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 #11 à 19 

#11 : Les très riches horreurs de Joe Coleman

Toujours présent dans les expositions relatives à l'Art Brut et l'Outsider Art, telle "Raw Vision" à la Halle Saint Pierre, ou l'un des cinq noms retenus par le Palais de Tokyo our "M Nouvelles du Monde renversé" l'artiste américain, performeur, entre clown, bateleur de foire et prêcheur, musicien et acteur, Joe Coleman s'inscrit comme une des personnalités people de la scène new-yorkaise issue de la contre culture et représentant de la culture freak américaine.

Oeuvrant dans l'art de la fresque hallucinée et du celui du portrait iconique, de Che Guevara à Charles Manson en passant par Anna Nicole Smith, il procède par syncrétisme fusionnant art brut par le dessin naïf, pop art par la palette chromatique saturée, et "recycling art" tant par emprunt aux beaux arts avec le foisonnement décoratif qui ressort à l'enluminure et à l'icône qu'à la culture populaire des comics et aux tropismes étatsniens quant au délire mystique appuyé par ses initiales christiques et la mission messianique dont il se croit investi.

à voir en vidéo :

le documentaire "R.I.P. - Rest in Pieces : A Portrait of Joe Coleman (1997)" de Robert Adrian Pejo avec la participation du cinéaste Jim Jarmush etde l'actrice Dasia Argento

l'exposition "Doorway to Joe : The Art of Joe Coleman" en 2017 à la Begovich Gallery à Fullerton

le happening à l'exposition "Joe Coleman and The Shadow Self" à la Galerie Andrew Edlin à New York en 2019

la performance à Coney Island :
"Derring Do"
"Bambi and Chuck's Mermaid Parade Wedding"

#12 : L'Homme nu dans la ville de Jérôme Mesnager

Co-fondateur en 1982 du collectif de graffeurs "Zig-zag", Jérôme Mesnager appartient à la première génération de peintres et artistes ressortant au mouvement de la Figuration libre des années et au Street Art qui investit la rue pour faire de l'espace public une galerie à ciel ouvert.

Son arme, le pinceau et la peinture blanche, son motif, la silhouette d'un homme nu au corps inspiré du mannequin articulé en bois utilisé pour le dessin qui évoque également l'anatomie de l'écorché utilisé pour l'enseignement médical comme celui des beaux arts.

Ainsi est "l'Homme blanc" sans traits de visage, ombre ou fantôme, que Jérôme Mesnager conçoit comme un symbole de lumière, de force et de paix devenu emblématique qui se pose sur les murs parisiens et d'ailleurs, car Mesnager a plus de 6 000 murs à son actif, et renvoie souvent à l'Histoire de l'art tel "C'est nous les gars de Ménilmontant" en résonance avec les "Danses" de Matisse et l'Histoire avec l'homme blanc forçat sur les murs du bagne en Guyane.

en vidéo :
concert/performance avec le Quatuor Agora
interview dans son atelier
"interview pinceau" en 1990 par Thierry Ardisson
autes vidéos
le site de Jérôme Mesnager

13 : Keith Haring, le Petit Prince de la Pop Graffiti et son Radiant Baby

En 2020, le Museum Folkwang à Essen en Allemagne a programmé, à l'occasion du trentième anniversaire de sa dispartion prématurée à 31 ans victime du sida, une rétrospective consacrée à l'artiste américain Keith Haring.

En 10 ans et une production fulgurante de 10 000 oeuvres, il est passé du métro du métro avec le tag à la craie de ses premiers "Subway Drawings", au musée, intégrant les collections de toutes les grandes institutions muséales.

Et ce en passant par les commandes publiques de murals réalisés dans les espaces publics de villes du monde entier comme à Paris sur la tour de l'Hôpital Necker et au Walker Art Center de Minneapolis filmé en live painting, il signe 10 000 oeuvres en 10 ans.

Et en 2019, le Bozar, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, procédait à ce même hommage.à l'artiste activiste et figure de la scène artistique underground des années 80.

