Un jour, en hiver, très loin de tout ça, on sera dans le froid et la grisaille parisienne et on se souviendra.
On repensera au ciel bleu, jour après jour au dessus des remparts. On se reverra rue des Teinturiers dans la foule, programme en main, grouillant vers une des cent salles.
On aimera à réécouter les chansons délicates de Cécilem ou d'Asa (les deux à découvrir à La Tâche d'encre). On relira peut-être une pièce, attendant un bus dans le vent froid , se souvenant combien on était heureux au Paradis du théâtre...
Le Festival n'est heureusement pas fini. Il reste une semaine de bonheur absolu dans la plus belle ville du monde.
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