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Cinéastes 

Spécial Tim Burton

Découvrir l'univers du réalisateur américain Tim Burton hors ses longs métrages avec :
l'exposition "Tim Burton" à la Cinémathèque française (chronique) et sa Master Classe
ses premières réalisations dans les années 80 :
"Vincent"
"Hansel & Gretel"
"Aladdin and his Wonderful Lamp"
'The Jar"
"Frankenweenie"
son recueil de nouvelles "La Triste Fin du petit Enfant Huître et autres histoires"
ses films publicitaires : Hollywood chewig gum et Timex
le clip de "Bones" du groupe The Killers
et la série de films d'animation "The World of Stainboy" à voir sur le site communautaire Tim-Burton.net

Une réalisatrice/Trois actrices

Marguerite Duras/Jeanne Moreau/Bulle Ogier/Delphine Seyrig

"La femme du Gange"
"Nathalie Granger"
"La Musica"
"Jaune le soleil"
"Agatha et Les Lectures illimitées"]
"Son nom de Venise dans Calcutta désert"



Les Mousquetaires de la Nouvelle Vague

Comment une génération de cinéastes entraînés par Godard, Chabrol Truffaut et Rivette ont (ré)inventé le cinéma d'auteur

"Les Biches" de Claude Chabrol
"Les Mistons" de François Truffaut
"Paris nous appartient" de Jacques Rivette
"A bout de souffle" de Jean-Luc Godard

 

 

Sergio Leone, le chef étoilé du western spaghetti

En 2019, la Cinémathèque française a consacré une exposition intitulée "Il était une fois Sergio Leone" et une rétrospective à la carrière de réalisateur italien Sergio Leone décédé en 1989.

Celle-ci se décline en deux emblématiques trilogies, portées par la musique du maestro Ennio Morricone, devenues cultissimes dont cinq opus dans le genre du western spaghetti dont il fut la tête de pont.

Celle du dollar, la "Trilogie de l’homme sans nom", avec "Pour une poignée de dollars"," Et pour quelques dollars de plus" et "Le Bon, la Brute et le Truand" avec Clint Eatswood en tête d'affiche, et celle "Once upon a time" composée de "Il était une fois dans l'Ouest", "Il était une fois la révolution" et "Il était une fois en Amérique".

A voir et à revoir sans modération

et la Master Class de Sergio Leone à la Cinémathèque française en mai 1986

Focus Cinéma : Philippe Garrel

A l'automne 2019, la Cinémathèque a présenté une rétrospective de l'oeuvre du réalisateur français Philippe Garrel considéré comme un des successeurs de la Nouvelle Vague.

Né en 1970, ce cinéaste précoce, avec pour maîtres Jean-Luc Godard et Andy Warhol, co-fondateur du collectif d'artistes d'avant garde du Groupe Zanzibar, figure de l'undergound français et du cinéma intimiste, est resté fidélè aux tropismes de ses vingt ans et à la thématique intemporelle de la jeunesse dont il creuse encore le sillon avec son dernier opus en date "Le sel des larmes" présenté à la Berlinade 2020 avec une sortie prévue en juin 2020.

Une filmographie à (re)découvrir en vidéos en un click et en DVD

Rainer Werner Fassbinder #1 - Les deux séries-compendium : "Berlin Alexanderplatz" et "Huit heures ne font pas un jour"

En 1972, le jeune et précoce Rainer Werner Fassbinder qui deviendra la figure majeure de Nouvelle Vague allemande, réalise "Huit heures ne font pas un jour (Acht Stunden sind kein Tag)", une série télévisée en cinq épisodes dont il a écrit le scénario.

Une fiction contemporaine qui opère une immersion naturaliste dans le milieu plébéien, thème de prédilection de Fassbinder, autour du couple formé par une employée (Hanna Schygulla) et un ouvrier qualifié (Gottfried John) vivant à Cologne au début des années 1970.

