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Un tétard chez les froggy's  (Paris)  juin 2004

Tétard a frappé très fort avec ses _12 pures chansons récemment ressorties sur le label Demain La Veille. A la fois pop, folk ou rock, ses chansons font mouche avec des textes prenants et des arrangements facétieux.

Pourtant l’artiste sort un peu de nulle part. C’est vrai que cet album est son premier mais c’est également une réédition. Nous avons voulu savoir.
Donc voilà : nous vous présentons Tétard chez les froggy’s.

Est-ce que Tétard est un groupe ou un projet solo ?

A la base, Tétard est un projet solo qui tend de plus en plus vers le groupe. C’est vrai que j’ai réalisé le premier album en solo mais jouer tout seul avec ma guitare acoustique pour les concerts n’était pas vraiment mon but. Depuis un an j’ai tourné avec mon petit groupe avec lequel j’ai l’intention d’enregistrer le prochain album. Même si c’est moi qui écris les chansons et amène la base musicale, j’essaie vraiment d’impliquer mes musiciens et, en contrepartie, ils s’impliquent.

J’ai un bassiste, Gérard, et un batteur, Pierrot, et lorsque nous jouons les nouvelles compositions sur scène, on sent vraiment leur touche. Il y a une implication totale de mes musiciens qui essaient de coller à l’" esprit Tétard" et ainsi Tétard tend à devenir un groupe. C’est ce que je souhaite faire et d’ailleurs, l’album qu’on va enregistrer, on le signera ensemble. Sous le nom de Tétard nous serons tous les trois à signer les musiques.

D’où vient le nom de ton projet ?

Je m’appelle David Tétard. Quand j’ai commencé mon projet solo, j’ai cherché un nom. En fait, il était tout trouvé. Ce nom fait partie de moi, il a dû déterminer certains de mes comportements. Il n’est pas tous les jours facile à porter.

Tu aurais pu en changer pour la scène ?

Oui mais non. J’ai préféré le remettre en avant. En plus il va bien avec ce que je souhaite faire avec Tétard : avoir du recul, créer un décalage, placer un peu d’ironie par rapport à la relation amoureuse et à ce qu’elle engendre. Le nom colle parfaitement : le gars qui s’appelle Tétard, il ne va pas jouer le Don Juan. Depuis cinq ans que je porte ce nom sur scène, je trouve qu’il colle parfaitement à la musique et à ce que je souhaite faire.

Pourquoi as-tu eu envie d’enregistrer ton premier album et comment l’as-tu fait ?

Je faisais de la musique tout en étant à la fac et j’essayais de former un groupe. Je n’ai jamais réussi à faire tenir un groupe. Cela a commencé à m’énerver et j’ai commencé à composer deux trois chansons à la maison. Une amie de la fac – Julie, la fille qui chante sur mon disque – à qui j’ai fait écouter mes chansons sur un MD m’a dit : "Eh ! Mais c’est vachement sympa, tu écris pas mal, tu as une voix particulière... ". Julie était la petite amie de Philippe, le gars des Wampas.

De fil en aiguille il a écouté un peu ce que je faisais, il m’a encouragé, il m’a dit : "Mais vas-y écris, écris, écris ! Si tu veux écrire une bonne chanson, il faut en écrire plein." Donc j’ai écrit plein de chansons et un jour il est venu à la maison, il m’a aidé à les rendre un peu plus carré, faire une intro, une fin, il y mettait de belles guitares. Au bout d’un moment j’ai eu une trentaine de chansons. Je ne travaillais plus que pour ma musique. Je faisais quelque bars de temps je chantais mes chansons et des reprises.

Un jour je me suis décidé, j’avais envoyé des maquettes à des maisons de disques et jamais de réponses. Alors j’ai demandé à Philippe s’il pouvait m’aider à enregistrer et il m’a dit :"Ouais. Bingo. Je connais un gars qui a un studio" . Il m’a fait rencontrer un batteur, un bassiste et un clavier et l’affaire a été enregistrée en quatre jours de prises. Les musiciens ne connaissaient même pas les morceaux, c’était Philippe et moi qui leur montraient les accords, on drivait tout le monde. Le gars chez qui j’enregistrais, Thierry Los chanteur guitariste des Vegomatic, et Philippe ont été les réalisateurs – arrangeurs du disque, connus sous le nom d’Abdul et Cléopâtre sur le disque. Aujourd’hui je travaille toujours avec la même équipe et on part enregistrer chez Thierry en août.