Keith Haring, pour qui "l’art est plus important que la vie" a choisi pour emblème, et signature, le "Radiant Baby", aujourd'hui ancré dans l'inconscient collectif,  parce que le bébé symbolise "l’expérience la plus positive, la plus pure dans la vie humaine... la vie dans sa forme la plus joyeuse".

Considéré comme un (néo)-primitif ou un Aztèque Nouvelle Vague, sa formation au dessin publicitaire à Pittsburgh puis à la School of Visual Arts et les influences assumées du mouvement artistique CoBrA et du Pop Art, incluant la pratique warholienne du merchandising, va décider de son expression plastique.

Ainsi celle-ci emprunte aux codes graphiques du pictogramme et de l'idéogramme avec la ligne noire et l'aplat de couleur pure, qui renvoie également à ceux de la bande dessinée, pour une figuration narrative au service de la critique sociale, du racisme à l'homophobie et du militarisme au capitalisme.

Ce que le Musée d'Art Modene de la Ville de Paris et le Centquatre ont conjointement exploré en 2013 dans l'exposition "The political line".

à voir en vidéo "Le Street Art" documentaire de Ben Anthony

En (sa)voir plus sur le site de The Keith Harng Foundation

#14 : Le pop art version gore* des Kienholz

En 2020, la Galerie Templon présente une rétrospective de l'oeuvre du duo Edward Kienholz et Nancy Reddin-Kienholz qui s'inscrit dans le registre de l'art de la répulsion.

l'exposition virtuelle à la Galerie Templon
présentation par Mathieu Templon

Figures de la contre-culture, Edward Kienholz (1927-1994) en solo et à compter de 1972 en duo avec son épouse Nancy Reddin (1943-2019) hybrident le Funk Art californien et l'hyperréalisme Pop développé dans l'art de l'installation et la technique de l'assemblage à partir de la récupération de matériaux divers, à cet égard à l'instar du Nouveau Réalisme en France et d'artistes tels Bruce Conner, Gilbert Peyre et Roger Ballen, pour dénoncer, par la stratégie du choc visuel, les travers et dérives de la société étasunienne, et par extension ceux du monde, dans une approche frontale et radicale.

Ainsi, usant d'un expressionnisme au grotesque gore, ils mettent en scène dans des installations grandeur nature notamment la violence contemporaine, la violence raciale ("Five Car Stud") la marchandisation du corps des femmes ("The Rhinestone Beaver Peep Show Triptych", "The Bronze Pinball Machine with Woman­Affixed Also") et la maltraitance des enfants ("Jody, Jody, Jody") et conspuent également les institutions de l'Eglise (la série "J.C.") à la Cour suprême ("The Caddy Court") et les élites intellectuelles ("Art Show").

En France, les dernières expositions institutionnelles datent des années 1970 mais à l'étranger les Kienholz sont régulièrement exposés aux Etats-Unis à Los Angeles à la L.A. Louver ("Kienholz: Berlin/Hope" en 2014, "The Merry-Go-World or Begat by Chance and the Wonder Horse Trigger" en 2019)

au Los Angeles County Museum of Art Edward Kienholz, "Five Car Stud 1969–1972, Revisited" en 2011 avec les commentaires de Nancy Kienholz

 

en Allemagne, où ils étaient installés à Berlin, ainsi à la Schirn Kunsthalle avec "The Signs of the Times" en 2011 et

et en Italie avec la rétrospective "Five Car Stud" à la Fondation Prada à Milan en 2016.

a voir également en vidéo :
le documentaire "Edward Kienholz : The Story of an Artist (1961)

* in article Philippe Dagen Le Monde 29/07/2016

#15 : L'artiste-trublion Grayson Perry

En 2019, la Monnaie de Paris présente "Vanité, Identité, Sexualité" la première exposition monographique en France de l'artiste plasticien britannique Grayson Perry lauréat du Turner Price en 2003 et membre de la Royal Academy of Arts.

Sa particularité tient à son auto-reprsentation comme "un artiste-travesti", soit, indique-t-il, un homme qui porte une robe, et donc son appétence pour le travestissement sur le mode d'une trinité autocentrée "Me, Claire and Ale" constituée de l'artiste, de son alter-ego, un avatar féminin qui ressort à la caricature, sur le mode pop-trash, de la femme au foyer de la middle class notamment de style "kawaï", et de son ours doudou nommé Alan Measles.