Cette fresque populaire aborde également ses thèmes récurrents, le mal de vivre existentiel et son corollaire, la mélancolie, et la revisite de la lutte des classes,

à voir en DVD, un indispensable de dévéthèque et en vidéo :

1er épisode
tous les épisodes sur Youtube

Huit ans plus tard, cinéaste confirmé qui entame sa dernière décennie jamais achevée, il reprend une thématique analogue avec l'adaptation télévisuelle du roman "Berlin Alexanderplatz" d'Alfred Döblin, de plus en résonance avec son obsession sur la déchéance allemande menant à l'émergence du nazisme.

Celui se déroule dans les bas-fonds berlinois pendant la République de Weimar autour d'un personnage de petit malfrat, interprété par Günter Lamprecht entouré notamment de Hanna Schygulla et Barbara Sukowa, et anti-héros allégorique.

En 13 épisodes et un épilogue dantesque intitulé "Le rêve du rêve" à voir en DVD , un indispensable de dévéthèque et en vidéo :

1er épisode
tous les épisodes sur Arte vidéo

à visionner également :
"J'aimerais bien prendre part encore une fois à la vie des hommes" lecture de textes et propos de R. W. Fassbinder par le comédien Pierre Maillet en 2018 à l'occasion de la rétrospective à la Cinémathèque française
le documentaire de Hans Günther Pflaum

Rainer Werner Fassbinder #2 - Destins de femmes allemandes

Revoir les films de Rainer Werner Fassbinder qui constituent un corps critique sur l'Histoire allemande, avec notamment l'occultation du IIIème Reich, ordonné autour d'un personnage féminin allégorie de l'Allemagne et en variation quasi bauledairienne, car "ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre", avec notamment ses actrices fétiches, Hanna Schygulla, Ingrid Caven et Margit Carstensen

En premier lieu, la Trilogie Allemande - "Le Mariage de Maria Braun", "Lola, une femme allemande" et "Le Secret de Veronika Voss" - ainsi que deux autres opus tous aussi emblématiques "Les Larmes amères de Petra von Kant" et "Lili Marleen"

et 5 outsiders "Nora Helmer", "Martha", "Effi Briest", "La Femme du chef de gare" et "L’Année des treize lunes"

Rainer Werner Fassbinder #3 - L'Allemagne encore, et toujours

Appartenant à la première génération de l'après seconde guerre mondiale, cinéaste prolifique comme engagé dans une course contre la montre, il n'atteindra pas sa 36ème année, réalisant plus d'une quarantaine de films pour le cinéma et la télévision, Rainer Werner Fassbinder ne cesse de décliner le thème de la lutte des classes ("Le Droit du plus fort ") et d'explorer l'Histoire de l'Allemagne, de la République de Weimar ("Despair") au nazisme ("Lili Marleen"), et sa réalité allemande contemporaine avec notamment le terrorisme des années de plomb (" La Troisième Génération")

Claude Sautet, les choses de la vie des années 70

Avec sa filmographie des années 70 dans le contexte des Trente Glorieuses, Claude Sautet est considéré comme le "cinéaste-sociologue" quasi balzacien de la moyenne bourgeoisie de la décennie 1970 qui anticipe du boboisme contemporain, avec des films de genre, qu'il qualifie de "fables", inscrits dans le cinéma d'auteur qui excellent dans la peinture du malaise existentiel des quadras, entre quêtes et incertitudes, et du délitement des sentiments

à (é)écouter en podcast "Claude Sautet, une histoire française" dans le cadre de l'émission "Cinéma Song" sur France Musique

Le mélodrame cosmopolite de Léonide Moguy

En septembre 2020, la Cinémathèque française consacre une rétrospective à l'oeuvre du cinéaste d'origine ukrainienne Léonide Moguy surnommé "le cinéaste de la bonté".

Au cours d'un périple qui le mène de la Russie à la France en passant par les Etats Unis et l'Italie, son oeuvre filmique initiée avec des drames de guerre ("Le Déserteur", "Paris After Dark") est émaillée de mélodrames au titre explicite inscrits dans le registre du cinéma social des années 40-50.