Le disque a donc été un tout petit budget réalisé en quatre jours. Une fois que j’ai le disque, j’en fais presser mille. Ils arrivent dans ma chambre, je les regarde et – angoisse ! – qu’est-ce que je vais en faire ? Je relève mes manches, je prends trois canards, les plus importants, Libé, Les Inrocks et Télérama et je les envoie. Aussi à des maisons de disques. Personne ne me répond. J’avais envoyé ça en juin. Début septembre, je me retrouve chroniqué dans Libé, Les Inrocks et Télérama. L’encouragement de dingues !

Cela s’enchaîne. Le type de la Fnac, Olivier Bas, me dit "J’ai craqué sur ton album. Je l’avais écouté une fois, je suis passé à côté, ça m’a paru bien mais sans plus. Et je me suis trouvé coincé dans ma caisse avec et j’ai fait toute la route avec lui et impossible de décrocher de ton album, je l’adore ! Il faut que je te mette sur les indétendances". Je sors sur les indétendances, le Fnac me prend 700 disques et je commence un petit bout de route. Je vais à Bourges. Et ça s’essouffle un peu.

Résultat des courses : je me suis planté en moto en juin de l’année dernière, j’étais coursier, je reprenais un peu le travail. Gros accident, du coup la musique exit, je me concentre sur ma santé et vers décembre je refais un petit concert aux Primeurs de Massy parce que l’organisateur Christian Mougin insiste. J’y vais et rencontre Marco et JM du label DLV. Je leur parlais de mon nouveau disque mais ils m’ont dit "OK pour le deuxième album mais tu nous laisses ressortir le premier. T’as pas le droit de le laisser comme ça. C’est un album que personne ne connaît..." . Au début j’avais un peu peur mais je leur ai fait confiance et l’album ressort maintenant. On a quelques bons retours. J’ai compris qu’il fallait donner à l’album la chance qu’il méritait.

Pourquoi ne voit-on pas le titre de la dernière chanson ?

Au début, tu fais les choses sans vraiment savoir pourquoi mais après, avec du recul, tu comprends. Tétard, c’est un nom rigolo, "_12 pures chansons" un titre bizarre et on a continué à faire bizarre : on en a listé que 11 et laissé la douzième comme çà. Elle est enregistrée dans un jardin, on entends les oiseaux chanter, je donne les accords. C’est Thierry Los qui joue de la guitare et c’est moi qui chante. C’est une chanson comme les autres, c’est juste qu’elle est enregistrée dehors. Cette chanson-là, "Près du pôle nord" , je vais la remettre sur le second album, pareil, elle sera en ghost track. Nous avons l’intention de faire une prise live très rock’n’roll.

Qu’est-ce qui te fait écrire ? Qu’est-ce qui t’influence ?

Quand j’ai enregistré le disque, j’avais 25 ans, j’avais une maîtrise d’AES et j’avais une voix toute tracée devant moi : enfiler mon costume et aller travailler. Et là : panique ! (ndlr : Matthieu, le manager et ami de David, arrive)
Je ne suis pas très engagé. Sur le premier album ce n’est pas forcément mon but d’avoir des choses à dire, de donner des leçons. Sur le second, j’ai essayé de pousser ma réflexion. Sur une chanson comme "Elle m’a quitté" , j’ai essayé de ne pas reproduire le schéma. Par contre ce qui est sûr, c’est que le petit concept que j’ai avec Tétard, c’est celui d’un garçon qui s’adresse à une fille. Ce n’est pas toujours le cas, mais c’est ce que l’on croit.