Oeuvrant dans les registres du "recycling art" avec la revisite des traditions artistiques et l'art outsider,par le dessin naïf, le foisonnement décoratif et la saturation de la palette chromatique; il développe sa réflexion artistique selon deux axes : l'identité de genre et la nouvelle masculinité et le questionnement sociétal avec l'approche politique du collectif.

en vidéo :
"Pottery Is My Gimmick"
l'exposition "Grayson Perry - Who are You ?" à la National Portrait Gallery de Londres en 2014 avec un long entretien sur sa conception de l'artiste "What Makes an Artist ?" par Grayson Perry et sur "My Teddy Bear Is My Mythical God"

l'exposition "The Most Popular Art Exhibition Ever !" en 2017 à la Galerie Serpentine de
oeuvres commentées par l'artiste

l'exposition "Grayson Perry : Super Rich Interior Decoration" à la Galerie Victoria Miro en 2019

Grayson Perry est également présent sur les médias avec les documentaires télévisés "All in the Best Possible Taste" sur Channel 4 dans lesquels il dresse son panorama des tropismes culturels des différentes classes sociales "Working Class Taste" - Middle Class Taste - "Upper Class Taste" en résonance avec sa série de tapisseries monumentales intitulée "The Vanity of Small Differences" et

Par ailleurs, pendant le confinement d'avril 2020, Grayson Perry a présenté sur Channel 4 une série de master classes intitulée "Grayson's Art Club" en interaction avec d'autres artistes et des invités.

En bonus le Tracks spécial "Brextravaganza" du magazine "Tracks" présenté par Grayson Perry.

#16 : Pierre Molinier, précurseur de la performance et du body art

Dans les années 50-60, adoubé par le pape du surréalisme André Breton qui le surnomme "le Maître du vertige", Pierre Molinier, photographe et performeur, s'inscrit comme précurseur de l'actionnisme et du body art, voire de la théorie du genre et de la transidentité.

Chantre du fétichisme et du travestissement, il réalise notamment une série de photomontages dans lesquels il sublime les jambes, son thème de prédiclection.

en photos :

exposition "Pierre Molinier" en 1979 au Centre Pompidou

exposition "Vertigo Pierre Molinier" en 2018 à la Galerie Christophe Gaillard

 

 

en vidéo :
exposition "Pierre Molinier - Jeux de Miroirs" en 2005 au Musée des Beaux Arts de Bordeaux

exposition "Œuvres Inédites Collages & Photomontages" en 2010 à la Galerie Kamel Mansour

en audio :

le documentaire sonore "Portrait une vie d'art et d'amoralité" réalisé par par Céline du Chéné et Laurent Paulré et diffusé en 2018 sur France Culture dans le cadre de la série "Photographes"

et au théâtre le spectacle "Mes jambes, si vous saviez, quelle fumée..." de et par Pierre Maillet

le site dédié à Pierre Molinier

#17 : Avec Kiki Smith promenons-nous dans les bois quand le loup y est

En 2019, la Monnaie de Paris présentait, sous forme de rétrospective, la première exposition monographique consacrée à l'artiste pluridisciplinaire américaine Kiki Smith

Visite guidée par l'artiste
Dialogue avec la critique d'art Petra Giloy-Hirtz

Inscrite dans l'héritage de la "papesse" Louise Bourgeois, et engagée dans la militance féministe, elle questionne le monde et l'altérité et la parenté de l’homme avec l’animal par le prisme de la cosmogonie chrétienne ("Kiki Smith - The Moon is Like Virgin Mary") et la représentation du corps de la femme dans une physicalité sans ambiguité ni occultation.

Elle revisite notamment les contes de fées en renversant les codes de la femme victimaire pour l'ériger en héroîne jusqu'au monstre.