Peter Greenaway, le maître de jeu

En 1982 avec "Meurtre dans un jardin anglais" ("The Draughtsman's Contract") et son immersion dans l'Angleterre de la fin du 17ème siècle, dans lequel est proposé à un jeune peintre un atypique contrat pour immortaliser la beauté d'une riche demeure, le réalisateur britannique Peter Greenaway, formé au Walthamstow College of Art, fait une entrée magistrale avec une oeuvre filmique plasticienne atypique ressortant à ce qu'il nomme "les Arts de peindre".

Méditation érudite et ludique sur l'art portée par la musique de Michael Nyman, qui deviendra son compositeur attitré, la narration cinématographique inscrite dans le cinéma postmodene et poststructuraliste révèle son tropisme pour la surabondance d'images, d'allégories et de mises en résonance entre la réalité et sa représentation, le réel et la fiction, en proposant au spectaceur un véritable jeu de l'esprit, qui constituera sa marque de fabrique, dans des opus-rébus à voir et... à revoir.

dont 5 films

et 5 courts métrages, films expérimentaux et vidéos-performances

voir en vidéo :
"Masterclasse - In The Beginning Was The Image" dispensée au Festival International du Film de Tbilisi International en 2019
les conférences de Peter Greenaway à l'Université de Berkeley :
"Nine Classic Paintings Revisited" et "New Possibilities: Cinema Is Dead, Long Live Cinema"

Jim Jarmusch ou l'autre Amérique

Dès la balade urbaine de son premier opus "Permanent Vacation", film de fin d'études, réalisé en 1980, le cinéaste et musicien américain Jim Jarmusch signifie ce qui constitue ses tropismes - et forge sa signature.

Dont les thématiques existentielle, celle de l'errance, du voyage, de la route et du "road movie", thème ultime de la contre culture et de la Beat Generation, littéraire et musicale.

Et des films sans véritable histoire - mais des personnages de l'Amérique profonde, anti-héros, marginaux, loosers et /ou laissés pour compte de l'American way of life - et dépourvus de finalité moralisatrice qui s'aventurent, de façon maniériste, aux limites du cinéma de genre, du western, avec le magistral "Dead Man" à la comédie romantique.

En 2019, avec son 13ème et dernier opus en date "The Death don't die", et après les vampires de "Only lovers left alive", Jim Jarmusch procède à une incursion formelle dans le "zombie movie" pour une comédie noire se déroulant en apnée dans le "fucked up world" d'aujourd'hui.

A voir et à revoir en DVD ou lors de rétrospective en salle comme celle de 2019 opérée par le distributeur Les Acacias à l'occasion de la sortie de versions restaurées.

Ciné Rock #2 : Les Années Rock Star

Après les années Elvis, la décennie 70 est placée sous le signe des pharaoniques concerts, de Woodstock à New York, du Winterland Ballroom à San Franciso et de l'Ile de Wight en Angleterre, et des rock stars avec des groupes devenus légendaires qui se retrouvent sur la pellicule dont celle de Ken Russell et de ceux qui allaient devenir la crème des cinéastes de cette génération tels Oliver Stone et Alan Parker.


à revoir les concerts live

Andy Warhol cinéaste de l'Underground

Dans les années 60, hors ses célébrissimes "Screen Tests", portraits silencieux de quatre minutes de célébrités ou d'inconnus et notamment des figures de La Factory telles Nico, Lou Reed, Edie Sedgwick et Mario Banana, réalisés avec Gerard Malanga, le Pape du Pop Art explore toutes les formes cinétiques.

Du court-métrage expérimental avec le concept d'anti-film ("Eat") au long-métrage fleuve ("Chelsea Girls"), du muet au sonore, et du documentaire poétique ("Poor Little Rich Girl") à l'adaptation d'oeuvres littéraires (telle "L'Orange Mécanique" d'Anthony Burgess avec "Vinyl")

Quentin Tarantino l'enfant terrible d'Hollywood

Cinéphile et archéologue du cinéma, le réalisateur américain Quentin Tarentino revisite le cinéma d'exploitation à l'aune d'une cosmogonie personnelle.

