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Interview  (Paris)  28 décembre 2006

Le curriculum vitae d’Herman Van Veen est impressionnant. Artiste de renommée internationale, il est auteur, compositeur, chanteur, musicien, clown, conteur, metteur en scène, directeur de théâtre. L’homme est aussi, et depuis longtemps, fortement impliqué dans la protection de l’enfance et notamment des droits des enfants.

Fort curieusement, il est peu connu en France. En cette fin d’année, il était à l’affiche de salles parisiennes à deux reprises ce qui devrait permettre au public parisien de découvrir son immense talent . Il a effectivement écrit et mis en scène un spectacle musical "Mata Hari", interprété notamment par Gaétane Bouchez, où se mêlent théâtre, chant, musique et danse, qui s’est joué au Théâtre du Renard.

Par ailleurs, la tournée de son spectacle "Chapeau" pour lequel il est sur scène passait par Paris pour 2 représentations exceptionnelles à la Salle Gaveau.

Il a eu l’extrême gentillesse de nous accorder un peu de son temps entre ces deux représentations, en compagnie de Gaétane Bouchez, pour une interview en français ce dont nousle remercions vivement. Nous avons rencontré un homme remarquable, qui est à la ville comme à la scène, un grand humaniste pour lequel la pratique d’un art est aussi un acte politique.

Homme fascinant à l’intense regard bleu, il se dégage de lui à la fois une remarquable sérénité, une grande tendresse et une réelle conscience de l’humain.

Les 27 et 28 décembre 2006, vous étiez de passage à Paris pour 2 représentations exceptionnelles de votre spectacle Chapeau à la Salle Gaveau avant de continuer cette tournée en Europe du Nord. Pourquoi uniquement 2 dates alors que vous avez une notoriété mondiale ? Et cela constitue-t-il un ballon d’essai avec une programmation plus longue en 2007 par exemple ?

Herman Van Veen : Je pense effectivement revenir en avril 2007 à l’occasion de la sortie du DVD du spectacle "Chapeau" chez Harmonia Mundi. J'espère que ce DVD aura un impact sur mon audience à Paris car j'y viens régulièrement et relativement souvent mais toujours pour de courtes périodes. Notre problème réside dans le fait que notre spectacle n'est pas commercial. La compétition est phénoménale à Paris avec plus de 500 spectacles par soir et qui plus est avec des artistes qui parlent mieux le français que moi.

C'est un business et il n’est pas simple d'y mettre un pied surtout quand vous n'êtes pas soutenu par une forte médiatisation. Nous sommes littéralement comme le trouvère qui cherche une place pour jouer. De plus, je ne suis pas encore implanté ici comme je peux l'être en Allemagne ou à Amsterdam par exemple où je joue dans des salles de 2 000 places, pendant plusieurs mois consécutifs. Il y a aussi le handicap de la langue. Heureusement il y a toujours des personnes qui m’invitent à venir jouer à Paris et j'espère vraiment revenir pour une programmation plus conséquente. Mais je ne détiens pas toutes les clés me le permettant.

Je viens à Paris depuis 30 ans où j'ai joué à l'Olympia, au Théâtre Dejazet, à la Cigale mais toujours pour des représentations ponctuelles. Il est donc difficile de me trouver. J'avais un ami prêtre qui était à la recherche perpétuelle de Dieu et le cherchait partout. Un jour je lui ai écrit une lettre lui conseillant de rester calmement chez lui car cela permettra à Dieu de le trouver plu facilement que s'il s'agite en permanence dans des lieux différents. C'est la raison pour laquelle je dois rester plus longtemps en France.

Cet automne, votre autre spectacle "Mata Hari", que vous avez écrit et mis en scène mais dans lequel vous ne jouez pas, a été programmé 3 semaines au Théâtre du Renard. Cela vous aidera sans doute en terme de visibilité.