Dans le prochain disque, il y a quelques réflexions sur la vie, sur ce qu’on doit faire de sa vie, ce qui se passe dans le monde mais ce n’est pas politisé. Le choix de faire de la musique, d’écrire est mon seul moyen d’exister, j’ai toujours eu ça en moi. J’ai toujours été un clown à l’école et j’aurais presque pu faire du café-théâtre mais je suis très mauvais acteur, je bloque facilement. Avec du recul, cela fait cinq ans que je fais ça et je ne regrette absolument pas : c’est l’expression de ma liberté même si ça coûte de faire de la musique notamment pour le niveau de vie. Il y a des sacrifices à faire cependant ce n’était pas possible de faire autrement pour moi.

Des artistes t’ont inspiré ?

Oui. Au-delà de la musique, je lis. Peu mais je lis. Par exemple "la valse aux adieux" est le titre d’un roman de Kundera. Ce bouquin est fait de petites réflexions pseudo philosophiques sur la vie qui me parlent vraiment. Je me laisse influencer par beaucoup de gens : par Boris Vian, par Prévert, Baudelaire... J’ai lu ces auteurs lorsque j’étais assez jeune sans vraiment comprendre au début.

Musicalement, c’est super large. Sur le premier album on m’a traité de Miossec et je comprends totalement mais j’ai essayé de rendre de petits hommages à d’autres comme Dylan, Jonathan Richman ou Ben Harper.

J’ai pensé aux Objets ou à Mickey 3D ou au Velvet...

Je connais les Objets, j’adore Mickey 3D et si tu écoutes mes chansons, malgré mes efforts, c’est un riff à la Lou Reed. Maintenant j’ai tellement d’influences que je ne peux pas dire. J’adore le reggae jamaïcain des années 60-70. Je suis tombé dedans. J’écoute beaucoup de rock, parfois un peu de jazz, comme Duke Ellington et plein de hip-hop américain. Après il y a mes qualités intrinsèques : je fais ce que je peux faire de mieux. Le gros rock cela ne m’allait pas. Plus les choses avancent et plus je me retrouve dans ce que je fais.

A l’écoute de tes textes, qui sont très matures, on a la sensation que tu t’inspires de ta vie personnelle. Notamment des chansons comme "Envie" marquent, fascinent, par leur réalisme et leur originalité de ton. Est-ce que tu tires tes chansons de ta vie ?

Justement "Envie" est une de mes chansons ultime. J’y ai mis quelque chose qui me perturbait. Des fois je me demande si les gens comprennent bien. Par exemple "Hiliho" , la première chanson, parle d’une branlette : à cinq contre un, c’est une métaphore pour exprimer la branlette. Et l’histoire de "Envie" m’est arrivée, oui.

Ma copine m’a trompé et au lieu de me dégoûter, cela m’a ouvert des portes. J’ai compris qu’elle pouvait avoir envie de sexe et c’était bizarre parce que d’un côté je la détestais et de l’autre, notre relation sexuelle a complètement changé. Elle a assumé mes envies et moi j’ai accepté de la voir autrement. Cela m’est arrivé quand j’avais dix sept ans, j’en ai vingt neuf aujourd’hui et la chanson je l’ai écrite il y a six ans. J’ai mis beaucoup de temps à exprimer ce que j’ai ressenti. Cette chanson est adulte. Elle m’a été aussi inspirée par "Sex shop" de Serge Gainsbourg. Ce thème-là m’intéressait : ma copine me trompe et pourtant j’ai encore envie d’elle.

C’est une façon d’écrire ta vie ?

Oui ! Totalement.

Toutes tes chansons sont-elles comme ça ?

C’est vrai pour "_12 pures chansons". Dans le second, qui est quasi bouclé, ce sera toujours personnel mais je parle aussi dans une chanson comme "j’dirais pas non" de mon impossibilité à communiquer aux autres ce que je ressens. Et je crois que c’est pareil pour tout le monde. Si une fille te demande si tu l’aimes, tu as envie de répondre "Mais tu le sais. Pas la peine de te le dire". Et ceci est vrai dans toutes les sphères où la communication est délicate.