A (re)voir, outre son fameux diptyque "Kill Bill" et son dernier opus en date sorti en 2019, en 4 films.

Focus Cinéma - Le cinéma français au féminin #1 : les subversives des années 70

Les années voient l''émergence des femmes réalisatrices qui s'inscrivent dans la mouvance féministe pour déconstruire la doxa masculine de la femme et imposer leur représentation de la femme contemporaine. Avec Nelly Kaplan, Marguerite Duras, Agnès Varda et la belge Chantal Akerman en tête de celles fédérées sous l'étendard du "cinéma des femmes" qui vont également apporter une nouvelle manière de faire du cinéma.

Le cinéma français au féminin #2 : les libérées des années 90

avec des films qui déclinent les femmes selon les tropismes de la relation amoureuse avec Marion Vernoux ("Personne ne m'aime", "Rien à faire" mais également de la )sexualité, avec Catherine Corsini ("Les Amoureux", "La Nouvelle Eve") et surtout Catherine Breillat qui a défrayé la chronique avec des films sulfureux et le hardeur Ricco Siffredi en tête d'affiche ("Romance","Anatomie de l'enfer"), et du colonialisme avec Claire Denis ("S'en fout la mort", "Beau Travail").

Le cinéma français au féminin #3 : les quadras warriors des années 2000

A la mi-temps des années 2000, dans la génération nées dans les années 70, des réalisatrices féministes Céline Sciamma avec "Naissance des pieuvres", Cheyenne Carron avec "Ecorchés" et Valérie Donzelli avec "La Reine des pommes" ou pas telle Maïwenn avec "Pardonnez-moi", imposent leur style, de la sororité à l'autofiction, dans le genre du cinéma d'auteur et leurs histoires de femmes.

Le cinéma français au féminin #4 : les jeunes pousses des années 2010

Reprennent le flambeau les réalisatrices de demain ayant signé leur premier opus dans la décennie 2010 et parmi lesquelles se distinguent déjà, sous l'oeil des cinéphiles avertis, Lucie Borteleau, Eva Husson, Julie Ducournau et Sarah Forestier.

 

        
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# 21 juin 2020 : la Fête de la Musique Sanson

Cette année, pas vraiment de Fête de la Musique, juste un exercice imposé par le gouvernement de faire chanter un titre de Véronique Sanson à tous les musiciens (non nous ne sommes pas en Corée du Nord). De notre côté nous avons réalisé notre 3ème numéro de la Mare Aux Grenouilles à revoir ici. Pour le reste voici le sommaire.

Du côté de la musique :

"As found" de Fugu
"Désordres" de Austyn
"Anda Lutz" de Cie Guillaume Lopez
"A l'instinct A l'instant" de Daniel Jea
"Cérébro dancing" de Epilexique
"Cobra" de François Club
"Coquette" de Hailey Tuck
"Springtime with no harm" épisode 18 des mixes de Listen In Bed
"Fanfare XP, volume 2" de Magic Malik
"Avec son frère" de Volo
"Safeplace" de Yadam
et toujours :
"Après le soir" de Camille Bénâtre
"Le love & le seum" de Charles-Baptiste
"New age norms 1" de Cold War Kids
Interview de Datcha Mandala autour de leur album "Hara"
"Mutations Les chimères de Clément Janequin" de Ensemble Thélème & Quatuor XASAX
"Le sismographe / Noyé" de Gontard!
"La battue" de Les Marquises
"Two Lovers" 17eme mix de Listen in Bed
"C'est la vie" de Olivier Perrot
"Knot" de The Nits
"To save what is left" de Roseland
"Parisienne" de Sarah Lancman