Gaétane Bouchez : C'était tout à fait dans notre intention de faire connaître Herman Van Veen à travers le spectacle "Mata Hari".

Vous pourriez même faire coup double en proposant une soirée double avec les deux spectacles.

Herman Van Veen : Bien sûr.

Parlons un peu de "Chapeau". Il s'agit de votre dernier spectacle en date ?

Herman Van Veen : Non. En Hollande, je joue un autre spectacle mais je tourne en Europe avec "Chapeau".

S'agit-il d'un spectacle complètement nouveau ou une synthèse de vos différents spectacles ?

Herman Van Veen : Ce spectacle s’apparente davantage à un journal. Il est essentiellement évolutif car j'y traite de sujets qui me préoccupent et m'intéressent aujourd'hui. Ce soir, le spectacle sera différent car j'ai déjà lu des critiques et j'ai rencontré des gens. Ce sont eux qui constituent mon retour sur le spectacle. Et donc il y aura sans doute de petites modifications dans le spectacle avec des choses nouvelles. Car je fonctionne ainsi.

Mon spectacle est comme une conversation avec le public. Ca s'appelle "Chapeau" parce j’y remercie tous ceux qui comptent énormément dans ma vie, mes parents, mes enfants, mes petits enfants, ma femme, mes amis, Je dis toujours que c'est un spectacle qui se déroule entre 4 yeux, les miens et ceux de chaque spectateur pris individuellement parce que l'histoire entre vous et moi n'est pas celle entre moi et Gaétane ni celle entre moi et mes enfants. Et le monde est résultat de ces perceptions. Ce n'est pas le monde que je vois dans les yeux de ma femme. C'est intime et cela explique également pourquoi il est difficile d’étiqueter ce que je fais. Rien n'est jamais figé parce que je suis l'original et pas une copie. De plus je suis mon propre auteur donc cela est plus simple. Pour moi tout est clair dans mes spectacles. Je viens sur scène sans toupet, sans maquillage, sans masque.

Hier soir j'ai vu au restaurant un groupe de très jeunes gens russes, très beaux, très riches, très bizarres et trop décadents, qui parlaient et se disputaient. Cette vision est pour moi une source d’inspiration et deviendra sans doute un sujet de chansons. J’ai été frappé par le ressenti de qu’ils pouvaient sans doute tout acheter, même presque l'amour et c'est dommage car quand tout est possible on ne peut pas sentir.

Hier soir j'ai commencé le spectacle avec une petite histoire improvisée pour établir le contact avec les spectateurs et surtout qu’ils s’habituent à mon accent j'ai un grave accent. Et cela leur donne quelques minutes d'adaptation à ma façon de m’exprimer en français. Car je suis un étranger qui fait beaucoup d'effort pour parler un peu le français. (ndlr : Herman Van Veen est polyglotte et s’exprime très bien en français, avec un accent certes, mais certainement mieux que nombre d’autochtones). Je ne peux pas utiliser l'anglais car le public n'est pas suffisamment bilingue, ni en allemand car il va croire qu’ils sont encore là (ndlr : trait d’humour noir). Impossible aussi en hollandais, en arabe encore moins. En hollandais, il ne faut pas y songer et en arabe encore moins.

Il faut effectivement souligner que vous faîtes, contrairement à beaucoup d'artistes étrangers, l'effort de vous exprimer dans la langue du pays qui vous reçoit et ici à Paris vous présentez votre spectacle quasiment entièrement en français.

Herman Van Veen : Le français est une langue grandiose et il y a vraiment un public pour nous ici en France. Cela je le sens car les français ont un humour qui correspond au mien. Quand j'arrive sur scène ils perçoivent immédiatement que je suis un clown. Je ne le vois qu'ici. De plus le public français aime le mélange de l'humour et de la chanson.

Est-ce difficile pour vous, Gaétane Bouchez, d'assurer la traduction ?