J’ai essayé de garder mon côté rigolo, mon côté amoureux et d’être moins basique. On a enregistré "_12 pures chansons" en quatre jours et nous sommes allés à l’essentiel. J’ai essayé de faire un bon disque, de la musique qui s’écoute et qui ne prend pas la tête avec de l’énergie, de l’ironie comme dans "l’île de Ré". Dans le second album, j’élargis mon champ de sujets, de trouver encore plus ma voie. J’espère qu’il apparaîtra moins torturé parce qu’il y a la torture et la personne qui pose des questions. Je pose des questions. Tout le temps. Depuis que j’écris le nouvel album, je n’ai pas eu de déception amoureuse alors que pour "_12 pures chansons", c’était dur.

Lors d’une interview hier, le chroniqueur me disait qu’il y avait beaucoup de chansons sur la rupture. Ben oui, j’étais en plein dedans ! J’ai essayé de me servir de l’émotion, de ce que je ressentais et ça a donné, par exemple, "la valse aux adieux" qui malgré mes efforts est un chanson rock. Même si je parle de rupture j’essaie de faire des chansons toutes différentes avec le sentiment de la rupture. Maintenant j’ai essayé de plonger plus dans ma musique. J’ai rencontré des gens mais je ne me suis plus laissé aller à quelque chose de passionnel et ça ne dessert pas mon propos d’ailleurs.

Pourquoi ne te voit-on pas plus souvent en concert ?

Cela ne dépend pas de moi : c’est dur de jouer et en plus je pense que j’ai mon originalité et que je ne fais pas partie d’une scène précise. Je ne suis pas convaincu que tout le monde percute à ce que je fais. Les gens ont envie de voir des concerts carrés. Quand je me présente sur scène, je ne fais pas du théâtre, j’essaie de jouer le plus vrai possible. Nous avons joué lundi soir au Tryptique (ndr : le 7 juin 2004) et j’étais à côté de mes pompes. J’ai fait mon travail mais je n’ai pas réussi à parler. Je n’ai rien de préparé quand je monte sur scène. Pourtant je sens que les gens aiment ma musique.

Après c’est peut-être les programmateurs, ceux qui peuvent faire les choses, qui sont un peu hermétiques. Lors du dernier concert, je n’ai eu que des échos positifs. C’est vrai qu’on ne joue pas beaucoup et espérons qu’avec les gars du label et notre nouvelle tourneuse les choses s’arrangent. Nous allons travailler à partir de septembre à l’organisation d’un planning pour que nous ayons deux-trois dates regroupées par semaine. Cela fait à peine deux mois que je suis entouré. Avant je cherchais les dates moi-même.

Et encore quand je regarde avec du recul ce que nous avons fait, c’est plutôt bien : nous nous sommes toujours débrouillés pour avoir entre dix et quinze dates par an. Pour un groupe, sans moyens, complètement autonome, c’est pas mal. D’autant plus que j’essaie de franchir des étapes. Mon truc c’était pas forcément de monter sur scène seul avec ma guitare. Je me suis fait mal à faire ça. Aujourd’hui, je prends ma guitare électrique quand j’en ai envie, j’ai mon bassiste, ma batterie, je suis bien.

Quel est le titre de ton deuxième album ?

Je ne sais pas d’autant plus que le titre du premier me plaît bien. Je voudrais que le second soit un peu dans cette idée. J’ai mes petites manies : j’enregistre en analogique, j’aime la guitare, j’aime que les chansons ne durent pas plus de trois minutes sauf si le propos s’y prête. Par exemple une chanson comme "laisse bien" avait des raisons de dépasser les trois minutes alors que "l’île de Ré", non. J’aime bien que le titre d’une chanson soit extrait du texte de la chanson mais je n’aime pas que l’album porte le titre d’une chanson. Je vais enregistrer l’album, regarder la pochette et après je choisirai le titre de l’album.

Peux tu décrire Tétard en trois mots ?

La simplicité.
Le cœur.
Rock’n’roll même si je ne parle pas de ma musique là mais de mon état d’esprit. En même temps pour faire du rock’n’roll, il faut du cœur et de la simplicité...

Merci à David Tétard, Matthieu, Marc (Demain La Veille)...
You’re on the right way.

 

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