Au théâtre

l'actualité du spectacle vivant avec en "direct live" :
"Hedda" au Théâtre de Belleville
"Fabrice Petithuguenin - C'est compliqué" au Théâtre Le Bout
et toujours dans un fauteuil de salon avec :
des créations :
"Sales gosses" de Mihaela Michailov
"Le Bonheur (n'est pas toujours drôle)" d'après Reiner Werner Fassbinder
"Pichet Klunchun and myself" de Jérome Bel
"Le pont du Nord" de Marie Fortuit
"Invasion !" de Jonas Hassen Khemiri
"Jimmy's blues" à la Maison de la Poésie
 du classique avec Marivaux en deux versions :
Le Mariage de Figaro" par Jean-Paul Tribout
"La Folle Journée ou le Mariage de Figaro" par Rémy Barché 1ère partie - 2ème partie
Au Théâtre ce soir :
"Am Stram Gram" de André Roussin
"Des choses merveilleuses" de Claude Reichman
"Noix de coco" de Marcel Achard
et du côté des humoristes ::
"Noëlle Perna - Mado la niçoise" 1ère partie - 2ème partie
"Jérôme Commandeur se fait discret"

Expositions :

voir des expositions en "real life" avec la réouverture progtressive des musées :
"Harper's Bazaar, premier magazine de mode" au Musée des Arts Décoratifs
"James Tissot (1836-1902), l'ambigu moderne" et "Au pays des monstres - Léopold Chauveau"  au Musée d'Orsay
"Christan Louboutin - L'Exhibition[niste]" au Palais de la Porte Dorée
"Cézanne et les maîtres - Rêve d'Italie" au Musée Marmottan-Monet
"Coeurs - Du romantisme dans l'art contemporain" au Musée de la Vie romantique
"Les Contes étranges de N.H. Jacobsen" au Musée Bourdelle
les Collections permanentes du Musée Cernushi
"Le Monde selon Roger Ballen" à La Halle Saint Pierre
"Helena Rubinstein - La collection de Madame" et "Frapper le fer" au Musée du Quai Branly
"Monet, Renoir... Chagall - Voyages en Méditerranée" à l'Atelier des Lumières
"La Force du dessin - Chefs-d'oeuvre de la Collection Prat" au Petit Palais
"Esprit es-tu là ? Les peintres et les voix de l'au-delà" au Musée Maillol
"Soleils Noirs" au Louvre-Lens
la salle "Les Nymphas de Claude Monet" au Musée de l'Orangerie
"Le dessin sans réserve. Collections du Musée des Arts Décoratifs" au Musée des Arts Décoratifs
"Le 61 rue de Monceau, l’autre hôtel Camondo" au Musée Nissim de Camondo
et pour ceux qui ont vut l'exposition numérique "Gustav Klimt" à l'Atelier des Lumières à Paris,découvrir celle intitulée "Gustav Klimt, d'or et de couleurs" au nouveau site du Bassin des Lumières à Bordeaux

Cinéma at home avec :

à visionner en "home cinéma" :
des films contemporains :
"Jeune femme de Léonor Serraille
"Soul kitchen" de Fatih Ak?n
"Claire Dolan" de Lodge Kerrigan
de la comédie : "Mr et Mrs Smith" de Doug Liman
du peplum : "La charge de Syracuse" de Pietro Francisci
de l'action : "Kickboxer : Vengeance" de John Stockwell
des films cultes avec :
un western :"La Chevauchée fantastique" de John Ford
du kung fu : "A touch of zen" de King-Hu
du drame à l'indienne : "Vanaja" de Rajnesh Domalpalli
le Ciné-Club des années 60 :
"Qu'est-il arribé à Baby Jane ?" de Robert Aldrich
"Main basse sur la ville" de Francesco Rosi
"Le Tracassin ou Les Plaisirs de la ville" d'Alex Joffé
et une curiosité : "Jack Brooks, tueur de monstres" de Jon Knautz

Lecture avec :

"Le jour où Kennedy n'est pas mort" de R.J. Ellory
"Mauvaise graine" de Nicolas Jaillet
"Une immense sensation de calme" de Laurine Roux
et toujours :
"Et les vivants autour" de Barbara Abel
"L'iguane de Mona" de Michael Uras
"Mothercloud" de Rob Hart
"Trahison" de Lilja Sigurdardottir

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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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