A voir en vidéo :

"Kiki Smith : I am a Wanderer" au Modern Art à Oxford 2019 en visite virtuelle

"Kiki Smith: Memory" à la Deste Foundation Project Space en Grèce

"Kiki Smith - Entre chien et loup" au Centre de la Gravure et de l'Image imprimée à La Louvière

En 2020, "Kiki Smith - Hearing You with My Eyes" au Musée cantonal des beaux-arts de Lausanne

#18 : Speedy Graphito, le serial graffeur

En 2019, le Musée des Beaux Arts de Calais programmait l'exposition "Conquête urbaine" qui présentait un panorama du Street art français au rang duquel figure Speedy Graphito, nom, qui évoque le personnage de dessin animé Speedy Gonzales et l'inscrit dans l'art du graffitt qui synthétise ses tropismes la peinture figuraitive, le Pop Art et les véhicules de la culture populaire telle la bande dessinée et l'iconographie Disney.

Et il figurait parmi les 100 artistes mondiaux retenus pour la 5ème Biennale de l'Urban Art qui se tient à Völklinger en Allemagne.

Alias de Olivier Rizzo, iIssu de la culture alternative et formé à l'Ecole supérieure des arts et industries graphiques, il figure parmi les pionniers majeurs de l'Art contemporain urbain qui s'est développé en France au début des années 80 avec des artistes utilisant la rue comme galerie à ciel ouvert et est propulsé sur le chemin de la notoriété avec son affiche "La Ruée vers l’Art" conçue en 1985 pour l'événement "Le Mois au Musée" du Ministère de la Culture.

Usant de tous les médiums, de la peinture à la vidéo, et de son double graphique Lapinture, il se considère comme un DJ des arts plastiques : "Je prends les arts, je les mélange et je les télescope" pour interroger et détourner les clichés de l'identité culturelle occidentale et de l'Histoire de l'Art ainsi avec sa toile "Aquarium" qui réunit, entre autres, la banane de Warhol, la grande vague d'Hiroshige, les pommes de Cézanne, Brigitte Bardot et Bob l'éponge.

Ses expositions personnelles :

en 2016 sa rétrospective "Un Art de Vivre" Musée du Touquet-Paris Plage"

en 2018 "Speedy Graphito" au Palais du Tau à Reims

 

en 2019 "Le Musée Imaginaire de Speedy Graphito" à l'Hôtel des Arts de Toulon

l'interview pinceau en 1989 dans l'émission "Lunettes noires pour nuits blanches" de Thierry Ardisson
reportage en 2016 à l''occasion de son exposition à la galerie Ma Première Galerie à Quimper et de sa performance "Astérix en marinière"
le film documentaire "Ainsi soit Lapinture" réalisé en 2008
"Art is Life" par Speedy Graphito
des performances :
"Hypnotic" en 2014 dans le cadre du Wynwood Life de Miami
la performance éphémère en 2018 pour Le Mur à Dijon en 2018
en voir plus encore sur le site de Speedy Graphito dont ses murals

#19 : Hopare

L'artiste plasticien Hopare, qui représente la nouvelle génération du Street Art, et oeuvrant dans le genre du portrait, avec son tropisme pour le le visage féminin, et le registre figuratif avec un syncrétisme du cubisme analytique et du futurisme qui sans le déconstruire lui imprime un prisme angulaire.

Habitué des expositions en galerie et de l'art mural, avec leprocédé de la lithographie sur pierre, il expose Place du Louvre jusqu'au 30 mai 2021 des oeuvres en trois dimensions, cinq sculptures en bronze, quatre à taille réelle et une monumentale, réalisées dans le cadre d'un projet intitulé "Dissocier le visage de son enveloppe"

A découvrir en images :

la fresque '"Symphony" réalisée en live en 2019 lors du championnat de football américainn le Superbowl à Atlanta

la fresquedu B76 réalisée à Bègles en 2019

exposition "Hopare solo show" à l’Atelier Richelieu en 2020

exposition "La Rue a du Charme" en 2015 à la Galerie 42b

et dans le même lieu en 2018 l'exposition "Human"

en voir plus sur le site de Hopare

à voir également en vidéo : le documentaire réalisé par Victor Galud

 

        
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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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