Gaétane Bouchez : Nous travaillons beaucoup ensemble bien sûr et j'assure parfois la traduction. Ce n'est pas difficile. Je l'aide à la traduction pour trouver le mot le plus juste. Ses spectacles sont toujours en mouvement. Donc c'est une communication permanente de tous les jours, de tous les instants.

Cette évolution permanente du spectacle explique aussi le fait que vous pouvez le jouer seul sur scène, avec Edith Leerkes comme ce soir ou avec d'autres musiciens ?

Herman Van Veen : Oui, c'est vraiment un spectacle protéiforme. Je le joue égale un orchestre symphonique également mais Edith Leerkes m'accompagne toujours. Je joue également avec un quartet dans des lieux très différents comme les cafés, les gymnases, la rue, les églises. Je suis musicien et donc je joue partout.

Vous avez commencé par le théâtre de rue ?

Herman Van Veen : Oui, tout à fait. Quand j'étais jeune j'ai commencé dans la rue mais dès l'âge de 21 ans je jouais déjà dans de grandes salles.

Quels ont été vos maîtres ?

Herman Van Veen : Le plus important est sans aucun doute Charlie Chaplin parce qu'il le plus grand, celui qui a compris l'art du clown et le sérieux de l'art du clown. Ce qu'il faisait était plus profond que ce que l'on peu penser de prime abord. Le costume de Charlot est celui d'un lord anglais à une époque où l'Angleterre a perdu son empire ce qui donne une coloration éminemment politique à ce qu’il faisait. Car tout ce qu'il faisait était politique. D'autant qu'il venait d'Angleterre et était en Amérique comme un lord sans titre. Et il était juif. Quelle histoire ! De plus il était visionnaire. C'est pour moi un grand exemple.

J'admire aussi Danny Kaye que j'ai eu l'honneur de rencontrer car il était ambassadeur de l'UNICEF comme moi. Et il m’a donné ses chaussures, des chaussures bicolores identiques à celle que je portais hier soir. J'admirais aussi Yehudi Menuhin. Et puis Brel et Piaf. Toutes ces personnes constituent des références pour l'art que je pratique. Ma mère adorait Edith Piaf et elle écoutait tout le temps des chansons d'Edith Piaf. Je connais donc tout son répertoire et à ma naissance je sifflais déjà ses chansons ! C'était la voix d'un peuple d'une espérance Sa vie est également chaotique et impressionnante. C'est grandiose !

Vous dirigez un théâtre en Hollande. Avez-vous des disciples ?

Herman Van Veen : Je donne des cours, notamment à l'école de théâtre d'Amsterdam et aussi des conférences dans les universités. Je suis plus particulièrement certains élèves qui me semblent intéressants. Avec notre compagnie, Harlekijn Studio, nous présentons de des jeunes talents plutôt dans la musique d'avant garde. Nous avons une sorte de vivier de jeunes gens qui travaillent dans des domaines qui ne sont pas commerciaux.

Y a-t-il en Hollande des jeunes artistes en Hollande qui sont dans votre mouvance ?

Herman Van Veen : Oui, Il y en a quelques uns mais ils ont encore très jeunes comme Max Dauer qui vient de sortir de l'école.

Aidez-vous ces jeunes par exemple en les associant à vos spectacles ?

Herman Van Veen : Oui cela arrive. Par exemple Lilja Hermannsdóttir, la cousine de Bjork, qui a assuré la chorégraphie "Mata Hari", est très talentueuse et j'ai fait un spectacle pour enfants avec elle. J'ai également travaillé avec un jeune écrivain Eva Schuurman qui écrit des textes pour moi. C'est comme un miroir, ils prennent des choses de moi, et je prends des choses d'eux. Et puis, entouré de jeunes gens, je reste jeune !

Quels sont vos projets après Paris ?

Herman Van Veen : En janvier, je vais faire une grande tournée de 80 dates en Flandres. Ensuite j'irai en Afrique pour une tournée de 2 semaines et en Amérique du Sud pour quelques spectacles.

