacances. Ce sera la troisième partie du triptyque, parce que notre tournée est organisée en triptyque. Maintenant, on a décidé de faire que ça, des triptyques, notre prochain album sera aussi en trois… Enfin bon, on en parlera une autre fois, mais c’est un triptyque. Tournée automne-hiver 2009-2010, tournée de printemps-été, et ensuite tournée d’automne : triptyque !

Romain : Il est bourré de ptiques !

Estelle : Et après on s’occupe du cinquième album !

Nicolas C : Qui sortirait si tout va bien en janvier 2012.

Merci à vous ! On vous retrouve sur scène !

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Crédits photos : Laurent Hini (Toute la série sur Taste of Indie)


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