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PlayStation 4  (SIE Bend Studio)  avril 2019

On attendait depuis un petit moment la sortie de ce jeu qui a la particularité de sortir seulement sur la PS4. Days Gone fait donc partie des grosses sorties de l’année sur cette console. Plus de deux ans après avoir vu les premier trailers de ce jeu, nous voilà donc en compagnie de son personnage principal, Deacon St John et franchement, on n’est pas déçu.

Days Gone est un jeu d’aventure dans un monde ouvert, ce qui n’a rien d’original dans un premier temps. Il se situe dans un monde apocalyptique deux ans après une terrible pandémie qui a ravagé le monde. Deacon, le personnage principal du jeu et son pote Boozer ont survécu, Deacon a vécu une tragédie personnelle et tente de survivre dans un monde peuplé de pillards, de horde de zombies, de mutants et d’animaux sauvages.

Le jeu s’ouvre sur une très belle cinématique nous montrant la fin du monde et la pandémie qui touche la planète. Deacon, un biker, confie sa femme blessée aux hommes du NERO, prêts à décoller dans un hélicoptère. La NERO est une organisation nationale d’urgence qui intervient pour sauver les blessés. Deacon fait le choix de laisser partir sa femme sans lui dans l’hélico pour rester et aider son pote Boozer.

On retrouve Deacon, deux ans après, dans un univers apocalyptique dans lequel il va devoir tenter de survivre et faire face à de nombreux dangers. Le joueur va alors être amené à effectuer des missions principales et des missions secondaires variées dans un monde ouvert immense de toute beauté. Deacon se déplace sur sa moto qui est presque un personnage principal. Il doit régulièrement faire le plein d’essence, ce qui nécessite dons de trouver des bidons d’essence dans le jeu et doit la réparer quand celle-ci se trouve abîmée. Deacon doit donc trouver de la ferraille que l’on trouve généralement sur des carcasses de véhicules abandonnés sur les routes.

Le jeu dispose d’un arbre de compétences pour le personnage principal qui n’a rien d’original puisque cela existe dans de nombreux jeux mais qui permet néanmoins de faire évoluer les caractéristiques de notre héros, en fonction de nos actions dans le jeu. Elle tourne autour de trois domaines : les armes de mêlée, les armes à projectiles très utiles face aux hordes et la survie. On les débloque évidemment en récupérant des points de compétences lorsque l’on réussit les missions. On trouve aussi dans le jeu des camps du NERO, objet de missions aussi qui nous permettent de récupérer des sérums qui nous offrent, au choix, la possibilité d’augmenter notre endurance (très utile quand on doit courir avec dans le dos des centaines de zombies), notre santé ou notre concentration (très utile aussi pour viser dans la tête des ennemis pour ne pas gaspiller de balles).

Les missions sont variées, elles se font sous la forme d’infiltrations ou de combats contre des camps d’ennemis humains ou mutants. Deacon dispose d’un arsenal d’armes qu’il obtient au fur et à mesure de l’avancée dans le jeu. On peut perfectionner ses armes au cours du jeu, y ajouter des silencieux par exemple utiles pour les missions d’infiltration comme on peut aussi améliorer sa bécane qui, au départ, du jeu s’avère être un peu poussive.

On doit aussi régulièrement détruire des nids de zombies qui pullulent dans ce monde apocalyptique. Pour le faire, on utilise des cocktails Molotov que l’on fabrique avec des objets récupérés un peu partout dans le jeu. L’originalité du jeu tient dans l’affrontement de véritables hordes de zombie que l’on doit affronter et fuir sous peine de mourir rapidement. C’est relativement impressionnant lorsque cela nous arrive la première fois, un peu moins ensuite mais toujours très stressant et compliqué quand même.

Le Gameplay et la prise en main sont simples et rapides. On entre très facilement dans l’univers du jeu et on se trouve rapidement conquis par le jeu. L’histoire est plutôt bien construite. L’aventure et les déambulations de Deacon au travers des missions qu’il doit affronter nous permet de comprendre le monde dans lequel il évolue et aussi ce qu’il était avant la pandémie. Pour accéder au menu du jeu, on utilise le pavé tactile de façon très simple, c’est rapide et efficace et rarement utilisé de façon si intelligente sur d’autres jeux.

La map du jeu couvre une très grande superficie, se dévoile au fur et à mesure des missions et nous permet de nous repérer facilement. On y trouve lors de nos déplacements des points d’interrogations qui apparaissent "?" nous permettant d’aller effectuer une traque imprévue ou d’éliminer un ennemi caché ou bien encore d’assister à un évènement particulier. Cela permet aussi de rallonger la durée de vie du jeu qui est déjà conséquente. Sur cette map se trouvent aussi des camps, entourés de barbelés pour être à l’abri des méchants, dirigés par différents chefs. S’y rendre permet de customiser sa moto, d’y vendre tout un tas de choses récupérées dans l’aventure et aussi d’acheter de nouvelles armes.

Alors voilà, j’avoue que je me régale à jouer à ce jeu qui me procure une grande satisfaction. Je trouve que le monde ouvert dans lequel le joueur évolue est particulièrement beau. Le fait de jouer parfois de nuit, parfois de jour et dans des conditions climatiques qui évoluent est particulièrement sympa.

Evidemment, le jeu est loin d’être parfait et n’est pas à mon avis à la hauteur d’un God of War ou d’un Red Dead Redemption 2 pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il souffre de quelques bugs qui peuvent être agaçants quand cela nous arrive. A cela s’ajoutent des temps de chargement qui sont souvent longs et viennent casser la dynamique du jeu. Des mises à jour sont régulières pour venir corriger ces petits défauts qui n’empêchent pas à mon sens Days Gone d’être un excellent jeu que je vous invite fortement à faire.

 

En savoir plus :
Le site officiel de Days Gone
Le Facebook de Days Gone


Jean-Louis Zuccolini         
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# 01 avril 2024 : Mieux vaut en rire !

Edition du 1er avril, certes, mais cette édition est garantie sans blague idiote et/ou de mauvais goût. Voici donc le programme de notre sélection culturelle de la semaine. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique :

"Our decisions" de Frustration
"L'amour c'est chiant" de Vanessa Philippe
"Jaffa blossom" de Mohamed Najem
petit focus sur Lisatyd et Fishtalk
"Maurice Ravel, Complete works for solo piano" de Keigo Mukawa
"No friends no pain" de Johnnie Carwash
"Nous célébrer" de Esparto
"Don't be boring" de Dynamite Shakers
"Castèls dins la luna" de CXK

"Session de rattrapage #5", 26eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché
et toujours :
"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

Au théâtre

les nouveautés :

"Punk.e.s" Au Théâtre La Scala
"Hedwig and the angry inch" au théâtre La Scala
"Je voudrais pas crever avant d'avoir connu" au Théâtre Essaïon
"Les crabes" au Théâtre La Scala

et toujours :
"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille
"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche
des reprises :
"Macbeth" au Théâtre Essaion
"Le chef d'oeuvre inconnu" au Théâtre Essaion
"Darius" au Théâtre Le Lucernaire
"Rimbaud cavalcades" au Théâtre Essaion
"La peur" au Théâtre La Scala

Du cinéma avec :

"Yurt" de Nehir Tuna
"Le squelette de Madame Morales" de Rogelio A. Gonzalez

et toujours :
"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz
"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle
"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"L'absence selon Camille" de Benjamin Fogel
"Sub Pop, des losers à la conquête du monde" de Jonathan Lopez

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

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