Par ailleurs, je suis en train d'écrire un oratorio pour la ville de Weimar et New York dont la première aura lieu le 1er janvier 2008 à Weimar. Cet oratorio est construit un peu comme la passion selon Mathieu avec un orchestre, 4 solistes et des danseurs. Il s’agit d’une ode à une jeune fille juive, Selma Meerbaum-Eisinger, qui a été tuée à l'âge de 18 ans pendant la seconde guerre mondiale et qui a écrit de très beaux poèmes. Je veux la faire connaître car elle avait le droit de vivre et on lui a pris son futur. Cet oratorio raconte l'histoire de sa vie. C'est un projet très prestigieux qui est mené avec tous les grands instituts européens pour la musique et la danse. J'écris ce projet avec Edith Leerkes et j'assurerai la mise en scène.

Et puis je donnerai un concert pour le roi de Thailande à Bangkok car je consacre beaucoup de mon temps aux droits des enfants. Je voyage beaucoup pour me battre pour les droits des enfants car ils ont des droits reconnus sur le papier mais concrètement peu de gens se mobilisent pour eux notamment au niveau politique. (ndlr : Herman Van Veen a créé 4 quatre associations, "Colombine", "AJK", "Roos" et la "Fondation Herman van Veen", qui défendent les droits de l’enfant et essaient par le biais de projets à petites échelles dans les pays en voie de développement et en Europe de responsabiliser le grand public). Les enfants sont un sujet très polémique et il n’y a aucune instance internationale, comme Amnesty International ou Greenpeace, qui s’en occupe. Nous essayons de travailler à la création d'un tel organisme mais cela est très difficile.

Les politiciens ne peuvent pas reconnaître les droits des enfants car cela constituerait un obstacle à l’utilisation des bombardements. Au niveau économique, 1 milliard d'enfants n'a pas d’avenir. C'est quoi ce monde ? Ainsi nous allons créer un théâtre pour enfants à Soweto. Je crois que quand un enfant est fasciné par quelque chose de créatif il est moins violent. Donner une nourriture culturelle est aussi important que le manger. Il faut créer une alternative à ces gens qui ont des têtes comme des écrans de télé. Il faut qu'ils s'ouvrent à d'autres choses que la télévision pour voir ce qui se passe réellement dans le monde et autour d'eux.

L'artiste doit avoir un rôle politique ?

Herman Van Veen : L'artiste a bien évidemment un rôle à jouer dans la cité et les artistes sont souvent ceux qui tirent le signal d'alarme. Mais il y a des artistes qui encaissent le chèque et qui prennent un "commissariat" (ndlr : un poste administratif). J'ai la prétention de ne pas leur ressembler. Il faut être vigilent.

Pour vous le plus important serait le sourire d'une enfant ?

Herman Van Veen : Il y a deux choses qui m’importent. D'une part, le résultat de ma vie. J'espère que le petit bateau que je suis porte pour quelques personnes le nom d'amour. Et, d'autre part, j'espère aussi que pour quelques enfants mon intervention a été positive. Cela ne veut pas dire que je peux aller me coucher. J'avais hier soir un certain courage pour chanter Dieu et l'amour à ma manière car ce sont des mots complexes. J'ai chanté le mot "bisous" et cela a semblé étonnant pour les gens.

 

"Celui qui, dans ce spectacle cherche l’essentiel entre moi et ce que je joue, se trompe. Cela vaut la peine de ne pas chercher dans le territoire entre ce qui est joué et l’acteur, Mais entre l’acteur et le spectateur. Comme l’écrivain Amos Oz le dit : Demande à toi-même, sur toi-même. Et la réponse est la vérité que tu gardes pour toi-même." Herman Van Veen

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En savoir plus :

Le site officiel d'Herman Van Veen
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Crédits photos : DR


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